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Eric Westram, résident de Rosemère depuis 1980 « Ce qui m’a attiré, c’est son charme… »

Photo Vincent Yergeau –

Eric Westram, maire de Rosemère et préfet de la MRC de Thérèse-De Blainville.

Eric Westram, résident de Rosemère depuis 1980 « Ce qui m’a attiré, c’est son charme… »

Publié le 11/03/2023

Né à Milan, en Italie, d’une mère biologique italienne, adopté par une mère française et un père allemand, arrivé au Canada par bateau via la ville de Québec à l’âge de 4 ans, Eric Westram a grandi dans le quartier Côte-des-Neiges, à Montréal. Comme beaucoup d’élus municipaux, c’est le bénévolat qui a amené celui qui a été entraîneur de soccer pendant 33 ans à Rosemère à la politique.

Élu conseiller municipal une première fois en 2005, réélu à deux autres reprises (2009 et 2013), c’est en novembre 2017 qu’il accède au poste de maire de Rosemère qu’il va conserver au scrutin de novembre 2021. En quelques questions, M. Westram nous parle ici de sa plus « récente » ville d’adoption, « sa Rosemère ».

  • Depuis quand vivez-vous à Rosemère ?

J’y suis établi depuis 1980, après avoir rencontré le 10 mars 1979, à Rosemère, celle qui deviendra la maman de nos deux grandes filles.

  • Après toutes ces années, qu’aimez-vous de Rosemère ? Quels sont vos coups de cœur actuels pour cette ville ?

Ce qui m’a attiré et qui m’attire encore de Rosemère, c’est son charme, ce mélange de champêtre, de multiculturalisme, multigénérationnel, la qualité de ses services. Bref, un endroit où il fait bon vivre. Mon coup de cœur, c’est de voir comment les citoyens sont fiers de leurs aménagements paysagers.

  • À titre de maire, vous sentez-vous satisfait et fier de votre apport à ce qu’est devenue Rosemère ?

Je suis d’abord fier d’avoir le privilège de servir ma communauté en gérant de façon responsable les deniers publics, tout en maintenant notre avantage concurrentiel en matière de taxation et de niveau de services élevés, malgré les défis que la pandémie et l’économie inflationniste qui nous ont affectés et nous affectent encore. Tout cela en pouvant compter sur un groupe d’élus et de fonctionnaires dévoués.

  • Comme père de famille, et comme grand-père, quel serait le message que vous souhaitez adresser à ceux et celles qui ont songé à s’établir à Rosemère et qui hésitent encore à le faire 

Je leur dirais, comme je le dis chaque fois, que s’établir à Rosemère, c’est un choix que vous ne regretterez pas en raison de la beauté de son territoire, du choix d’écoles publiques et privées qu’on y trouve, de la proximité à la rivière et aux marais, de son côté commercial offrant des produits et services de qualité, de sa gare de train [au 287, chemin de la Grande-Côte], de sa bibliothèque de renom et de sa communauté respectueuse de son environnement.

  • Et en rafale…

• Père de trois filles : Catherine (36 ans), Michelle (35 ans) et Sandrine (15 ans).

• Grand-père cinq fois: Jean Frédéric, Étienne, Charles Édouard et les jumelles Alizée et Maeva.

• Restos favoris : Café de la Gare Rosemère et le restaurant Succeda.

• Commerce le plus fréquenté : Canadian Tire (ha! ha!)

Propos recueillis par Benoît Bilodeau