Manon Binette, de la firme Lavallée, Binette, Brière, Ouellette, CPA, assurera la présidence d’honneur de ce tournoi. Pour avoir côtoyé M. Laviolette, c’est avec plaisir qu’elle a accepté ce rôle d’ambassadrice.
«J’ai toujours gardé le souvenir de M. Laviolette comme étant une personne très chaleureuse, souriante et qui aimait taquiner les jeunes. Connaissant aussi la mission de la fondation qui veut faire une différence dans la vie des jeunes issus de familles à faibles revenus, c’est pour cette raison que j’ai accepté d’apporter mon humble contribution.» 
<h3>Implication appréciée et essentielle</h3>
Pierre Legault, directeur général de la Fondation Émile-Z.-Laviolette, a tenu à remercier Mme Binette, de même que Sylvain Dumoulin de Century 21 Réalité pour leur support, rappelant que ce tournoi de golf est un événement essentiel.
«C’est bien important que les gens sachent ce que l’on fait avec l’argent que nous amassons, soit de soutenir les organismes ainsi que les établissements scolaire qui viennent en aide aux familles à faibles revenus de notre région. Nous contribuons par le biais de notre programme d’aide alimentaire, d’achat d’effets scolaires et l’aide aux devoirs en fin de journée. Nous voulons aider ces enfants à bien grandir et à aller dans le droit chemin.» 
Le Groupe JCL, les Résidences funéraires Goyer, la Caisse Desjardins Saint-Eustache/Deux-Montagnes, Benoît Biard, CIBC Wood Gundy, Groupe Noddem, Dimensions Portes et fenêtres, IGA Lamoureux, Amusements spectaculaires, Transports Lévy inc. et Location de camions Bélisle font partie de ces entreprises qui supportent la Fondation.
Sur une base annuelle, la Fondation Émile-Z.-Laviolette a besoin de quelque 200 000 $ pour lui permettre de poursuivre sa mission. Toutefois, comme l’a précisé Pierre Legault, les demandes de subventions en vue de la prochaine année scolaire commencent à entrer à la Fondation et déjà on craint de manquer d’argent.
«Un à deux enfants sur six ne mangent pas trois repas par jour dans la MRC de Deux-Montagnes. Les besoins sont donc criants pour la région, de là l’importance de faire un succès de notre tournoi de golf» , a conclu le dg de la Fondation Émile-Z.-Laviolette.
Pour réserver son quatuor ou pour connaître les différents plans de commandites, il suffit de visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://emile-z-laviolette.com" target="_blank" rel="noopener">http://emile-z-laviolette.com</a>].
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Le tournoi de golf de Century 21 est de retour pour une 7e édition

Depuis qu’il a appris qu’il était atteint du sarcome d’Ewing, une forme rare du cancer des os, et que son unique chance de s’en sortir était d’aller se faire soigner outre-mer, Jérémie, aidé de ses proches, multiplie les activités de collectes de fonds afin de défrayer les coûts exorbitants associés à ces voyages.
«Chaque fois que je me rends en Allemagne, je dois payer entre 9 000 et 10 000 euros pour bénéficier des traitements. Cela n’inclut pas le vol, l’hébergement et la nourriture. Ça monte vite! Surtout qu’une personne doit toujours m’accompagner. Je ne peux pas y aller seul» , a expliqué Jérémie, rencontré plus tôt cette semaine à la résidence familiale de Saint-Eustache.
Heureusement, bien que des métastases soient toujours présentes au niveau de son foie, du thorax, dans le dos et dans une jambe, il se porte mieux.
«Heureusement, je n’y retourne pas pour rien! Les traitements sont très efficaces. Il n’y a pratiquement plus d’activité dans mon foie. À ma jambe, la radiothérapie a permis de réduire considérablement la masse» , a mentionné le jeune homme qui, malgré les épreuves qu’il traverse, trouve le moyen de garder le moral.
«C’est certain qu’il m’arrive d’avoir des downs, mais en général, ça va bien. La dernière fois que j’ai vu mon médecin en Allemagne, il m’a encouragé en me disant que le cancer était comme un terroriste qui avait envahi mon corps et qu’il allait s’en débarrasser.» 
<h3>Élan de générosité</h3>
Une fois que le médecin allemand jugera que la condition de son patient est satisfaisante – lors ce voyage-ci, ou le suivant, espère Jérémie – il procédera alors à un traitement de chimiothérapie globale, une intervention qui coûtera au bas mot 45 000 $.
«Nous avons assez d’argent pour le voyage qui s’en vient, mais pour les suivants, il nous en manque beaucoup» , d’affirmer le père de Jérémie, Alessandro Piano qui espère voir se poursuivre la générosité démontrée à l’égard de son fils jusqu’à présent.
«Les gens sont tellement généreux, je n’en reviens pas!» de dire Jérémie qui donne en exemple la paire de billets pour un match de l’Impact de Montréal qu’il a récemment mise à l’encan. Le gagnant avait alors misé 300 $, mais lorsqu’est venu le moment de lui donner ses billets, il les a payés, mais a demandé à Jérémie de les remettre à l’encan.
«Lors du méchoui que nous avons tenu cet été, a renchéri le paternel, il s’est produit la même chose lorsque nous avons mis à l’encan une fontaine qui se trouvait sur notre terrain. Celui qui a gagné la mise ne la voulait pas! La même fontaine a ainsi permis de récolter plus de 600 $.» 
Grâce à la générosité démontrée par de nombreux citoyens et entrepreneurs de la région, et même d’ailleurs au Québec, les Piano ont réussi, jusqu’à présent du moins, à garder la tête hors de l’eau, mais les étapes à venir les inquiètent financièrement.
C’est pour cette raison qu’une caisse de bouteilles de vin est actuellement à l’encan. Des t-shirts arborant le visage de Jérémie ont aussi été mis en vente. On peut se les procurer en visitant la page Facebook «Le combat de Jérémie Piano» . On accepte également les dons sur la page GoFundMe créée à l’intention de Jérémie. Il suffit de taper son nom dans le moteur de recherche de cette page.
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Jérémie Piano doit retourner en Allemagne

«Ce sont deux fidèles et inconditionnelles de mon équipe» , a d’abord mentionné la mairesse en évoquant les moments difficiles rencontrés en cours de mandat, alors que les conseillers Eric Westram (désormais candidat à la mairie), Daniel Simoneau et Marie-André Bonneau s’étaient dissociés de son caucus pour siéger à titre d’indépendants. «Malgré tous ces hauts et ces bas, nous avons développé un respect mutuel et préservé notre solidarité» , a-t-elle ajouté en parlant de celles qui furent élues avec elle, en 2013, et qu’elle présente comme deux femmes de tête, dévouées et passionnées.
<h3>Kateri Lesage</h3>
Détentrice d’une maîtrise en environnement, Kateri Lesage habite Rosemère depuis 1991 et s’est impliquée, en 2008, à la tête du comité des arts et de la culture de la Corporation des 50 ans de Rosemère. Depuis son élection, il y a quatre ans, elle a notamment piloté le comité consultatif d’urbanisme (CCU) et souhaiterait s’engager dans de nouveaux projets environnementaux, notamment la mise en place d’une commission de développement durable et d’une politique de l’arbre.
«Le couvert végétal privé est aussi important que celui de la Ville. On peut sensibiliser, éduquer et accompagner la population à ce niveau» , dit-elle, en mentionnant par ailleurs les actions qui ont été prises et qui restent à prendre dans le dossier de l’agrile du frêne (2 000 arbres publics et 10 000 arbres privés à Rosemère).
Après quatre ans au conseil municipal, Mme Lesage se sent encore mieux outillée pour accomplir son mandat. «Nous avons traversé des moments difficiles, c’est vrai. Rien n’est parfait, mais je suis très fière du travail accompli et des décisions que nous avons prises, toujours dans l’intérêt des citoyens» , a-t-elle soutenu.
<h3>Guylaine Richer</h3>
Résidante de Rosemère depuis 1992, Guylaine Richer a fait sa marque dans le milieu scolaire. Mère de quatre enfants, elle a présidé le conseil d’établissement de l’école Alpha, en plus d’œuvrer à titre de commissaire et de présidente du comité exécutif de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles.
Élue en 2013, elle a notamment présidé l’Office municipal d’habitation de Rosemère et a siégé à la commission de la sécurité publique. On indique qu’elle a consolidé son expertise dans les domaines de la gestion financière, des infrastructures et des subventions gouvernementales, et souhaiterait aussi s’impliquer dans des projets environnementaux, notamment la préservation du caractère champêtre de Rosemère.
«Si les gens choisissent de s’installer à Rosemère, c’est notamment à cause de son caractère champêtre. Toutes les décisions que nous prenons en matière de développement doivent aller en ce sens» , affirme-t-elle.
«Avec Mme Leduc, nous avons assuré le suivi de nombreux dossiers, toujours en faisant preuve de vision, de rigueur et de détermination. C’est dans ce sens que je veux poursuivre mon implication» , dit-elle.
Enfin, Madeleine Leduc précise que son équipe affichera la parité hommes-femmes et qu’elle profitera des prochaines semaines pour présenter ceux et celles qui en feront partie. Relevons que l’actuel conseiller Normand Corriveau assistait à ce point de presse.
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