Le Salon TDAH s’adresse aux gens vivant avec le TDAH et le public à la recherche
de ressources pour faciliter leur quotidien personnel, scolaire et professionnel: enfants, adolescents, adultes diagnostiqués ou en attente; intervenants des milieux éducatifs et de la santé, employeurs.
Cet événement est créé pour que les gens puissent obtenir plus de moyens et d’alternatives par des services accessibles qui vont répondre à leurs besoins et recevoir une aide efficace dans des délais réalistes, tout en brisant l’isolement.
Organisé par Nathalie Beaulieu, fondatrice des Salons TDAH et Apaisanteur, le Salon TDAH en est à sa 12e édition, mais c’est une première édition pour Blainville.
Les visiteurs trouveront sur place des exposants de la région, plusieurs conférences à thématiques variées, aire de jeux, aire de rencontre et la présence de Gabadou, la mascotte du Salon TDAH.
Cette journée offre des conférences variées tel que l’hypersensibilité, l’opposition des moyens concrets et à la portée de tous de mieux s’ajuster et se valoriser au-travers des défis rencontrés touchant le quotidien.
Ressources présentes
Parmi les ressources présentes: Catherine Lemaitre, coach PLN et fondatrice du programme Équilibre; Isabelle Paré, L’Effet mères; Pamela Chartrand, Arbonne; Valérie Huot, Doterra; Chris Tack, conseiller financier (Primerica); Apaisanteur (formations gestion du stress, milieu familial et scolaire).
Les besoins seront sondés sur place afin de mettre sur pied d’autres activités
complémentaires dans les semaines et mois à venir pour mieux soutenir et répondre aux besoins des gens aux prises avec ces défis.
Être sur une liste d’attente en tentant de tenir le coup est inquiétant et souffrant; les
difficultés s’accumulent et tout cela se vit dans le jugement et l’isolement. En milieu scolaire, le retour des vacances nous rappelle les défis à relever et la motivation à raviver pour la réussite de l’année avec les prochains examens. Que peut-on faire pour aider et mieux répondre à ces défis dès maintenant?
Plusieurs adultes négocient aussi avec des défis professionnels et relationnels et cherchent du support lié à leur réalité, qui est bien différente des plus jeunes. Certains professionnels et ressources du milieu peuvent contribuer à améliorer la situation et sont souvent méconnus.
Informations et billetterie:
Pour plus d’informations et des billets, il suffit de visiter la page facebook lesalontdah et/ou le site Web [lesalontdah.com]. Coût: 12$  pour12 ans et plu,. gratuit pour 11 ans et moins.

Il s’agit d’une priorité pour tous les établissements ainsi que pour les services policiers du territoire et cette prévention s’inscrira dans la continuité des efforts déjà mis en place par les divers intervenants présents auprès des élèves.
Voici les principaux éléments du cadre législatif applicable tout particulièrement aux établissements scolaires (extraits du document L’encadrement du cannabis noir sur blanc).
<ul>
<li>L’âge minimal pour posséder du cannabis a été établi à 18 ans. La loi interdit donc de vendre du cannabis à une personne mineure.</li>
<li>Il y aura aussi une interdiction formelle de posséder du cannabis pour qui que ce soit (personne mineure ou majeure) dans un bâtiment ou sur un terrain d’un établissement d’éducation préscolaire, d’enseignement primaire ou secondaire, y compris les centres de formation générale des adultes et de formation professionnelle.</li>
<li>L’établissement scolaire ne peut tolérer l’usage du cannabis dans les endroits interdits par la loi.</li>
<li>La direction d’un établissement scolaire est autonome dans l’application de ses règles de conduite (code de vie). Ainsi, l’établissement peut définir un règlement et le faire respecter. Il pourra par ailleurs faire appel à la police pour toute dénonciation qu’il entend effectuer.</li>
<li>Le personnel scolaire est également soumis à l’interdiction de toute forme d’usage du cannabis sur les lieux de travail. Il n’y a également aucune tolérance pour un membre du personnel travaillant avec les facultés affaiblies (drogues, alcool ou autre substance) dans un environnement scolaire.</li>
</ul>
Une collaboration unique 
Créé sous l’initiative de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles en 2008, le comité Partenariat Policiers-CSSMI est formé de représentants des directions d’établissement primaire, secondaire, des centres et des services de la formation générale des jeunes ainsi que des affaires corporatives et des communications, en plus de représentants des sept services policiers présents sur le territoire de la CSSMI : la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes, la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville, les services de police de Blainville, Mirabel, Saint-Eustache et Terrebonne ainsi que la Sûreté du Québec.
La concertation de tous ces acteurs facilite grandement les interventions sur le terrain. Tous les membres du comité collaborent ensemble afin d’offrir un milieu sain et sécuritaire pour les élèves (jeunes et adultes) et pour le personnel de la Commission scolaire.

Légalisation du cannabis: L’importance du travail de prévention auprès des jeunes

Plusieurs élus et représentants du milieu ecclésiastique (dont l’évêque Pierre Morissette, l’exarque apostolique de l’Église syriaque apostolique, Paul-Antoine Nassif, et le père Kamil Ishak, de l’Église syriaque orthodoxe) assistaient à cette cérémonie empreinte de solennité et d’émotion, alors que nous faisions connaissance avec les six membres de cette famille originaire d’Alep, là où le père, Antoun Moussa, âgé de 65 ans, se trouvait à la tête d’une importante exploitation agricole, avec l’aide de son épouse, Houda Zouki. Est-il besoin de rappeler que cette région du globe est au cœur de ce que d’aucuns considèrent comme étant la pire crise humanitaire des 50 dernières années, d’où cette mobilisation pour leur venir en aide et l’existence d’organismes comme Parrainage St-Luc.
Ils sont arrivés au début de l’été dernier, en compagnie de leurs quatre enfants, tous d’âge adulte, à commencer par l’aîné, Jihad Moussa, un économiste qui a notamment travaillé au Gabon et qui s’exprime aussi bien en français qu’en anglais. L’aînée des deux filles, Jouana Moussa, est pour sa part bachelière en littérature française et enseignante.
Le cadet de la famille, Dawod Moussa, a fait des études en comptabilité et souhaite compléter sa formation à l’université. Il s’exprime en anglais et s’est déjà mis à l’apprentissage du français, comme tous les autres membres de sa famille. C’est notamment le cas de sa sœur, Rita Moussa, diplômé universitaire en design, qui a d’ailleurs pris la parole lors de cette cérémonie.
<h3>465 000 victimes</h3>
«Nous avons atterri à Montréal le 3 juillet et tout de suite, nous avons été accueillis par les gens du Parrainage St-Luc que nous voulons remercier. Nous sommes enfin en sécurité, dans une société sans racisme, et je vois enfin un avenir pour moi et ma famille» , a-t-elle exprimé, après avoir évoqué les conditions de vie insupportables subies par la famille Moussa au cours des sept dernières années.
Comme le rappelait à juste titre Claude Vallée, au nom du Parrainage St-Luc, la Syrie se trouve au cœur d’une guerre civile qui a fait 465 000 victimes depuis sept ans. Jusqu’ici, on dénombre 6,1 millions de personnes déplacées à l’intérieur du pays alors que 5,6 millions de Syriens ont quitté leur pays natal en souhaitant trouver une nouvelle terre d’accueil. «Plus de 40 % de la population déplacée, exilée ou tuée, ça dépasse l’entendement» , de dire M. Vallée.
Les organismes comme Parrainage St-Luc et les parrains privés, jusqu’ici, se sont engagés à accueillir quelque 15 000 réfugiés au Québec. La capacité d’accueil ne permettant d’en recevoir que 4 500 par année, les délais comme ceux qui ont été imposés à la famille Moussa sont monnaie courante.
<h3>«Bienvenue chez vous!»</h3>
À chaque étape du processus, le moindre appui prend alors toute son importance et l’on n’a pas manqué de souligner celui manifesté dès le départ par le député fédéral de Thérèse-De Blainville, Ramez Ayoub, lui-même né à Alep (il est arrivé au Québec à l’âge de 3 ans) et particulièrement sensible au sort des réfugiés syriens.
«Chaque nouvel arrivant contribue à l’édification de notre pays. Les nouveaux arrivants sont porteurs d’un puissant désir de faire partie d’une société plus vaste, d’être acceptés et de prouver leur capacité de réussir sur le plan économique. Bienvenue chez vous. Je vous souhaite de réaliser tous vos désirs et ce à quoi vous aspirez» , a-t-il déclaré aux membres de la famille Moussa, alors que Parrainage St-Luc se préparait déjà à accueillir, dès ce week-end, les quatre membres de la famille Al Terek. En tout, l’organisme a adressé 23 demandes de parrainage impliquant 37 réfugiés syriens.
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Le 20 octobre: Un premier Salon TDAH à Blainville