La vingtaine d’élèves qui participait aux épreuves internationales s’est en fait classé au 50e&nbsp;rang. Un résultat qui peut paraître éloigné de l’ambition initiale du groupe, mais qui se distingue néanmoins dans le cadre de cet événement d’envergure internationale et qui réunissait des élèves de plusieurs pays.



« L’équipe Astro&nbsp;représentant fièrement notre école, est rentrée de Houston avec des étoiles dans les yeux après avoir participé au Championnat Mondial de First Robotic. Se classant au 50e rang dans cette compétition de renommée internationale, nos brillants jeunes esprits ont vécu une expérience véritablement extraordinaire », a laissé savoir Sophie Charlebois, qui est coordonnatrice des communications à l’Académie Sainte-Thérèse.&nbsp;



C’est qu’en participant à ces compétitions internationales, les élèves ont vécu toute une expérience, ce qui est valorisant pour ces jeunes. Il s’agissait pour eux d’une opportunité unique de côtoyer les esprits les plus innovants, malgré leur calibre scolaire, de la planète.



Les jeunes Académiciens ont pu échanger des idées, partager des stratégies tout en enrichissants leurs connaissances dans le domaine de la robotique.&nbsp;



Les jeunes sont revenus déterminés à poursuivre l’aventure de Disc-O aussi loin que possible.&nbsp;



&nbsp;« Nous croyons fermement en la valeur de ce projet collectif, qui s’étend sur plusieurs années et nous sommes reconnaissants envers nos mentors expérimentés pour leur dévouement et leur soutien continu », a mentionné le porte-parole de l’équipe.&nbsp;



D’ailleurs, le groupe étudiant reçoit l’appui inconditionnel de l’établissement.&nbsp;&nbsp;



«&nbsp;Disc-O, notre robot emblématique, incarne notre engagement envers l&#8217;excellence et l&#8217;innovation. Nous sommes convaincus que grâce au travail acharné et à la détermination de nos étudiants, Disc-O continuera à se faire connaître à travers le monde, inspirant les générations futures à explorer les frontières de la technologie et de la créativité », a souligné fièrement la représentante de l’établissement.&nbsp;

Avec le soutien de son partenaire principal, Enviro Connexions, Moisson Laurentides continue d’apporter une aide essentielle à plus de 20 000&nbsp;personnes vulnérables, dont 40&nbsp;% sont de jeunes enfants. Face à des défis persistants, l’organisation renforce la solidarité communautaire et invite à une participation active.



 Pierre Richer partage sa vision&nbsp;: « C’est avec grande humilité que j’ai accepté l’invitation, car c’est pour moi la manière ultime de redonner envers ceux qui m’ont aidé. Malheureusement, l’insécurité alimentaire est actuellement encore le lot de bien des familles, ou de personnes isolées. »



 L’événement propose divers forfaits pour les entreprises et particuliers souhaitant s’impliquer. Pour plus d’informations et pour vous inscrire, visitez&nbsp;<a href="https://moissonlaurentides.org/nos-evenements/la-classique-de-golf-de-moisson-laurentides/">https://moissonlaurentides.org/nos-evenements/la-classique-de-golf-de-moisson-laurentides/</a>.&nbsp;



Parallèlement, du 16 au 22&nbsp;mai aura lieu le second encan virtuel de Moisson Laurentides via<a href="https://moissonlaurentides.org/nos-evenements/encan-virtuel-pour-moisson-laurentides/">https://moissonlaurentides.org/nos-evenements/encan-virtuel-pour-moisson-laurentides/</a>&nbsp;dans le but de redonner espoir aux familles dans le besoin.



À propos de l’organisation&nbsp;:



Chaque année, Moisson Laurentides distribue 4,3&nbsp;millions de kilogrammes de nourriture, soit l’équivalent de 28&nbsp;millions de dollars en valeur marchande. Cela permet de soutenir mensuellement 111&nbsp;organismes et 20 763&nbsp;personnes dans le besoin.

Comité de golf. 25e Classique de golf, Moisson Laurentides

Invitation à la 25e Classique de golf de Moisson Laurentides

Si le nom de ce sport en surprend plus d’un, c’est qu’on ne le pratique au Québec que depuis cinq ans à l’intérieur de clubs sportifs. Il s’agit en fait pour ses pratiquants d’effectuer un parcours d’obstacles en enchaînement minuté.&nbsp;



Lors de la compétition internationale de Californie, les jeunes Blainvillois devront franchir une dizaine d’obstacles en moins de 5 minutes et 30 secondes ainsi qu’une course rapide.&nbsp;



Lorsqu’elles ont appris l’existence de cette discipline sportive, Sarah-Gabrielle Bédard et Julie Rondeau ont inscrit leur marmaille au club Élite Voltizone de Mascouche. Olivia, Magalie et Félix Tremblay, âgés respectivement de 8 ans, 10 ans et 9 ans, s’y rendent donc chaque semaine, accompagnés de leur maman Sarah-Gabrielle, tout comme Justin Raymond, qui y vient avec sa maman Julie.&nbsp;



Expérience acquise



Ce ne sera pas la première fois que les sœurs Tremblay et leur frère prennent part à des compétitions d’envergure internationale lorsqu’ils s’envoleront vers la ville californienne d’Anaheim, cet été où se déroulera le UNAA World Series Finals qui réunira des jeunes de plusieurs pays.



Antérieurement, Olivia, Magalie et Félix ont participé à des compétitions mondiales; celle de Las Vegas en 2022 puis celle d’Orlando en 2023.



Ce sera la première compétition d’envergure pour Justin Raymond, qui a 10 ans et qui a toutefois pris part au World Ninja Athlete Games, à Saint-Hyacinthe en mars dernier, où se sont aussi illustrés Félix et Olivia.



Le mois dernier, Magalie Tremblay a pour sa part démontré tout son talent lors de l’Ultimate Ninja Athlete Association, tandis que son frère Félix et sa sœur Olivia ont participé au Championnat canadien à Edmonton, en novembre 2023.&nbsp;



Fébrilité et zénitude



Mercredi soir dernier, les quatre jeunes Blainvillois s’entraînaient à Mascouche sous la direction de leur entraîneur Mathieu Maynard, qui est aussi le directeur du Voltizone Mascouche et vice-président de la Ligue Ninja Québec.&nbsp;



Dans l’attente du championnat californien, les jeunes sont évidemment fébriles. « Je suis nerveux. Je m’attends à ce que ce soit dur mais aussi à avoir beaucoup de plaisir », a commenté Justin Raymond.



Magalie se dit très heureuse de prendre part à ces compétitions. « Je pense que je vais bien m’en sortir », dit-elle, confiante. Même zénitude chez Olivia, qui effectuera sa troisième compétition mondiale de Ninja Warrior du haut de ses huit ans.&nbsp;



Pour sa troisième participation aux Mondiaux de Ninja Warrior, leur frère Félix, lui se dit un peu nerveux. « Je m’entraîne trois heures par semaine », indique celui-ci, qui étudie à l’Académie Sainte-Thérèse comme ses deux sœurs.&nbsp;



Fierté maternelle



«&nbsp;Ces jeunes talents ont démontré un engagement exemplaire depuis septembre dernier, travaillant ardemment pour perfectionner leurs compétences en vue de cette compétition d&#8217;envergure internationale. Ils se sont distingués dans des séries d&#8217;obstacles exigeant équilibre, précision, force et vitesse, et ils sont aujourd&#8217;hui fiers de représenter non seulement leur ville, mais également la province de Québec et le Canada tout entier à cet événement prestigieux », souligne Julie Rondeau, qui a été témoin de l’évolution des quatre athlètes.



Les deux mamans s’impliquent beaucoup auprès du club Voltizone de Mascouche. Pour défrayer les coûts de leur séjour en Californie en vue d’accompagner leurs jeunes athlètes mineurs aux compétitions, Mme Rondeau et Mme Bédard ont dû effectuer une levée de fonds.&nbsp;

Académiciens heureux de leur expérience au First Robotique