Le 15 décembre dernier, l’équipe des Résidences du Marché a remis la somme de 2 200$ au Centre d’entraide Thérèse-De-Blainville.



Lors du Marché de Noël du 26 novembre, des résidentes bénévoles ont vendus des lainages tricotés toute l’année durant ainsi que des pots de soupe fait maison afin d’amasser des fonds pour l’organisme.



Les sommes demandées pour la location de tables aux différents marchands se sont ajoutées à la cagnotte pour un montant total de 1 100$, qui sera doublée par la fondation Luc Maurice. De plus, le 9 décembre, le chef François Fondrouge et sa brigade ont cuisiné plus de 240 repas complets traditionnels de Noël qui ont été assemblés et emballés par les résidents bénévoles puis remis eux aussi au Centre d’entraide Thérèse-de-Blainville qui les distribuera avec les paniers de Noël.

Mentionnons tout d’abord qu’un permis est requis lorsqu’un bâtiment se trouve dans une zone de Plans d’implantation et d’intégration architecturale (P.I.I.A.), qu’un projet représente un changement d’usage, que les travaux consistent à modifier les fondations, le cloisonnement intérieur ou la superficie d’implantation au sol, ou encore que les rénovations affectent la hauteur du bâtiment, impliquent l’ajout ou la modification des dimensions d’une fenêtre ou d’une porte, ou modifient le type de revêtement extérieur.



Dans les autres cas, la valeur des travaux pour laquelle un permis est requis est augmentée de 5 000 $ à 20 000 $. Ce montant inclut les matériaux et la main-d’oeuvre.



Autre assouplissement : dorénavant, aucuns frais de redéveloppement ne seront exigés dans le cas de l’ajout d’un logement dans une habitation unifamiliale isolée. Auparavant, ces frais représentaient 10 % de la valeur du terrain.



« Ces changements s’inscrivent dans la volonté de simplifier les processus administratifs et faciliter la vie des citoyens. L’élimination des frais de redéveloppement dans le cas de l’ajout d’un logement aura de plus pour effet d’encourager la construction de logements dans les résidences et, ainsi, augmenter l’offre de logements dans notre municipalité », mentionne le maire de Sainte-Thérèse, Christian Charron.



<h2>Informez-vous avant le début des travaux</h2>



Afin d’éviter tout imbroglio qui pourrait s’avérer coûteux autant en temps qu’en argent, il est essentiel de s’informer auprès du Service de l’urbanisme et du développement durable avant d’effectuer tout type de travaux, et ce, dès l’étape de la planification.



Les renseignements spécifiques à chaque projet sont précisés sur le <a href="https://www.sainte-therese.ca/services-aux-citoyens/urbanisme-et-habitation/permis/">site web de la Ville</a>. La majorité des demandes de permis de travaux peuvent dorénavant aussi être effectuées en ligne et payées par carte de crédit.

Christian Charron chemise blanche et cravate

Permis et travaux : la Ville de Sainte-Thérèse assouplit certains règlements

Marie-Chantale Desjardins n’avait que 10 ans lorsqu’elle a été enlevée et assassinée deux jours plus tard, en 1994. 



Le matin de sa disparition, le 16 juillet vers 9 h 30, Marie-Chantale avait&nbsp;informé sa&nbsp;mère qu’elle allait visiter une amie, mais elle a dû rebrousser chemin&nbsp;parce que&nbsp;celle-ci devait quitter avec ses&nbsp;parents. Par la suite, elle se serait rendue à bicyclette chez des amis à&nbsp;Blainville et de là, à&nbsp;un casse-croûte billard de la rue Turgeon, dans le centre-ville de&nbsp;Sainte -Thérèse.



C’est une bénévole, qui participait aux recherches, qui a fait la macabre&nbsp;découverte.&nbsp;L’enfant était étendue sur le dos dans un terrain boisé, situé à&nbsp;l’arrière du centre commercial Place Rosemère et de l’autoroute 640.



Au moment de la découverte du corps à moins de deux kilomètres de sa résidence, la bicyclette jaune de la fillette se trouvait&nbsp;à une trentaine&nbsp;de pieds.



Rappelons qu’une quarantaine de&nbsp;policiers de la&nbsp;Sûreté du Québec, une quinzaine de leurs confrères de Sainte-Thérèse, un&nbsp;hélicoptère, des maîtres-chiens, des plongeurs et des véhicules tout-terrain avaient été mis à contribution pour faciliter les recherches.



<h2>Un nouveau témoin</h2>



Le réalisateur Stéphan Parent diffuse sur les réseaux sociaux ( <a href="https://www.youtube.com/watch?v=FZfoJO3TgZ4">https://www.youtube.com/watch?v=FZfoJO3TgZ4</a>) des éléments nouveaux, depuis lundi. Il s’est entretenu avec un ami de Marie-Chantale qui fréquentait la même école primaire à Blainville à l’époque. « Il l’a connaissait et nous parle de sa dernière rencontre avec elle. Il spécifie que Marie-Chantale est allée faire un tour au parc de Blainville, possiblement la veille de sa disparition ». 



Si tel est le&nbsp;cas, elle aurait parcouru environ 5 kilomètres depuis son domicile sur&nbsp;la rue Jasmin&nbsp;à Sainte-Thérèse. « Son ami spécifie également qu’elle était seule et sans&nbsp;son vélo.&nbsp;Il raconte que Marie-Chantale est arrivée par l’entrée principale du&nbsp;parc pour ensuite marcher en direction d’un boisé, mais son ami doute qu’elle&nbsp;serait allée à cet&nbsp;endroit. Selon lui, elle serait ressortie sur la rue vers une zone&nbsp;industrielle juste à&nbsp;côté du parc pour revenir sur ses pas. Il ne l’a pas revu depuis et il&nbsp;apprend par la&nbsp;suite que son amie a été enlevée, puis retrouvée morte quelques jours&nbsp;plus tard ».



Des témoins disent avoir vu la fillette en compagnie d’un adulte, un cycliste le soir de sa&nbsp;disparition.



De plus, en 1994, un spécialiste de la GRC et un autre de la SQ avaient&nbsp;dressé un&nbsp;profil criminel de l’agresseur de Marie-Chantal Desjardins. Le meurtrier serait de race blanche, d’âge adulte, parlerait français et&nbsp;habiterait ou travaillerait dans la région de Sainte-Thérèse. Il est fort probable&nbsp;qu’il s’associe&nbsp;avec des gens plus jeunes que lui ou inférieurs à lui, surtout s’il&nbsp;s’agit d’une&nbsp;personne de sexe féminin. L’agresseur est non-fumeur au moment du crime et son hygiène personnelle laissait à désirer.



<h2>Des viols</h2>



Avec les technologies d’aujourd’hui, les policiers seraient-ils en mesure de faire un lien avec deux viols survenus à Mascouche, également en juillet 1994, alors que le cadavre d’une jeune femme de 19 ans, Mélanie Cabay, avait été retrouvé à quelques semaines d’intervalle&nbsp;avec la&nbsp;découverte du corps de Marie-Chantale Desjardins.



À ce jour, le dossier Marie-Chantale Desjardins demeure irrésolu.



Vous avez de l’information sur cet événement ? Contacter la Sûreté du Québec, au 1 800 659-4264.



Vous ne voulez pas parler à la Police ? Contacter le bureau d’avocats de Marc Bellemare : (418) 681-1227 ou&nbsp;<a href="https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fbellemareavocats.ca%2Fcontact%2F%3Ffbclid%3DIwAR1tLWCQ0eI55qeIt85DNa02QZfSTDnL9WL5MjWAB6YcgTXBSEZDVePrVIA&amp;h=AT1svnCSy7YTeIZ5mxoUlyv7Roe3UwF6Wy5F6mHbvra7xw0qiRyGJdxJvJsZe-Kmdt0Tuty3KSzxal_2S6gDwSSANrMSog5cZOXFmcamjBVJWzULvzDHCHeINKjD45W8ULj8HrCdwblX55k_jiifDF63I_7vkS3IQrihlO37WJooyUkToM8iIlIg44_3pRIRpiaEQH3C-Bj5EkrEPKgnoAP_427OQqAAuOqiru59DJ45q05uEqQM9Mex8bWnKkzcBOvj93JSquate-5JLSERvy3OlEok&amp;__tn__=-UK-R&amp;c[0]=AT2ee_0GFEjy1EyMtQhkdwkGnLHbyyKA32BkgDx5TVnsx7dbWijlFKNIrAS3j1dJIKpaLV5M48ZlDatJgSSs08-lTSNXspqrnNvRbxDOmeRV41QaI_2k4RUtW-Nb3DlfBUN_BQf2rEVvFnPlyoMYH5wV1tV6_NS4o2zdo9wGtOFsxYF0j59xjKShocD1EG67By-V3H3vugn-QVdLoMD1pQ4" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://bellemareavocats.ca/contact/</a>



Confidentialité assurée.

Le meurtre d’une fillette toujours irrésolu

2200$ pour le Centre d’entraide Thérèse-De-Blainville

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