Ses bonnes oeuvres antérieures l’ont convaincu de pousser l’implication encore plus loin. Il y a eu la Jeune Chambre de commerce de Montréal, Moisson Laurentides et la Fondation canadienne du rein et maintenant la Fondation du Collège Montmorency qu’il préside en plus de l’Association de hockey mineur de Lorraine-Rosemère où il entraîne de jeunes joueurs.
Rejoindre l’Association de hockey mineur lui a permis de prendre le pouls des préoccupations des Rosemèrois, de s’imprégner des enjeux locaux.
Le sens de la solidarité qu’il reconnait chez les citoyens Rosemèrois le rejoint particulièrement, le motive à s’engager. « Il y a un vrai désir de communauté ici », affirme Alexandre Raymond.
À l’écoute des besoins
L’idée de se présenter à l’élection partielle du 21 avril dans son nouveau patelin a réellement pris forme lorsqu’il a rencontré le maire Éric Westram, qu’il a perçu comme un politicien à l’écoute de ses citoyens, ouvert aux idées des autres et qui gère sa municipalité avec circonspection.
Ce maire s’est révélé une source d’inspiration pour lui. « À la course des cocos, je l’ai vu parler aux gens et les écouter. Il est en mode solution face aux enjeux et il est très créatif avec ce qui peut être fait », souligne le candidat Raymond, qui a eu envie de se joindre à l’équipe.
En rejoignant le parti InnovAction +, il a perçu une opportunité d’apporter son style et sa couleur afin de faire avancer des dossiers municipaux. La perspective d’être entouré de cinq collègues au sein du conseil municipal lui apparait comme une force d’action.
« Moi, je suis un entrepreneur. Je peux apporter des solutions différentes et innovantes », explique l’homme spécialisé en recrutement de cadres.
Environnement, bien-être et qualité de vie
D’entrée de jeu, trois dossiers lui tiennent à cœur. D’abord agir pour l’environnement, un dossier naturel pour celui qui a antérieurement siégé sur le conseil d’administration d’Espace pour la vie, ce qui lui a donné une bonne idée des enjeux actuels et à venir.
Déjà, il sait que le sujet est une préoccupation locale. Ses concitoyens lui parlent d’espace verts.
Il aimerait bien ajouter sa pierre personnelle à la qualité de vie et au bien-être des Rosemèrois, conscient d’un manque de logement sur le territoire et des aînés qui aimeraient vivre dans une RPA sans devoir quitter leur ville. Il y a aussi le développement du réseau cyclable à prolonger et les espaces de la ville dont il faudrait maximiser l’usage.
S’il est élu conseiller, il envisage d’élargir l’accès au réseau d’activité pour les jeunes.
Mais, dit-il : « Il faut agir dans un esprit responsable, veiller au bien-être économique des gens de façon prudente ». Cette prudence décisionnelle véhiculée par le maire Westram ainsi que sa sensibilité aux impacts qui en découlent a retenu l’attention du citoyen Alexandre Raymond.
Ce qui a retenu l’attention d’Éric Westram à la candidature d’Alexandre Raymond, c’est son côté humain.
« Alexandre est proche des gens. Comme conseiller, il faut avoir la capacité de comprendre les besoins de différents groupes de citoyens, chefs d’entreprises comme individus qui en arrachent », indique-t-il.
Puis il y a la dimension générationnelle. « Il fait partie de cette démographie de jeunes pères de famille. Alexandre nous amène une vision de cette génération-là. Et j’ai vu un gars raisonnable, capable de trancher et de s’exprimer de façon claire et respectueuse », soutient M. Westram, qui souhaite que l’on retienne de son candidat qu’il s’agit de quelqu’un d’engagé et fier d’être Rosemèrois.
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