Les neuf cadets du cours de maitre de manœuvre étaient présents lors des activités afin d’animer des ateliers sur le matelotage et pour faire visiter le navire-école aux visiteurs.
La cadette Bertrand, âgée de 18 ans, participe au camp d’été, une expérience au cours de laquelle elle vivra des stages en mer sur le Roter Sand et pourra mettre en pratique ses habiletés de matelotage et de navigation.
Chaque été, près de 5 000 cadets âgés de 12 à 18 ans et provenant des quatre coins de la province prennent part aux camps d’été tout à fait gratuitement. Il s’agit d’une occasion pour eux d’acquérir des expériences pratiques dans le domaine nautique comme la navigation à voile, le matelotage, la vie à bord des navires et l’utilisation de bateaux à moteur.

Ainsi, en juin 2017, seulement 72 constats d’infraction ont été émis à des automobilistes fautifs, pour un total de 30 910 $, ce qui n’est rien si l’on compare ces chiffres à ceux de novembre 2016, par exemple. Au cours de ce seul mois, le même radar avait permis d’émettre plus de 6000 constats d’infraction.
«Depuis décembre 2016, soutient Guillaume Paradis, coordonnateur des relations avec les médias au ministère des Transports, le ministère observe une baisse marquée des constats signifiés, pour des infractions commises dans des zones surveillées par des radars photo ou des appareils de surveillance des feux rouges, dans l’ensemble du Québec.»
Ainsi, depuis la mise en opération du radar photo de la 15 Sud, en juillet 2016, 15 326 infractions ont été recensées, ce qui a permis à Québec de récolter quelque 2,6 M$.
C’est en 2009 que sont apparus au Québec les radars fixes, tel celui installé au kilomètre 24 de l’autoroute des Laurentides. En tout, la vingtaine de radars fixes installés un peu partout dans la province auront permis à l’État de renflouer ses coffres de 66,2 M$.
Si on inclut à ce nombre les sommes générées par les radars mobiles et les radars installés aux feux rouges, c’est finalement près de 118 M$ qu’ont déboursés les conducteurs pris en défaut.

Hôtes, organisateurs, partenaires et élus invitent le grand public à la 42e Fête champêtre de la Société d’agriculture Mirabel–Deux-Montagnes.

Le radar de la 15 est moins punitif

Les jouets qui seront vendus à cette occasion ont été réparés, nettoyés et assemblés par les travailleuses et les travailleurs de l’atelier qui intègre des personnes vivant avec une déficience intellectuelle, un trouble du spectre de l’autisme, un problème de santé mentale et/ou d’adaptation sociale. Ce travail leur permet de découvrir leurs intérêts et de développer des compétences et des habiletés tout en participant à la vie de la communauté.
Une fois remis à neuf les jouets donnés par la communauté sont revendus à petits prix et les profits sont remis à la Table de concertation sur la pauvreté Thérèse-De Blainville qui regroupe plus d’une trentaine d’organismes qui viennent en aide aux personnes démunies de la région par le biais de différents projets ou activités spécialement élaborés pour elles.
Vous pouvez aussi profiter de l’occasion pour apporter des jouets qui ne servent plus et qui pourront ainsi bénéficier d’une seconde vie.
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Une cadette de Boisbriand sur le navire-école Roter Sand