Quatre personnalités prendront la parole à cette occasion. Il s’agit de Marguerite Blais, Nouha Ben Gaied PhD et directrice recherche et développement à la Fédération Québécoise Des Sociétés Alzheimer, le Dr Guy Lacombe et Me Danielle Chalifoux.
L’événement se tiendra au Best Western de Saint-Jérôme, situé au 420, Mgr Dubois,
de 9 h à 17 h.
L’entrée au colloque incluant le repas et une consommation pour célébrer le 35e anniversaire de la Société Alzheimer des Laurentides est gratuite pour les membres et au coût de 25  pour les non-membres.
Comme le nombre de personnes est limité, nous vous invitons à réserver votre place en composant le 1 800 978-7881, poste 227.

Lors de cet évènement familial et rassembleur, les participants ont l’option de marcher ou courir dans les sentiers de la montagne. Ils ont aussi accès au parc FUN, tyrolienne, luge et autres jeux organisés sur place. Le parcours de marche se veut accessible à toute la famille et peut se faire en entier ou partiellement en empruntant les remontées mécaniques.
Le parcours de course est quant à lui plus exigeant car chacun des membres de l’équipe devra parcourir une boucle de 6,8 kilomètres en sentiers montagneux, ceci afin de souligner la triste réalité que plus de 1 enfant sur 68 est aujourd’hui diagnostiqué autiste au Québec.
Un choc
Recevoir un diagnostic d’autisme pour son enfant demeure un choc brutal pour les parents, mais n’est qu’une étape dans le long parcours du combattant que doivent mener les familles afin d’obtenir des services spécialisés pour les soutenir ainsi qu’aider leur enfant dans son développement. Les familles qui doivent composer avec l’autisme se retrouvent souvent seules et isolées dû à l’épuisement de leurs membres, mais aussi par crainte du jugement des autres face à cet enfant si différent, mais pourtant tout autant attachant.
L’objectif de cet évènement est d’amasser des fonds qui seront remis à la Société de l’autisme S.A.R. Laurentides (SARL) afin de financer une partie des différents services de répits offerts durant la prochaine année, le tout dans une ambiance festive et familiale. Les répits représentent un moment essentiel pour permettre aux parents ainsi qu’aux frères et soeurs de refaire le plein d’énergie.
La SARL offre à chaque année 320 répits de fins de semaine, accueille plus de 110 enfants TSA dans ses différents camps de jour estivaux et offre des activités de loisirs adaptés à environ 60 jeunes les samedis pendant l’année scolaire. De plus, c’est près de 35 adultes TSA qui fréquentent chaque semaine les différents plateaux de travail et d’intégration sociale offerts pour la plupart en partenariat avec les CISSS des Laurentides.
La population est invitée à participer en grand nombre ou à passer saluer et encourager les participants le 29 septembre prochain aux Sommets Saint-Sauveur, entre 10 h et 14 h.
Classique de golf
C’est ce jeudi 13 septembre, au Club de golf Le Blainvillier, qu’aura lieu la 20e édition du Tournoi de golf de la Fondation autisme Laurentides (FAL), désormais rebaptisée La Classique de golf Guylaine Robert.
L’édition 2018 se déroulera sous la co-présidence d’honneur de Marie-Claude Allaire (ORAM – Plomberie du Bâtiment), de Charles Piazza (Blocs Mirabel), de Éric Trottier (Entrepôts frigorifiques Trottier) et de Martin Desrosiers (SOFAB).
Cet évènement convivial de réseautage sera suivi d’un cocktail, souper et encan, le tout ponctué de différentes surprises, sous l’animation de Emmanuel Auger, comédien et animateur.
L’invitation est lancée, car il reste encore quelques places disponibles. Inscrivez-vous rapidement par téléphone au 450-569-1794, poste 221 ou par courriel à: fondation@fondationautismelaurentides.org.

Fondation autisme Laurentides: La 15e édition de l’évènement familial Descendothon

Il s’agit du défi «Momo challenge» qui fait référence à un numéro que les jeunes sont invités à composer sur l’application en ligne WhatsApp. Une fois le numéro composé, le compte Momo s’affiche avec un personnage effrayant qui envoie le message suivant: «Salut, je suis Momo. Je sais tout de toi».
Momo communique des informations privées sur la personne qui le contacte (par exemple: nom,
prénom, adresse courriel, adresse civique ou autres renseignements qui sont déjà disponibles en ligne, souvent via les réseaux sociaux utilisés par les jeunes), ce qui donne une impression de crédibilité et peut faire peur.
Momo peut ensuite ordonner aux jeunes de poser des actes violents sous peine de représailles de sa part. Il impose des règles strictes et s’attend à ce que celles-ci soient remplies dans un délai précis. L’individu derrière le compte de «Momo» peut également envoyer des images violentes, menacer de dévoiler des informations personnelles et même inciter les jeunes à se suicider.
Ce phénomène a été médiatisé au Québec depuis le 14 août 2018, de même que dans plusieurs pays. Il pourrait être lié à des décès par suicide en Argentine et aux États-Unis. À titre informatif, vous pouvez visionner le reportage de Radio-Canada: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1118017/momochallenge-
defi-whatsapp-suicide-menaces-photo-femme.
Comme parent, à quoi être attentif?
Il est important de savoir si votre jeune participe à ce défi ou s’il montre des signes de détresse, ou d’autres signes préoccupants, par exemple: isolement, pleurs fréquents, crises de colère, perte d’intérêt, anxiété, idées suicidaires, etc.; autres signes préoccupants: adoption de comportements à risque de blessures physiques, comportements violents, fatigue inhabituelle, changements dans les habitudes d’utilisation d’Internet, etc.
Quoi faire comme parent?
Écouter, sans juger; inviter fortement le jeune à refuser toute invitation à communiquer avec Momo, à participer au défi ou à le partager; répondre, s’il y a lieu, aux questions de votre jeune sur le suicide ou la mort par suicide à partir des pistes suivantes: vérifier auprès de lui si cet intérêt est en fait une demande d’aide; expliquer que le suicide est souvent lié à un trouble mental, dont la dépression, et qu’il est possible de traiter ces troubles; ne pas accroître ses connaissances sur les façons de se suicider; s’assurer que le suicide n’est pas perçu comme un geste romantique, héroïque, inévitable pour mettre fin aux souffrances; expliquer clairement que le suicide n’est pas une option; promouvoir des attitudes positives de résolution de problèmes.
En cas d’inquiétude pour votre jeune: ne pas attendre et aller chercher de l’aide. Il est particulièrement important si votre enfant vit des difficultés, s’il a des troubles de santé mentale ou s’il est vulnérable au suicide: d’interpeller un professionnel formé ou un intervenant en prévention du suicide; de composer la ligne provinciale d’intervention en prévention du suicide au 1 866 APPELLE (277-3553) ou de contacter le service de consultation psychosociale Info-Social au 811. Ces services sont accessibles gratuitement 24 h/24, 7 jours/7.

Le vendredi 21 septembre: Quatrième colloque de la Société Alzheimer Laurentides