«C’est comme le Jardin botanique» , s’exclamait une dame en visite à l’une des dix adresses affichées sur la carte du parcours.
Encore cette année, les propriétaires participants, férus d’espaces verts, accueillaient les visiteurs venus nombreux. Plusieurs nouveautés attendaient les habitués de ce parcours haut en couleur et varié en fragrances, dont quatre nouveaux jardins à visiter répartis aux quatre coins du territoire rosemèrois.
Si vous n’êtes pas familier avec le concept, sachez que la Ville de Rosemère offre l’opportunité de parcourir un circuit fleuri en voiture, en vélo ou à pied depuis près de 20 ans. Les citoyens ont la chance de découvrir des aménagements horticoles réalisés par des passionnés qui, une fois par année, éprouvent le besoin d’en dévoiler les splendeurs à un large public.
<h3>Deux voisins, deux histoires différentes</h3>
Pour l’un des propriétaires, cette passion pour les plantes et les aménagements extérieurs originaux et distingués a commencé il y a une douzaine d’années, alors qu’il souhaitait simplement construire un petit jardin pour sa femme. Tel un autodidacte, il a feuilleté les magazines de jardinage, pour entreprendre un projet laborieux remplissant l’entièreté de sa cour arrière aujourd’hui.
Ses voisins, de leur côté, sont des habitués du sujet à l’origine, l’un d’eux étant professeur à la retraite et spécialiste en horticulture. Là aussi, la propriété montre le résultat d’un travail appliqué.
«C’est lui qui m’a donné la piqûre, puisqu’il est un expert en la matière. J’ai appris en sa compagnie» , explique l’un des copropriétaires, spécifiant qu’il exerce cette vocation depuis plusieurs décennies. Le couple n’est d’ailleurs pas à sa première participation à la visite des Jardins secrets.
<h3>Exposition et musique</h3>
Sur l’heure du dîner, soit entre 11 h 30 et 13 h 30, les convives pouvaient se déplacer vers les jardins de la Maison Hamilton, où une aire de repos était à disposition. On y offrait un spectacle musical et une exposition de toiles afin de souligner le 19 anniversaire des Jardins secrets.
Notons au final que tous les profits générés par la vente des billets (au coût de 15 $ chacun) étaient remis, encore cette année, à l’organisme Les Petits Plaisirs dont le mandat est d’offrir un moment de répit aux familles dont un enfant vit avec un handicap.

Des Rosemèrois dévoilent la beauté de leurs espaces verts

Selon des témoins, c’est vers 23h00 que la victime, un homme de 32 ans, a subi des blessures sérieuses,  causées par un objet contondant, suite a une altercation impliquant possiblement deux autres individus, alors qu’il revenait à son domicile. La victime fût transportée dans un centre hospitalier et est actuellement traitée pour y recevoir des soins. Son état de santé est jugé sérieux, mais stable.
Les agents de la RIPTB ont rencontré au cours de la nuit plusieurs témoins et les enquêteurs examinent actuellement la scène, assistés d’un technicien en identité judiciaire de la Sureté du Québec.
<h3>L’aide du public demandée</h3>
La RIPTB désire informer la population qu’elle recherche activement deux individus d’environ 25 ans, (un de race blanche, l’autre de race noire) qui auraient pris la fuite avant l’arrivée des policiers, à bord d’un véhicule de type berline, quatre portes de couleur noire, l’évènement est survenue dans le secteur de la rue Sicard et Blainville ouest à Sainte-Thérèse.
Toute information concernant cet événement peut être transmise de façon confidentielle à la RIPTB  au 450 435-2421 poste 0

Sainte-Thérèse: La RIPTB enquête une tentative de meurtre

Dans cette mise à jour, le choix du site de la rue Victor est, en effet, celui favorisé par exo, plutôt que celui de la rue Charles, qui a aussi été pris en considération, selon ce qu’a dévoilé la Ville de Mirabel. Les motifs qui militent en faveur de ce choix ont trait, entre autres, à la sécurité, aux coûts, à la fluidité et au respect des délais dans l’aménagement des lieux; mais aussi parce qu’il permet une construction dès l’année 2019.
«La nouveauté est que l’étude mentionne que le contexte est propice pour la construction d’une gare à Mirabel puisqu’elle pourrait faire partie des alternatives de déplacement mises à la disposition de la population du nord-ouest de la couronne nord et des usagers de la ligne de trains Deux-Montagnes, particulièrement dans le contexte des travaux de construction du Réseau express métropolitain (REM) qui vont leur compliquer la vie dans les prochaines années» , de préciser, par courriel, Caroline Julie Fortin, conseillère en relations médias et affaires publiques pour exo. Celle-ci ajoute aussi que exo «devrait être en mesure d’annoncer l’appel d’offres pour la production des plans et devis bientôt» .
<h3>Un appel à la collaboration</h3>
«L’analyse multicritères confirme que l’emplacement que nous avons toujours privilégié dans l’aménagement de la future gare est le bon» , de se réjouir, dans un communiqué de presse, le maire de Mirabel, Jean Bouchard, lequel espère maintenant que le processus d’appel d’offres pour la préparation des plans et devis sera enclenché au plus tôt afin d’éviter des coûts additionnels. Celui-ci rappelle en outre que ce site «a toujours fait consensus autant chez la population mirabelloise, le milieu économique que pour la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours» .
Du même souffle, le maire de Mirabel demande aussi à l’UPA de collaborer et de «ne plus s’opposer au projet d’implantation de la gare rue Victor, de respecter la recommandation et de travailler main dans la main avec les autorités municipales afin de donner le plus tôt possible accès aux citoyens de Mirabel à des installations de transport collectif auxquelles ils ont droit, dans un contexte de congestion quotidienne du réseau routier» .
<h3>La réplique de l’UPA</h3>
Pour sa part, l’UPA se dit encore en désaccord avec le choix d’un site en zone agricole pour ce projet de gare à Mirabel, et privilégie toujours un site en zone urbaine.
L’UPA, également par voie de communiqué de presse, estime que l’analyse d’exo en est une «bâclée» et qu’elle «suscite plus d’interrogations que de réponses» . «Une seule chose est claire: jamais l’UPA ne cautionnera un projet qui met en danger la pérennité d’une zone dynamique agricole comme celle de Mirabel, à plus forte raison lorsqu’un site alternatif existe, en zone urbaine» , d’affirmer sans détour l’UPA.
«Construire une gare sur une des terres les plus fertiles de la province relève d’une façon de faire dépassée, qui occulte complètement les coûts économiques et sociaux liés à la mise en péril d’une zone agricole déjà fragilisée par une pression urbaine importante. Dans l’éventualité où ce projet voit le jour, l’UPA se fera un devoir, dans l’avenir, de le citer comme un exemple d’aménagement urbain à ne pas suivre» , de conclure l’UPA.