Depuis sa création en 2014 en tant que Groupement des entreprises de Sainte-Thérèse (GEST), cette branche a connu une croissance remarquable, passant d’une ressource partagée à temps partiel et 22&nbsp;membres, à une équipe à temps plein et 151&nbsp;entreprises membres à ce jour.



Cette évolution est le fruit de collaborations généreuses, d’engagements bénévoles, de professionnels, du soutien de la Ville de Sainte-Thérèse et de partenaires financiers. Grâce à ces contributions, l’Aile Sainte-Thérèse a réalisé de nombreux projets significatifs, tant pour la communauté d’affaires que pour les résidents.



Parmi les réalisations notables de la dernière décennie&nbsp;:



1. La création de l’image de marque et du logo du Village, y compris les plateformes web et les réseaux sociaux.



2. La conception du dépliant « Village et cie ».



3. La promotion de la conduite responsable à travers la vignette correspondante.



4. L’initiative des « Boîtes Trouvailles du Village ».



5. L’établissement des « Terrasses du Village ».



6. La réalisation de la « Mappe du Village ».



7. Les campagnes d’achat local « J’achète à Sainte-Thérèse ».



8. Le concours « Mes expériences à quelques pas ».



9. La distribution de boîtes-cadeaux aux artistes jouant chez Odyscène.



10. La campagne de visibilité « On l’a à Ste-Thé ! »&nbsp;



Ces projets ont non seulement renforcé l’économie locale de Sainte-Thérèse, mais ont également inspiré la création de quatre autres ailes au sein de la CCITB.



« Cette décennie de succès témoigne de notre capacité à réaliser de grandes choses lorsque nous unissons nos forces. Chaque projet reflète l’engagement et la passion de nos membres et partenaires. Nous sommes impatients de voir ce que l’avenir nous réserve » — souligne Natacha Brisson, présidente de l’Aile Sainte-Thérèse et directrice générale de la Télévision des Basses-Laurentides (TVBL).



L’Aile Sainte-Thérèse reste un pilier essentiel pour les entreprises locales, offrant des opportunités de croissance et de développement à tous ses membres.&nbsp;

10e anniversaire de l'Aile Sainte-Thérèse de la CCITB

Voilà que&nbsp;deux des trois harmonies ayant présenté le fruit de leur travail ont obtenu la seconde place, avec une note très respectable de plus de 90 %, tandis que l&#8217;harmonie intermédiaire a battu tous les records en enregistrant un résultat quasi&nbsp;parfait inégalé par l&#8217;ensemble des prestations d&#8217;harmonies&nbsp;de 97,5%.



Les harmonies, ce sont les petits orchestres de différents établissements scolaires, qui prenaient part à ce festival à déploiement provincial où différents groupes de musique compétitionnaient entre eux.&nbsp;



À la Polyvalente Ste-Thérèse, le programme de musique regroupe trois niveaux d’harmonies&nbsp;: junior, intermédiaire et senior.



Épreuves



Durant les compétitions du festival provincial, les élèves devaient se plier à deux types d’épreuves&nbsp;: l’interprétation d’une pièce musicale ayant été choisie et pratiquée ainsi que la Lecture à vue, qui impose l’interprétation d’une pièce surprise.



L’épreuve de la Lecture à vue est certainement celle étant la plus difficile. «Les musiciens doivent lire une pièce qu&#8217;ils n&#8217;ont jamais jouée. Ils ont cinq minutes pour étudier la partition, pendant lesquelles ils ne peuvent faire aucun son à leur instrument.&nbsp; Une fois les cinq minutes écoulées, l&#8217;ensemble interprète la pièce en incluant à leur jeu tous les détails possibles. Lorsque les musiciens sont performants en lecture à vue, cela indique qu&#8217;ils ont bien intégré l&#8217;ensemble des paramètres du langage musical », explique Mathilde Champagne, chargée des communications pour la Fondation du Triolet.&nbsp;&nbsp;



Lorsqu’un programme de concours est ciblé, des pièces contrastantes spécifiquement écrite pour l&#8217;orchestre à vent ont été préalablement déterminées puis pratiquées.&nbsp; « Ce répertoire de musique, que l&#8217;on peut associer à la musique classique, a été écrit afin de mettre en évidence l&#8217;impressionnant éventail de couleurs qu&#8217;offre les divers instruments composant cet ensemble. Choisir un programme de concours consiste donc à trouver du répertoire stimulant, offrant un défi permettant aux jeunes d&#8217;évoluer, de se dépasser et au final d&#8217;être fière d&#8217;eux », soutien Mme Champagne.&nbsp;



Randall Standridge



Par ailleurs, depuis deux ans, le festival des harmonies et orchestres symphoniques du Québec invite un compositeur&nbsp;afin d&#8217;offrir l&#8217;opportunité aux ensembles qui présentent une pièce de son répertoire, d&#8217;avoir une clinique de perfectionnement avec lui.&nbsp;Les jeunes de l&#8217;orchestre à vent Junior et Intermédiaire ont donc eu cette chance, puisqu&#8217;ils ont&nbsp;intégré&nbsp;à leur programme une pièce du compositeur de cette année, Randall Standridge.&nbsp;



« Je suis vraiment fière d&#8217;eux, affirme Isabelle Latulippe, enseignantes des harmonies Junior et Intermédiaire. La musique d&#8217;ensemble nécessite un travail d&#8217;équipe remarquable. Chacun a un rôle primordial à jouer pour assurer l&#8217;équilibre et l&#8217;évolution de l&#8217;orchestre. Favoriser l&#8217;unité de ses membres et la préserver s&#8217;avère donc un travail continuel nécessitant une vigilance et une implication sincère de tous.&nbsp; Les magnifiques résultats obtenus par ces jeunes témoignent de leur implication, leur rigueur et leur persévérance.&nbsp;»

Des étudiants performent dans un festival de musique provincial

Communauté Tosh&nbsp;: la Cour suprême rejette l’appel de Boisbriand



Cette décision déçoit évidemment la mairesse de Boisbriand, Christine Beaudette, qui espérait un verdict favorable et en faire du même coup un cas de Jurisprudence.&nbsp;



Pour Mme Beaudette, il est clair que l&#8217;entité qualifiée d’institution religieuse n&#8217;est en réalité que le portefeuille immobilier du Centre communautaire religieux hassidique n&#8217;ayant qu&#8217;une seule activité&nbsp;: celle de détenir des immeubles, lesquels sont notamment de nature commerciale et agricole. « C’est une corporation qui se sert de la loi à son avantage », déplore-t-elle.&nbsp;



Christine Beaudette estime que l’exemption fiscale accordée aux institutions religieuses n’a plus sa raison d’être. C’est qu’à l’heure actuelle, celles-ci ne paient pas de taxes foncières.



« On fondait beaucoup d’espoir sur ce qu’était une institution religieuse alors que l’interprétation actuelle est tellement large », affirmait jeudi soir en entrevue Mme Beaudette, ajoutant qu’antérieurement les églises jouaient un rôle essentiel auprès de leur communauté, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.&nbsp;



Dans le contexte de la laïcité désormais bien ancrée dans notre société, dispenser les institutions religieuses de leurs responsabilités de paiement foncier n’a aucun sens, considère la mairesse Beaudette, qui souligne que ce sont les organismes communautaires qui ont pris leur relève vocationnelle.



Mme Beaudette privilégie plutôt que la décision d’exempter une communauté ou un organisme en revienne à l’administration municipale. 



Une institution religieuse en 2024 ?



L’administration Beaudette sollicite donc l’appui de l’ensemble des municipalités du Québec et des organismes municipaux en vue de faire annuler le principe d’exemption fiscale dont bénéficient les institutions religieuses, surtout dans le contexte social ayant évolué et des impératifs fiscaux qui incombent actuellement aux municipalités.



La Ville de Boisbriand incite le gouvernement du Québec à redéfinir ce qu’est une véritable institution religieuse afin d’empêcher les échappatoires et les situations extrêmes créées par une interprétation trop large des dispositions législatives applicables.



« Autrefois, le législateur québécois avait prévu exempter du paiement de leurs taxes foncières les institutions religieuses afin de compenser leur contribution sociale et communautaire. De nos jours, les instances publiques et gouvernementales doivent préconiser la laïcité tout en laissant la liberté aux citoyens de pratiquer ou non la religion de leur choix. »



L’initiative de la Ville de Boisbriand n’est pas anodine en raison de la présence de la communauté hassidique sur son territoire composée de 3000 à 4000 membres et qui pourra, à la lumière du jugement rendu en ce 6 juin, continuer d’être dispensée de payer ses taxes foncières.&nbsp;



La Ville de Boisbriand rappelle que ce litige fiscal a mis en lumière des éléments troublants non seulement en ce qui a trait à l&#8217;interprétation large et libérale applicable en matière d’exemption religieuse, mais également quant à ce que les tribunaux considèrent maintenant comme étant suffisant pour être reconnu à titre d’institution religieuse au sens de la Loi sur la fiscalité municipale (RLRQ, c. F-2.1).&nbsp;

L’Aile Sainte-Thérèse de la CCITB célèbre une décennie de réussites collectives