Les quelque 1 200 membres du SFPQ travaillant dans les accréditations visées débrayeront en même temps, perturbant ainsi les activités. «Ce n’est pas de gaité de cœur que nous annonçons une nouvelle grève. Il s’agit malheureusement du seul moyen pour assurer des conditions de travail décentes à celles et ceux qui œuvrent à protéger nos plus beaux espaces naturels. Bien que nous souhaitions donner une chance à la négociation, nous devons respecter les délais légaux et signifier dès aujourd’hui notre intention de faire la grève. Pour le moment, le gouvernement Legault ne permet toujours pas à la Sépaq de bonifier son offre de la dernière fois. On fait face à un employeur et un gouvernement qui maintiennent une offre déconnectée du marché du travail», explique Christian Daigle, président général du SFPQ.
La grève touchera les établissements suivants: Parc national d’Aiguebelle; Parc national du Bic; Parc national de Frontenac; Parc national de la Gaspésie; Parc national des Grands-Jardins; Parc national de l’île-Bonaventure et du Rocher-Percé; Parc national des Îles-de-Boucherville; Parc national de la Jacques-Cartier; Parc national Miguasha; Parc national du Mont-Mégantic; Parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie; Parc national de Plaisance; Parc national du Lac-Témiscouata; Parc national d’Opémican; Parc national du Mont-Orford; Parc national du Mont-Saint-Bruno; Parc national du Mont-Tremblant; Parc national des Monts-Vallin; Parc national d’Oka; Parc national de la Pointe-Taillon; Parc national du Saguenay; et le Parc national de la Yamaska.
Rappelons qu’à l’issue d’une tournée de votes les travailleuses et les travailleurs de la Sépaq, membres du SFPQ, se sont prononcés à 94 % en accord avec le déclenchement d’une grève générale au moment opportun. Il s’agit d’un pourcentage historique de la part des membres de la Sépaq.
La négociation porte sur le renouvellement des conventions collectives des quelque 2 500 membres du SFPQ travaillant dans les parcs nationaux, les réserves fauniques, le Manoir Montmorency, le Parc de la Chute-Montmorency, la Station touristique Duchesnay, le siège social, le camping des Voltigeurs, les centres touristiques du Lac-Kénogami et du Lac-Simon, le Gîte du Mont-Albert, l’Auberge de montagne des Chic-Chocs, l’Auberge de Port-Menier ainsi que l’Aquarium du Québec.

Cette délégation de l’organisme Tricentenaire Inc. a effectué un long voyage vers le Québec pour présenter un projet devant le jury du Conseil québécois d’Agrément (CQA), dont la mission est de soutenir les organisations dans leur démarche d’amélioration continue de la qualité des services, ainsi que de certifier publiquement que les exigences circonscrites par chacun des programmes qualité du CQA sont satisfaites.
Cette visite était l’occasion pour les représentants de Tricentenaire Inc. de rencontrer des organisations québécoises oeuvrant dans le même champ d’activités et de s’inspirer de leurs approches, projets et bons coups.
La direction du CISSS des Laurentides s’est fait un plaisir d’accueillir les représentants de cette délégation et leur présenter le programme en partenariat de soins et de services, ainsi que le programme Intégration travail, qui vise le développement de l’employabilité des usagers aux programmes déficience intellectuelle, trouble du spectre de l’autisme et déficience physique.
Par la suite, une tournée et visite de deux milieux d’activités de travail a eu lieu, soit le plateau de travail au Collège Lionel-Groulx et le stage de groupe à l’entreprise Import Dragon à Boisbriand.
Tricentenaire Inc.
Tricentenaire Inc. est un organisme à but non lucratif du Luxembourg qui accueille et héberge une clientèle adulte avec des déficiences physiques et intellectuelles, comptant 237 employés, et offrant ses services à 222 usagers.
Sa mission et d’améliorer leur qualité de vie et de leurs familles, dans la dignité humaine. Il offre des services d’hébergement, de centre de jour spécialisé, de coordination et de prestation d’aide et de soins, de soutien psychosocial et thérapeutique, de formation et de travail, des activités sportives et de loisirs et des activités d’intégration sociale.

CISSS des Laurentides: Une délégation du Luxembourg venue explorer nos soins et services

Cette catégorie de prix consiste en une compétition entre les anciens gagnants nationaux canadiens du concours et qui honore l’ensemble de l’oeuvre d’une municipalité en matière d’embellissement horticole et de protection du patrimoine forestier.
«La mise en valeur des espaces verts est inscrite dans l’ADN de Rosemère et le mode de vie de nos citoyens. Ce prix, nous le recevons avec fierté, car il revient surtout à la collectivité rosemèroise. Ce sont nos citoyens et nos commerçants qui, année après année, enjolivent leur parterre, prennent soin de leurs arbres et qui, par leurs initiatives, favorisent le bon voisinage et le bien-être global de la communauté», souligne le maire de Rosemère, Eric Westram.
Il ajoute: «Je pense également aux citoyens qui participent à nos initiatives de protection du milieu naturel ou de revitalisation de jardins communautaires, de même qu’à notre personnel qui entretient nos espaces verts publics. Je les remercie tous pour leurs efforts continus à embellir notre paysage, à protéger notre forêt urbaine et à assainir notre environnement.»
Dans le contexte actuel de changements climatiques et de préoccupations environnementales, Rosemère est fière d’être une ville verte et le démontre par ses initiatives continues avec la collectivité : concours Rosemère en fleurs, Visite des jardins secrets, maintien de la classification de cinq fleurons du Québec, projets communautaires de plantations d’arbres et de fleurs, participation annuelle au concours canadien Collectivités en fleurs, etc.
Une cinquantaine de prix
Au cours des 25 dernières années, Rosemère a obtenu une cinquantaine de prix et de distinctions dans différents concours de mise en valeur des espaces verts, dont celui de Collectivités en fleurs, qui lui permet, chaque année, de renouveler son engagement communautaire et de raviver la fierté des Rosemèrois.
Des juges bénévoles et engagés sillonnent, tous les étés, les rues des municipalités inscrites au programme de Collectivités en fleurs, pour évaluer tous les secteurs d’activités de la collectivité – municipal, commercial et privé, incluant les actions bénévoles, à partir des critères suivants: propreté, action environnementale, protection du patrimoine, foresterie urbaine, paysage et aménagement floral. Les juges reconnaissent aussi l’engagement communautaire global de la collectivité dans les projets de jardinage et d’horticulture, notamment la création de jardins communautaires en partenariat avec deux institutions scolaires, l’intégration de plantes comestibles dans les aménagements paysagers et le partage avec les banques alimentaires locales de ces récoltes.

Grève des employés au parc national d’Oka