Dans cette exposition, l’artiste explore un monde issu de l&#8217;imaginaire, ce monde du rêve inconscient ancré au plus profond de son être.&nbsp;



La collection&nbsp;Paysages oniriques&nbsp;a pris naissance il y a plus d&#8217;un an, lorsqu’Armelle Pepin s’est établie à Sainte-Thérèse.



Sortant de son cadre habituel, elle a ajouté de nouvelles couleurs et exploré un thème plus concret, croisant le figuratif et l&#8217;abstrait, dans cette collection.



« En tant que Ville d’arts, de culture et de savoir, Sainte-Thérèse se réjouit de soutenir les artistes locaux et de contribuer à leur rayonnement. Nous sommes honorés d&#8217;accueillir l&#8217;exposition de madame Pepin, dont le talent artistique ne manquera pas de vous impressionner! », souligne le maire de Sainte-Thérèse, monsieur Christian Charron.



À propos de l’artiste



Ayant fait carrière dans le milieu académique, c’est à partir de sa retraite en 2011 qu’Armelle Pepin développe réellement sa passion pour la peinture. Pendant quatre ans, elle explore le pastel et la peinture acrylique pour ensuite privilégier cette dernière comme moyen d&#8217;expression de son ressenti, répondant davantage à son besoin de créativité intrinsèque. À son actif, elle a plusieurs expositions solos, collectives et symposiums à Québec et ailleurs.



Ouverte à tous



L’exposition de l’artiste Armelle Pepin est ouverte à tous. Lors du vernissage qui se déroulera le 19 avril, de 17h00 à 19h00, l’artiste présentera ses créations et sa démarche artistique, des bouchées et du vin seront servis sur place.



L’exposition aura lieu le jeudi et vendredi, de 13h00 à 19h00, le samedi et dimanche, de 10h00 à 16h00.

Depuis 2021, Moisson Laurentides constate une baisse des dons alimentaires d’au moins 26 %, ce qui force l’organisme de distribution à des achats alimentaires substantiels grâce à l’aide de subventions gouvernementales.



Si l’écosystème alimentaire subit une grande pression actuellement en raison du déséquilibre inflationniste, Moisson Laurentides ne fait pas exception, soulignait d’entrée de jeu Jean-Sébastien Girard, le coordonnateur aux dossiers spéciaux de Moisson Laurentides, lors de la conférence de presse tenue récemment en vue d’annoncer la Grande Collecte.



« L’approvisionnement est à la baisse au printemps, aussi cette grande collecte est un geste de solidarité pour soutenir les plus démunis », insiste M. Girard.



Ce dernier explique que les technologies de récupération des pertes mise en place par leurs traditionnels fournisseurs ou encore de produits en fin de vie vendus à rabais par les supermarchés les privant désormais d’une partie des denrées.&nbsp;



Solidarité attendue



L’équipe de Moisson Laurentides souhaite donc un geste d’engagement de la part de la population régionale. Et surtout pourquoi une deuxième collecte annuelle est dorénavant nécessaire.



Durant deux jours, le vendredi 26 et le samedi 27 avril, entre 9h00 et 16h00, les gens pourront faire leur don directement dans les supermarchés Métro – IGA – MAXI &#8211; Super C – Provigo – Walmart – Tigre Géant ainsi que chez Moisson Santé.



Le 27 avril, des dons seront ramassés à des points de collecte extérieurs grâce aux nombreux bénévoles qui s’y tiendront, de 9h00 à 15h00, dans toute la région des Basses-Laurentides et listée sur&nbsp;<a href="http://www.moissonlaurentides.org/">www.moissonlaurentides.org</a>. Il est aussi possible d’effectuer un don en ligne et de s’offrir comme bénévole en s’inscrivant sur le site.&nbsp;



Usagers diversifiés



Pour l’équipe de Moisson Laurentides, il y a urgence d’agir contre la faim vécue quotidiennement. C’est que l’on constate que la faim persiste et touche désormais un public plus large et dont les statistiques ne cessent de confirmer l’expansion dans les 111 organismes de la région (recensés au 31 mars 2023).&nbsp;



« C’est un fait indéniable que de nouveaux profils de bénéficiaires fréquentent désormais les comptoirs d’aide de nos organismes, venant s’ajouter au profil traditionnel d’usager », fait remarquer la directrice générale de Moisson Laurentides, Annie Bélanger.



Les dernières statistiques recueillies à cet effet par Moisson Laurentides tendent d’ailleurs à appuyer les propos de Mme Bélanger. Moisson Laurentides a ainsi observé une hausse de 33 % du nombre de familles biparentales parmi ses bénéficiaires.&nbsp;



Parmi la clientèle des demandeurs d’aide alimentaire, 22% des individus occupaient pourtant un emploi. On note d’ailleurs que pour le seul mois de mars 2023, 1200 individus ont demandé de l’aide alimentaire pour la première fois.&nbsp;



On note également une hausse de 121% d’enfants ayant bénéficié de services de repas et collations.&nbsp;



Ce sont là des données sommaires qui font dire à l’organisme que « le visage de la faim ne change pas, il s’étend ».



Des initiatives&nbsp;



Trois nouvelles initiatives s’ajoutent aux efforts de Moisson Laurentides&nbsp;: celle de Place Rosemère qui collectera à l’intérieur de ses murs du 26 au 28 avril, l’engagement du Syndicat de l’enseignement des Basses-Laurentides qui collectera dans ses écoles du 22 au 26 avril et enfin l’initiative du citoyen de Lorraine, Philippe Bastien, avec la Guignolée des finissants de Lorraine, appuyée par le conseiller et représentant du Conseil municipal de sa ville, Jocelyn Proulx.&nbsp;



Après la présentation de cette collecte étudiante, le conseiller Jocelyn Proulx a pris la parole.  « En 1999, j’ai eu recours à une banque alimentaire. On avait deux enfants (Ma femme et moi) d’un an et deux ans et c’était un passage difficile. Je suis allé à une banque alimentaire durant six semaines pour nourrir mes enfants, ma femme et moi. Aujourd’hui, ça va bien, je suis choyé. Mais si je n’avais pas eu accès à ce recours, est-ce que je serais là aujourd’hui ? Peut-être pas », a confié le conseiller municipal, la voix chargée d’émotion.

Deuxième collecte de Moisson Laurentides le 27 avril

La jeune fille de 13 ans, qui étudie au Collège de Boisbriand, avait préalablement été sélectionnée par son équipe pour prendre part aux compétitions. Un choix sans doute judicieux puisque&nbsp;Les Volitives ont tout raflé sur leur chemin.&nbsp;



Durant ce tournoi en quatre parties, la formation de Lanaudière est demeurée invaincue.&nbsp;Lors des deux journées de compétition, les 6 et 7 avril,&nbsp;les Volitives ont signé victoire sur victoire&nbsp;: l’une contre Repentigny, une autre contre Charlevoix, puis contre Chaudière-Appalaches et enfin, la dernière, contre Ottawa.&nbsp;



Lors de la finale de la compétition, le 7 avril, l’équipe a finalement renversé sa rivale d&#8217;Ottawa, Les Maverick Rathers, par un pointage de 25-20 en première manche puis par 25-18 lors de la seconde manche.&nbsp;



Les jeunes filles ont tout raflé sur leur chemin, se voyant ainsi décerner l’or. Une victoire qui a fait bien plaisir à leur entraîneur Sylvain Bluteau ainsi qu’à son assistante Yanel Tabti.



Avec cette médaille d&#8217;or, les Volitives, une équipe composée de dix filles, se classent ainsi comme la meilleure équipe au Québec pour l&#8217;année 2024, dans leur catégorie.



« Nos jeunes athlètes nous ont fait vivre de belles émotions tout le long de la fin de semaine. Comme maman, je ne pouvais être plus fière de ma fille, Laeticia Delage et de toute l&#8217;équipe », a commenté dès le lendemain Anabela Monteiro, sa maman, bien fière d’elle.

Armelle Pepin et ses paysages oniriques