«Nous avons la parité entre des conseillers élus qui se présentent encore avec le RDCB, et des nouveaux candidats qui souhaitent apporter leurs idées et mettre un premier pied en politique municipale. C’est un équilibre idéal entre l’expérience et le vent de fraîcheur, et la chimie que cela crée dans l’équipe est porteuse de beaucoup d’espoir pour la Ville de Boisbriand», a bien résumé Mme Cordato, fière d’avoir rassemblé autant de talents et d’expertises autour de l’objectif commun qu’est le développement de Boisbriand.
Les conseillers municipaux actuellement élus qui se représentent aux côtés de Mme Cordato sont Érick Rémy dans le quartier Dugué, Christine Beaudette dans le quartier Filion, Daniel Kaeser dans le quartier Brosseau et Lori Doucet dans le quartier Dion. Érick Rémy et Lori Doucet solliciteront chacun un second mandat, tandis que Daniel Kaeser et Christine Beaudet brigueront leur troisième mandat, élus tous deux depuis 2009.
Nouveaux visages
Parmi les nouveaux visages qui se joignent au RDCB figurent Catherine Dubeau dans le quartier Sanche, Isabel Sayegh dans le quartier Dubois et Karine Laramée dans le quartier Labelle, toutes trois présentées en mai dernier. S’ajoute au trio Jean-François Hecq, dans le quartier Desjardins.
«Je suis extrêmement fière d’avoir rassemblé un panel de citoyens aussi diversifié, engagé et prêt à mettre l’épaule à la roue. Boisbriand est en constant changement, et nous avons besoin de gens qui connaissent bien leur milieu et qui ont à coeur le bien-être de leurs voisins. Rallier ces huit personnes qui ont déjà accompli beaucoup dans leurs milieux respectifs pour en faire une équipe solide qui travaillera pour le bien de notre ville, c’est une réussite dont je suis très fière!», s’est exclamée la mairesse.
À savoir pourquoi certains conseillers municipaux ne se représentent pas au sein du RDCB, Marlene Cordato répond simplement : «Au fil du temps, les intérêts et les priorités changent. Quand cela a un impact sur l’engagement envers le citoyen, il faut réfléchir et prendre les décisions qui s’imposent si elles ne cadrent plus avec l’intérêt général. En tant que mairesse, je me dois de garder en priorité numéro un la valeur ajoutée pour le citoyen, et cela veut dire les meilleurs représentants pour eux.»
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