Dans notre grande région des Basses-Laurentides, un jeune garçon mérite toute notre attention. Il s’agit de Jacob Blondin qui fait face à une grave maladie depuis la fin de l’année 2023.&nbsp;



C’est toute une vague d’amour, de solidarité et de soutien que le jeune Jacob Blondin, 13&nbsp;ans, a reçu ces dernières semaines après avoir appris, vers la fin du mois de novembre,&nbsp;<a href="https://www.facebook.com/AHMMirabel/posts/809308230996336/?paipv=0&amp;eav=AfZH2GmVSzcG5dsoMaLmjbyCYky8E1qSn0mxQMpGQT1ZYboJ7hhj0n0uky5LiSHY8Mc&amp;_rdr">qu’il était atteint de la leucémie</a>.&nbsp;



Alors qu’il était au Centre hospitalier universitaire (CHU) Sainte-Justine pour y recevoir les traitements appropriés, et même depuis son retour à la maison, le 20&nbsp;décembre dernier, plusieurs équipes de hockey, tout comme les élèves et le personnel de l’École secondaire de Mirabel, lui ont, en effet, adressé des mots d’encouragement en photos et en vidéos face à ce combat qu’il doit maintenant mener.&nbsp;



Ce soutien se traduit aussi par une campagne de sociofinancement sur la plateforme ‘’gofundme’’ afin d’aider Jacob et sa famille au cours des prochains mois. Pour y accéder, il suffit de se rendre sur le&nbsp;<a href="https://www.gofundme.com/">https://www.gofundme.com/</a>&nbsp;et d’inscrire dans le moteur de recherche: Pour Jacob et sa famille, qui sont des gens de notre grande région des Basses-Laurentides.&nbsp;



Comme plusieurs l’ont dit et écrit&nbsp;: «&nbsp;Lâche pas Jacob&nbsp;!&nbsp;»&nbsp;



Légende&nbsp;: Jacob, qui est gardien de but pour les Concordes M15&nbsp;B2 de Mirabel, une équipe de&nbsp;<a href="http://www.facebook.com/AHMMirabel">Hockey Mirabel</a>, montre la rondelle qu&#8217;il a reçue lorsqu&#8217;il a été nommé la première étoile du tout dernier match qu&#8217;il a disputé avant d&#8217;apprendre qu&#8217;il était atteint de la leucémie. Comme plusieurs l’ont dit et écrit&nbsp;: «&nbsp;Lâche pas Jacob&nbsp;!&nbsp;»

Des coups de feu ont été tirés sur une résidence de Lorraine, dans la nuit de vendredi à samedi.&nbsp;&nbsp;&nbsp;



Les policiers de la Régie intermunicipale de police Thérèse-de-Blainville ont été interpellés vers 1h du matin par des citoyens des alentours de la côte de Moselle, d’où ont été entendus les coups de feu.



Or, les tireurs avaient déjà pris la fuite à leur arrivée.



Ce sont les policiers du Service de police de Laval qui ont interceptés les deux individus responsables de ces tirs, des Ontariens dans la vingtaine, qui étaient parvenus à s’enfuir en direction de Laval.&nbsp;



On ne connait pas encore les raisons qui ont poussé les deux individus à faire feu sur la résidence de Lorraine.&nbsp;

Des coups de feu sur une résidence de Lorraine

Craignant qu’une vague d’effondrements de toitures semblable à celle vécue en 2019 ne se produise à court terme, en raison de la surmutiplication du poids naturel de la neige abondante tombée ces jours derniers, le plus important couvreur du Québec, Toitures Hogue exhorte les propriétaires de bâtiments commerciaux, industriels et/ou institutionnels, à faire preuve de prudence et à se montrer proactifs, surtout qu’une possibilité de pluie verglaçante demeure dans la mire des météorologues, entraînant la transformation de la neige lourde et mouillée en glace.



« Il est primordial de détecter précocement les signes avant-coureurs d’un possible affaissement de toiture qui entraîne infailliblement des dégâts majeurs à l’ensemble d’un bâtiment », affirme le président de l’entreprise, Jocelyn Hogue, qui soulève comme conséquences directes, outre les pertes financières, les risques de poursuites civiles provenant d’usagers des dits immeubles qui auraient pu voir leur sécurité compromise par un manque d’entretien préventif dans les circonstances. 



Pour ce dernier, des signes précurseurs tels les fissures sur les murs intérieurs, les portes intérieures qui se coincent soudainement, les craquements provenant d’un peu partout dans la coquille d’un bâtiment et la déformation même mineure d’un plafond sont autant de manifestations critiques à ne pas négliger.



Celui-ci précise qu’à chaque pied carré de toiture, une épaisseur de neige accumulée ajoute un poids additionnel de 56 livres par pied cube de neige sur la charge portante d’une toiture, et de 65 livres lorsque transformée en eau.



« De telles situations peuvent devenir catastrophiques pour un propriétaire ou un gestionnaire d’immeuble », poursuit M. Hogue pour lequel, en plus des enjeux judiciaires, des impacts économiques majeurs pourraient se manifester avec le refus de certains assureurs de verser les compensations financières prévues aux contrats d’assurance, pour cause de négligence des propriétaires et gestionnaires.



« La prévention et la proaction demeurent, enchaîne M. Hogue, la clé d’une situation gagnante pour toutes les parties dans la mesure où les coûts de remplacement pourraient devenir astronomiques en considérant la reconstruction d’un bâtiment, son contenu, la valeur des véhicules qui peuvent s’y trouver, la perte de bénéfice et de revenus dans le cas d’une usine, d’une manufacture, d’un commerce, ou d’une clinique médicale par exemple. »



Il importe d’autant plus, de conclure le président de l’entreprise, de planifier et d’exécuter rapidement l’enlèvement de la neige accumulée en ces temps de changements climatiques et de météo capricieuse et de ne pas confier la tâche à n’importe qui, au risque de causer d’autres dégâts tels des fissures qui cacheraient avec le gel des infiltrations d’eau désastreuses au retour du printemps et du temps doux.

Lâche pas Jacob !