Dès 21h30 ce soir et jusqu&#8217;à 5h demain matin, des voies de l&#8217;autoroute 640 en direction ouest feront l&#8217;objet de fermetures non simultanées à la hauteur de la sortie no24. De plus, la bretelle par le boulevard des Châteaux à Blainville sera complètement fermée durant ce délai.



Les usagers voulant accéder à l’autoroute 640 en direction ouest pourront emprunter un détour via le chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse, la rue de la Renaissance, le boulevard d’Annecy et le boulevard René-A.-Robert, pour ensuite rejoindre la voie de desserte.



Pour connaitre les entraves en cours, le ministère des Transports et de la Mobilité durable vous invite à consulter <a href="https://www.quebec511.info/fr/default.aspx" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Québec 511</a>.

Ce cahier présente toutes les stratégies développées au cours des 15 derniers mois avec le comité de candidature. Il s’agit d’une source d’information très précieuse pour le futur comité organisateur, si Blainville est choisie comme milieu hôte pour présenter la 60e finale en 2026.



« Nous sommes très fiers du cahier que nous déposons ce matin. C’est tout un travail qui a été fait dans la dernière année, autant au niveau du financement que de la mobilisation, mais aussi au niveau de la réflexion derrière les stratégies, qui a été en constante évolution jusqu’à la toute fin. Le comité de candidature a mis de l’avant des idées qui nous ressemblent et qui feront briller Blainville jusqu’au Jeux en 2026 », a déclaré la mairesse de Blainville, Liza Poulin.



<h2>Retour en arrière</h2>



C’est en mai 2022 que la mairesse Liza Poulin a proposé la candidature de Blainville comme milieu candidat à SPORTSQUÉBEC. Par la suite, le comité de candidature a commencé à prendre forme avec, en tête, Mathieu Poirier, président de Jardin Dion.



Le comité de candidature est composé de 30 personnes de la région, issues de différents milieux : affaires, communautaire, scolaire, culturel et associatif. Des sous-comités ont été formés en fonction des expertises de chacun, et des rencontres ont eu lieu tout au long de l’année afin de développer les meilleures pratiques.



« La dernière année a été incroyable! Une complicité sincère s’est développée au sein du comité et j’ai senti cette volonté des membres de se surpasser dans le cadre de la candidature, afin d’offrir une 60e finale des Jeux du Québec exceptionnelle pour les jeunes athlètes en 2026 », a souligné Mathieu Poirier, président du comité de candidature.



<h2>Les prochaines étapes</h2>



En octobre prochain, un comité de présentation, composé de huit personnes du comité de candidature, se rendra aux bureaux de SPORTSQUÉBEC afin de présenter devant un jury les différentes stratégies exposées dans le troisième ouvrage.



L’annonce du milieu hôte devrait avoir lieu dans les jours qui suivront la présentation officielle.



<h2>Continuez d’appuyer la candidature de Blainville</h2>



Jusqu’à la toute fin du processus de candidature, il est possible d’appuyer la Ville de Blainville en remplissant le <a href="http://blainville.ca/jeux-quebec" target="_blank" rel="noreferrer noopener">formulaire en ligne</a>.

Membre du comité de Blainville pour les Jeux du Québec 2026

Jeux du Québec 2026: Blainville franchit une nouvelle étape

À la <a href="https://nordinfo.com/actualites/blainville-en-fete-une-journee-familiale-a-saveur-artistique" target="_blank" rel="noreferrer noopener">programmation</a> de Blainville en fête, on retrouve entre autres Look-up, un cirque d’acrobatie aérienne. La troupe met en vedette le côté très artistique du cirque. « On a une discipline assez unique qui s’appelle le Swaypole », explique William Poliquin-Simms, directeur général et artistique de Poliquin-Simm2.



Cette discipline implique une longue pole flexible sur laquelle les artistes se retrouvent au sommet. « La perche fait 20&nbsp;pieds de haut. Et on a un acrobate qui est en haut et qui la fait balancer dans tous les sens », continue-t-il.



Ce genre de numéro se veut poétique, amenant un moment de contemplation pour le spectateur. Les artistes qui performent ont souvent des accessoires, permettant d’illustrer leur chorégraphie « C’est une danse aérienne acrobatique », spécifie le directeur général et artistique.



<h2>Un parcours unique</h2>



« Mon frère, Vincent, à la base était un danseur contemporain qui est devenu un artiste de cirque. Et moi, je suis son antipode&nbsp;: acrobate, clown, dynamique », explique William Poliquin-Simms, soulignant se compléter dans ces facettes.



Les deux frères ont ainsi approché le monde du cirque il y a environ 15&nbsp;ans. Natifs de la ville de Québec, ils ont fait l’école de cirque de Québec pour ensuite se lancer dans ce métier peu conventionnel. Ils ont voyagé dans de nombreux pays, mais rêvaient de revenir pratiquer dans leur pays.



« On voulait des projets qui répondaient et apportaient une belle variété », confirme William Poliquin-Simms en mentionnant leur entreprise&nbsp;Poliquin-Simms2. Avec la pandémie, ils ont investi afin de proposer leur style sur la route. « On a développé les swaypole. On a créé des remorques-scènes autonomes. On a changé les choses pour être moins à l’international et avoir davantage le pouvoir décisionnel », explique-t-il. Ainsi, avec leurs troupes, ils peuvent choisir les endroits qui leur conviennent, autant au Québec qu’à l’international.



L’idée même de l’entreprise est de pouvoir se promener et aller à la rencontre de tout un chacun. Le fait de se rendre dans les Basses-Laurentides est une première, mais ils soulignent qu’avec l’organisation, ce n’est certainement pas une dernière. 



« C’est notre mission&nbsp;: de développer et de rendre les arts vivants les plus accessibles possible à l’ensemble de la population. Il n’y a pas juste Montréal et Québec qui ont droit à de beaux événements de qualité », explique-t-il, emballé de l’événement à venir à Blainville.

Fermetures cette nuit sur l’autoroute 640