Le député Simon Marcil fait le bilan de ses quatre dernières années

«Les quatre dernières années ont été très stimulantes. À la Chambre des communes ou bien en circonscription, mon équipe et moi avons travaillé sans relâche: Dossiers nationaux, dossiers locaux, aide à plusieurs centaines de citoyens, aux organismes ou bien aux entreprises. Je suis fier du travail accompli jusqu’à présent et je souhaite poursuivre ce travail pour la population de la circonscription de Mirabel», a résumé le député.

Respecter les Québécois, servir le Québec

Questions en chambre, motions déposées, présentation d’un projet de loi pour protéger les femmes enceintes, nos travailleurs et notre langue française, il va sans dire que le député de Mirabel, Simon Marcil, n’a pas chômé.

«J’ai déposé en janvier 2019, un projet de loi visant à modifier certaines lois canadiennes désuètes pour protéger nos travailleuses, pour notre langue et contre les briseurs de grève. Mon projet de loi a été déposé pour ne pas avoir deux classes de travailleurs avec des droits différents ici au Québec. Nous avons, au Québec, des lois protégeant les femmes enceintes, les travailleurs et notre langue. Malheureusement, les Libéraux et Conservateurs ont rejeté mon projet de loi. Quelle honte!», a lancé Simon Marcil.

Un Québec vert et respectueux de ses agriculteurs

Alors que le Québec fait bonne figure au niveau de la lutte aux changements climatiques avec la meilleure performance au Canada (2016) et la 7e meilleure performance des pays de l’OCDE (2013), Simon Marcil croit fermement que le Québec doit continuer sur ces résultats très encourageant. Le Canada quant à lui fait mauvaise figure avec des résultats décevants.

«C’est pourquoi je refuse catégoriquement, comme député du Bloc québécois, le passage de tout projet d’oléoduc, ou de transport par wagons sur le territoire de la circonscription de Mirabel. Nous devons laisser à nos enfants un avenir, un environnement, une planète en santé. Ensemble, avec votre aide, nous pouvons y arriver», a réitéré le député de Mirabel.

Le Québec brille à l’international par ses innovations et ses produits de qualité. Pour que cela se maintienne, il faut défendre nos intérêts économiques selon Simon Marcil. «J’ai porté le dossier de l’agriculture pour le Bloc québécois. À deux reprises, nous avons fait adopter à l’unanimité une motion demandant au gouvernement canadien de ne pas créer de brèches dans la gestion de l’offre. Malheureusement, un peu plus de 10% des parts de nos producteurs ont été données à l’international sans compensation raisonnable», a conclu Simon Marcil.