Cette séance d’information sera l’occasion de présenter les actions et les défis d’exo. Les participants sont invités à poser leurs questions de trois manières différentes, soit en les faisant parvenir via le site web d’exo avant le 24 mars à 23 h 59 , sur place au microphone  ou encore en direct sur le fil de discussion Facebook lors de la séance publique.



Lors de la période de questions, il y aura alternance entre celles reçues à l’avance sur le site web d’exo et celles posées sur place dans la salle. En conclusion, si le temps le permet, les questions posées en direct sur le fil de discussion de l’événement transmis sur Facebook seront aussi abordées.



« Cette séance sera l’occasion de présenter les actions concrètes que nous mettons en place pour augmenter l’attractivité de nos services de transport collectif. Il est important pour nous d’aller rencontrer, en personne et en virtuel, notre clientèle pour échanger et répondre à leurs questions. Cette séance d’information publique, qui se déroulera à Blainville, sera l’occasion pour les usagers de la couronne nord de venir s’entretenir en personne avec les représentants d’exo sur place, notre présidente du conseil d’administration, Josée Bérubé, et moi-même. Nous avons hâte de vous rencontrer », a déclaré Sylvain Yelle, directeur général d’exo.



Pour toutes informations à propos de la séance publique du 28 mars ou pour poser vos questions : <a href="https://exo.quebec/fr/a-propos/seances-publiques">https://exo.quebec/fr/a-propos/seances-publiques</a>.



Il sera possible d’accéder au visionnement de la séance d’information publique directement sur la page <a href="https://www.facebook.com/alloexo/events">Facebook d’exo</a>.

Fondée en 2016 par la Blainvilloise Linda Petrozza, la Fondation Femina soutient les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale grâce à des dons matériels ou en argent.



« En 2016, il y a eu une prise de conscience où on se rend compte qu’on est choyé par la vie, mais aussi que ce n’est pas toutes les femmes qui le sont », se souvient la fondatrice.



Depuis, ce sont 78 maisons d’hébergement à travers la province, dont la Maison le Mitan à Sainte-Thérèse et la Maison d’Ariane à Saint-Jérôme, qui ont bénéficié des dons de la Fondation Femina.



Une aide concrète pour les femmes



« Ce qui me rend le plus fière, c’est de recevoir des messages des maisons et des femmes qui nous confirment que la fondation a un réel impact sur la femme victime de violence conjugale, qu’on aide vraiment la femme à reprendre le contrôle sur sa vie », souligne Mme Petrozza.



Chaque année, la fondation offre une aide financière aux maisons d’hébergement qui souhaitent concrétiser certains projets. L’année dernière, la Fondation Femina a offert près de 40&nbsp;000$ pour permettre à 11 projets de se réaliser.



« On a entre autres donné de l’argent à la Maison le Mitan qui voulait offrir des rencontres d’informations, pour aider les femmes à se centrer sur elles et reprendre le pouvoir sur leur vie », décrit Mme Petrozza. Aussi, des bourses ont été remises pour permettre aux femmes qui le désiraient de retourner aux études et ainsi leur offrir de meilleures opportunités sur le marché du travail.



Puis depuis ses tout débuts, la fondation met sur pied une collecte de Noël pour les redistribuer dans des maisons d’hébergement partout à travers le Québec. En 2022, ce sont plus de 5100 cadeaux qui ont été offerts dans 65 maisons.



Puisque la fondation est exclusivement menée par des bénévoles, celle-ci n’a déboursé aucun sou pour la livraison des cadeaux. « On a eu des partenaires et des bénévoles qui ont assumé les frais de livrer les cadeaux aux maisons. Les gens sont généreux, on est très bien supporté », assure la fondatrice.



Garder l’œil ouvert



« La violence conjugale est beaucoup plus présente dans notre communauté que ce que chaque personne peut s’imaginer », soulève Mme Petrozza. Au-delà de la fondation, cette dernière souhaite que chacun soit alerte aux signes afin de potentiellement intervenir&nbsp;: « On a tous la responsabilité de garder les yeux ouverts, de reconnaître les signes et de faire appel à SOS violence conjugale si on suspecte que quelqu’un de notre entourage en subit. Je crois que c’est une obligation collective que nous avons ». « J’invite aussi tous les membres de la communauté à supporter la maison d’hébergement de leur région pour aider ces femmes, qui peuvent même être dans notre famille sans le savoir », termine Mme Petrozza.

Fondation Femina : Aider la femme victime de violence à reprendre le contrôle sur sa vie

M. Roy a profité de cette occasion pour annoncer différents projets pour lesquels il demande la collaboration des membres et sympathisants du Bloc Québécois RDMI.



&nbsp;Le député de Mirabel du Bloc Québécois, Jean-Denis Garon, a également pris part à l’assemblée. Il a décrit «&nbsp;le chaos régnant à Ottawa dans tous les dossiers&nbsp;».&nbsp; Le député de Rivière-des-Mille-Îles, Luc Desilets, a quant à lui souligné les défis auxquels seront confrontés les députés du Bloc Québécois, notamment en ce qui concerne la clause de dérogation inscrite dans la Constitution canadienne de 1982 dont le gouvernement libéral souhaite la modification «&nbsp;afin que le Québec ne puisse plus l’utiliser dans l’adoption de ses lois&nbsp;», souligne-t-on par voie de communiqué.



&nbsp;La réunion a été suivie du congrès de circonscription, lequel s’est traduit par l’adoption des propositions inspirées de la «&nbsp;Proposition principale&nbsp;», qui seront envoyées au parti pour être débattues en vue du prochain congrès national du Bloc Québécois qui se tiendra les 19, 20 et 21 mai.



&nbsp;«&nbsp;L’exercice effectué aujourd’hui est un exemple remarquable de notre démocratie au sein de ce parti et du sérieux accordé aux objectifs et plans d’action du parti. Je tiens à féliciter tous les autres membres du conseil pour leur élection pour nous donner la chance, au cours de ce mandat, de réaffirmer par nos projets, nos convictions indépendantistes », a déclaré Benoît Roy.

Exo tiendra une séance publique le 28 mars