Pour arriver à relever ce défi, les participantes se sont entraînées pendant plusieurs semaines, encadrées par des intervenantes scolaires et des ambassadrices de Fillactive, une fondation qui les encourage à adopter un mode de vie sain et actif dans un environnement valorisant.
Depuis 2007, Fillactive a sensibilisé plus de 110 000 adolescentes au Québec et en Ontario à l’importance de l’activité physique en mettant sur pied le programme d’entraînement FitClub.
Soulignons que cette même course a eu lieu à Québec le 9 mai, puis à Toronto le 17 mai tandis que d’autres regroupements semblables sont prévus ailleurs au Québec et en Ontario dans les prochaines semaines. Au total, en 2016, ce sont plus de 12 000 filles qui y auront pris part.
«Non seulement nous sommes en train de renverser les statistiques grâce à nos programmes mais nous sommes à créer des changements durables dans nos communautés», a fièreemnt mentionné Claudine Labelle, présidente et fondatrice de Fillactive. 
Sophie Grégoire comme porte-parole
Pour ajouter à l’approche éprouvée de Fillactive, l’organisme compte maintenant sur l’implication active d’une porte-parole de renom en la personne de Sophie Grégoire Trudeau. 
«C’est une cause qui me tient personnellement à coeur depuis de nombreuses années, a-t-elle affirmé. C’est donc un immense honneur pour moi de concrétiser mon engagement avec Fillactive en jouant un rôle pour sensibiliser les jeunes filles sur les bienfaits d’un mode de vie actif.»
Soulignons que la FitClub a pour but d’aider les milieux scolaires à implanter des environnements favorables pour faire bouger les adolescentes, entre amies, dans un cadre non-compétitif, et ce, peu importe le milieu et le bagage de chacune. Pendant 8 à 10 semaines, les participantes devaient s’engager à s’entrainer trois fois par semaine dont deux avec leur groupe scolaire en vue de la course de Fillactive. La grande réussite de Fillactive est de savoir que 70 % des participantes de la FitClub maintiennent un mode de vie actif, et que par conséquent, les changements qui s’opèrent sont durables.
Pour y contribuer, il suffit de visiter le [fillactive.ca].

Fillactive: des dizaines d’adolescentes au pas de course

Candidat défait aux élections de 2009 et de 2013, Florent Gravel ne se gêne pas pour dénoncer sévèrement certaines des actions posées par l’administration Perreault depuis l’élection de ce dernier à titre de maire.
Preuves à l’appui, il parle notamment de manquements à la loi électorale, reprochant entre autres au parti Vrai Blainville, dirigé par Richard Perreault, les constats d’infraction que lui a émis le directeur général des élections (DGE) «pour la production d’un rapport financier incomplet et pour avoir payé des factures hors délai», soutient Florent Gravel.
«Je ne comprends pas qu’une équipe qui est en place depuis de nombreuses années commette des infractions aussi banales que ça. Cela démontre que cette organisation gère mal son parti. Comment peut-elle bien gérer la Ville?» se questionne le chef de Mouvement Blainville à ce sujet.
Des liens étroits avec Tapage refont surface
Florent Gravel revient également sur les frappes de l’UPAC à l’hôtel de ville de Blainville et chez Tapage Communications/Domco, en avril 2015. Il en rajoute en s’insurgeant contre le fait que le conseiller Patrick Marineau ait nié avoir travaillé pour Dominic Cayer, président de Tapage/Domco, lorsque questionné à ce sujet par une citoyenne en pleine séance du conseil.
«Nous avons la preuve qu’il y a travaillé», insiste le candidat à la mairie, exhibant en preuve un dépliant datant de 2012 dans lequel M. Marineau est cité comme étant à l’emploi de Tapage/Domco.
Florent Gravel s’interroge en outre sur les liens qui unissent le maire Perreault et son conseiller principal en communication, Yannick Proulx, employé de Tapage de 2008 à 2015, «selon le site LinkedIn», précise-t-il.
«Mais la goutte qui fait déborder le vase, poursuit Florent Gravel, c’est la nomination de Yannick Proulx comme poste cadre au sein de Blainville. […] Quelques semaines après l’annulation du contrat [un contrat de quelque 183 000 $ entre Blainville et Tapage/Domco annulé quelques jours après la visite de l’UPAC], Yannick Proulx s’est ouvert une entreprise, YP Communications, qui, de août 2015 à janvier 2016, a facturé 21 700 $ à la Ville de Blainville. Pour ne pas dépasser les 25 000 $ et être obligé d’aller en soumission, il a ensuite été embauché par la Ville de Blainville.»
Transparence éthique et imputabilité
Selon Florent Gravel, en s’associant avec d’anciens employés d’une firme de communication visée par l’UPAC, l’administration Perreault «trahit allègrement les valeurs de base de toute administration municipale responsable et se moque de la population».
«Dominic Cayer a toujours été très proche du maire, conclut Florent Gravel. On sait qu’il a été conseiller municipal. Il a été président du parti à ses débuts et y a investi 10 000 $ de sa poche. C’est lui qui fait toutes les campagnes électorales. Il a ramassé, dans l’ère Cantin, plusieurs millions de dollars en contrats. […] Mais aujourd’hui, que Yannick Proulx, un employé de Dominic Cayer pendant plusieurs années, soit conseiller principal du maire, c’est proche de l’inceste!»
Nous avons communiqué avec le maire Richard Perreault pour qu’il réagisse à ces allégations, mais celui-ci a préféré ne pas commenter pour l&#8217;instant.

Blainville:  Gravel tire à boulets rouges sur l’équipe Perreault

Le soleil et la chaleur pesaient lourd, mardi après-midi, moment qu’on avait choisi pour inaugurer ces nouvelles installations, c’est à dire 35 jardinets de tailles variables :10 pieds par 20 pieds, 10 pieds par 10 pieds et 5 pieds par 4 pieds. Ces derniers sont réservés aux personnes à mobilité réduite et, pour ce, bénéficient d’une structure surélevée et sont entourées d’allées plus large favorisant la circulation en fauteuil roulant.
Travailler la terre
On inaugurait donc ces installations, mais de toute évidence, le lieu était déjà fréquenté puisqu’on pouvait observer que de nombreuses pousses émergeaient du sol et que l’on avait déjà commencé à «travailler la terre». «On utilise ce terme parce qu’on comprend bien que les légumes, les fruits, les fines herbes, ça ne pousse pas tout seul, que les mauvaises herbes, ça ne s’arrache pas tout seul, mais par des jardiniers passionnés», faisait d’ailleurs remarquer la responsable des communications à la Ville de Sainte-Thérèse, Mélissa Collin, appuyée en cela par la mairesse Sylvie Surprenant qui, en prenant la mesure de l’enthousiasme des citoyens-jardiniers présents sur les lieux, risquait une prédiction à l’effet que la récolte serait excellente dans ce lieu désormais appelé Le Jardin urbain. «Voilà un nom qui nous rappelle la place que nous faisons à l’agriculture urbaine dans notre communauté, de même que l’endroit où nous nous trouvons», indiquait Mme Surprenant, en suggérant que Sainte-Thérèse avait à la fois le profil d’une ville et d’un village.
Un lieu d’interaction sociale
La mairesse rappelait également que le tout premier jardin communautaire, appelé Le Boisé, avait été inauguré il y a une vingtaine d’années, à l’angle des rues Saint-Pierre et Éloi-Filion, alors qu’elle était conseillère municipale dans ce quartier. «C’est d’ailleurs la liste d’attente pour Le Boisé qui nous a confirmé que la demande était bien présente pour un deuxième jardin communautaire chez nous», tout en signalant que ce projet avait été réalisé pour les citoyens, dans une optique de développement durable.
«Un jardin communautaire, a également exprimé Mme Surprenant, c’est un lieu propice aux interactions sociales et aux échanges intergénérationnels. Il permet de briser l’isolement, tout en augmentant le sentiment d’appartenance des citoyens au milieu de vie qu’ils embellissent.»
Pour et par les citoyens
Cette dernière saluait le travail du Service des sports et des loisirs communautaires (représenté par sa directrice, Claire Loiselle), du Service de l’urbanisme et du développement, les Services techniques et le Service des travaux publics, parcs et bâtiments, lesquels ont réalisé cet espace qui sera désormais géré par un conseil d’administration formé par les citoyens-jardiniers eux-mêmes.
De son côté, Claire Loiselle se réjouissait tout haut de cette prise en charge citoyenne et de l’ouverture manifestée par les usagers pour la dimension intergénérationnelle du projet. C’est que, aux 34 jardiniers qui ont pu obtenir un lot (c’est complet pour cette année), se joindront les membres de quelques familles, une éventualité qui a obtenu une adhésion immédiate de la part de tous les participants, relatait Mme Loiselle.
À noter qu’en plus des espaces de jardinage offerts, on trouve également, au Jardin urbain, deux composteurs, un cabanon et des tables de pique-nique. Une formation sur le compostage sera par ailleurs dispensée à l’intention des usagers.