Chaque année, le Carrousel présente dans les collectivités du pays, son spectacle avec sa célèbre troupe de 32 cavaliers et leurs montures, exécutant une série de figures et de manœuvres équestres chorégraphiées au son de la musique. Ces spectacles donnent au public un aperçu du patrimoine et des traditions de la GRC et permettent d’amasser des fonds au profit d’organisations caritatives locales, un peu partout au Canada.
«Nous sommes très heureux d’accueillir le Carrousel de la GRC, qui fait son seul arrêt dans la grande région de Montréal, à Blainville. C’est une occasion à ne pas manquer pour toute la famille afin de découvrir le merveilleux monde des chevaux»,  de dire Roberto Rego, vice-président de la Société Équestre de Blainville.
Pour sa part, le maire de Blainville, Richard Perreault, a mentionné: «Je suis heureux et honoré d’accueillir le Carrousel de la GRC dans la ville de Blainville et de pouvoir contribuer à un événement d’une telle envergure.»
Admission gratuite
Cet événement est organisé par la Société Équestre de Blainville. Pour plus d’informations, visitez le site: [<a href="http://www.societeequestre.com">www.societeequestre.com</a>]. L’admission au spectacle sera gratuite. De plus, de nombreux stationnements gratuits seront disponibles à proximité du parc équestre.
Afin de financer un événement d’une telle envergure, il se tiendra un Cocktail VIP champêtre au Jockey Club du Parc équestre, et ce, à compter de 17 h. Les billets sont en vente au coût de 100 $ et incluront un repas ainsi que des places réservées au Jockey Club. Le spectacle débute à 19 h par une présentation spéciale du Carrousel du Poney Club de Blainville, suivi du Carrousel de la Gendarmerie royale du Canada.
Finalement, le député fédéral de Thérèse-De-Blainville, Ramez Ayoub, a déclaré:
«C’est un honneur pour moi d’avoir accepté cette présidence d’honneur et d’assister à la venue du Carrousel de la GRC, qui s’arrêtera à Blainville lors de sa tournée pancanadienne. C’est un spectacle qui enchantera toute la famille et qui nous fera découvrir le patrimoine et les traditions de la GRC.» 
Depuis 1876
Le Carrousel de la GRC a été fondé en 1876 par des membres de la Police à cheval du Nord-Ouest désireux de montrer leurs talents équestres et divertir les communautés locales. La première présentation publique documentée du Carrousel a eu lieu en 1901 à Regina. Cette année, le Carrousel effectuera une tournée pancanadienne.
Pour ce qui est de la Société Équestre de Blainville, elle a vu le jour en 2016 et a pour mission de gérer et promouvoir les compétitions équestres à Blainville.

C’est maintenant chose faite! Le projet Mission Recyclage Compostage Laurentides a été lancé le 18 juin, à la Place des citoyens, à Sainte-Adèle, devant plus de 40 personnes provenant des quatre coins de la région.
Financée par le Fonds d’appui au rayonnement des régions du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH), en décembre 2018, l’initiative permettra notamment de faire un portrait actuel et de définir les conditions gagnantes pour implanter et/ou optimiser la collecte municipale des matières recyclables et organiques auprès de la clientèle ICI (Institutions, commerces et industries).
Déploiement stratégique
Dans le cadre du projet, un agent de sensibilisation est attitré à chacune des MRC sur le territoire et rencontrera individuellement les ICI selon des objectifs établis. Cette équipe a été recrutée pour approcher les commerces, les institutions et les industries sur tout le territoire des Laurentides, afin de mieux connaître les matières résiduelles qu’ils génèrent, les sensibiliser à la possibilité de recycler et composter davantage – par l’entremise des collectes municipales &#8211; ainsi que de les aider à organiser leur espace efficacement, selon leur réalité respective.
«Ce qui est extraordinaire de ce grand projet régional, c’est qu’il rallie les expertises en gestion des matières résiduelles (GMR) du territoire. Dans les rencontres de groupe, les échanges autour des enjeux de chacun permettent le partage d’expériences et de bons coups sur le terrain, ce qui aide grandement dans le déploiement des actions locales. Les connaissances et l’efficacité découlent ensuite dans les institutions, commerces et industries », souligne Karine Bourgeois, directrice générale chez Synergie Économique Laurentides.
Les écoles, bureaux municipaux, restaurants, manufacturiers, garages et salons de beauté sont des exemples de commerces, d’institutions et d’industries ciblés. Si vous souhaitez faire partie de la solution et aider l’équipe de Mission Recyclage Compostage Laurentides à définir les conditions gagnantes pour implanter et/ou optimiser la collecte des matières recyclables et organiques, vous pouvez communiquer avec l’organisme:  [www.synergielaurentides.ca].

Lancement du projet Mission Recyclage Compostage Laurentides

Dans un communiqué de presse émanant de la Ville, on y explique qu’à l’été 2018, la Ville mettait en place une administration provisoire afin de tenter de corriger certaines lacunes au sein des maisons de jeunes. La gestion de celles-ci, le contrôle des dépenses et la reddition de comptes étaient alors remis en question.
«Malgré ces mesures, indique le maire Jean Bouchard, les résultats obtenus à ce jour ne sont toujours pas satisfaisants aux yeux de la Ville par rapport aux bénéfices que devraient en tirer les jeunes, en retour des sommes importantes accordées par la Municipalité.» 
De plus, la pertinence de ces services est aussi une préoccupation, car, ajoute-t-on, les statistiques démontrent des taux de fréquentation très faibles dans la majorité de ces établissements. «Au total, seulement une soixantaine de jeunes en moyenne fréquenteraient les six établissements» , peut-on lire dans la communication.
Il faut savoir que la Ville alloue, et ce, chaque année, environ 650 000 $ en subvention directe à la MDJ, en plus du prêt et de l’entretien de sept locaux.
<h3>Les jeunes toujours dans les plans</h3>
En dépit de sa décision, la Ville affirme n’avoir aucune intention de laisser les jeunes à eux-mêmes, se disant «fermement résolue» à répondre encore mieux à leurs besoins.
Elle souhaite notamment réinvestir les sommes annuellement versées dans différents projets qui favoriseront la qualité de vie, le mieux-être et l’émancipation des jeunes de tous les secteurs de Mirabel.
À titre d’exemples: animation dans certains parcs; services d’aide aux devoirs; activités sociales ou récréatives ponctuelles destinées aux adolescents; pavillons jeunesse; fonds d’aide pour l’inscription des jeunes défavorisés à des activités municipales.
«Le conseil municipal tient néanmoins à mentionner que les maisons de jeunes ont bien répondu aux besoins de la communauté pendant de nombreuses années» , de dire Jean Bouchard, qui a salué le travail effectué par un grand nombre d’intervenants au cours des 25 dernières années.
«Cependant, a-t-il conclu, comme dans toute chose, il faut évoluer et s’adapter, c’est ce que nous souhaitons faire par ce virage jeunesse plus inclusif.» 
<h3>Le syndicat furieux</h3>
Les salariés de l’Association des maisons de jeunes de Mirabel ont appris après la séance du conseil qu’ils perdaient leur emploi. Tout comme eux, le syndicat qui les représente ne l’a pas trouvée drôle.
«Cette décision a été prise en catimini sans même que le sujet soit mentionné à l’ordre du jour du conseil municipal» , s’insurge Josée Chapdelaine de la CSN.
Celle-ci a rappelé que pas plus tard qu’au début de juin, le syndicat soulevait des doutes sur les intentions du CA de poursuivre la mission de l’Association des maisons de jeunes. Rappelons que la Ville de Mirabel avait décidé de mettre en tutelle l’Association en juillet dernier. Le syndicat mettait aussi en doute la légitimité de celle-ci étant donné que l’Association est un organisme à but non lucratif indépendant.
«La Ville démontre un manque flagrant d’objectivité, mais démontre aussi de la déresponsabilisation en retirant à des centaines de jeunes, familles et citoyens un service qui profite à toutes et à tous» , poursuit la représentante syndicale avant d’ajouter que ce dossier est loin d’être clos.
Soutenus par leur syndicat, les intervenants des maisons de jeunes et professionnels de l’intervention interpelleront en effet les différents acteurs du milieu pour que l’Association puisse continuer d’offrir des services aux jeunes. Une rencontre sera d’ailleurs convoquée sous peu pour regarder les différentes avenues possibles.
«Il faut continuer de donner les services qui sont appréciés des jeunes, de leurs parents et la communauté. Le service juridique de la CSN est déjà à l’œuvre, car ce comportement est non seulement jugé irresponsable, mais, de surcroît, au lendemain d’une requête en syndicalisation, laisse penser à une réaction antisyndicale.» 
Rappelons que le Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Association des maisons de jeunes de Mirabel – CSN est affilié à la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) regroupant plus de 110 000 membres dans les secteurs public et privé et sur une base régionale au Conseil central des Laurentides – CSN.

Fini les maisons de jeunes à Mirabel

Au Parc équestre de Blainville: Spectacle du Carrousel de la Gendarmerie royale du Canada