Liza Poulin met en perspective la dette de Blainville

« Ce qu’il faut comprendre, c’est que la dette de Blainville est avant tout le résultat d’une croissance exceptionnelle que notre ville a connue pendant plus de deux décennies », explique Liza Poulin.

Au début des années 2000, Blainville figurait parmi les villes canadiennes connaissant la plus forte expansion démographique. Cette croissance rapide a nécessité des investissements majeurs afin d’offrir à la population des infrastructures modernes et adaptées à ses besoins.

C’est durant cette période qu’ont été construits plusieurs équipements phares, dont le poste de police, le centre récréoaquatique, la Maison des associations et la bibliothèque Paul-Mercier, en plus des routes et infrastructures d’eau. D’autres projets structurants, comme les nouveaux ateliers municipaux, se sont ajoutés au fil des ans.

« Ces infrastructures, ce sont celles qui rendent la vie à Blainville si agréable aujourd’hui », souligne la mairesse.

Liza Poulin rappelle que Blainville demeure une ville en croissance, mais qu’elle entre désormais dans une phase de maturité de son développement. L’administration a ainsi adopté une politique de gestion de la dette encadrant rigoureusement les investissements futurs tout en respectant la capacité de payer des citoyens.

Elle précise que chaque dollar investi dans les infrastructures contribue à accroître la richesse foncière collective de la ville, évaluée à 10,4 milliards de dollars. Le ratio entre la dette et cette richesse foncière, à 1,4 %, demeure bien en dessous de la moyenne observée ailleurs au Québec.

« C’est un excellent résultat, qui montre que notre endettement est parfaitement soutenable et que notre ville est en excellente santé financière », affirme la mairesse.

« Nous avons bâti une ville complète, bien équipée et tournée vers l’avenir, tout en maintenant une gestion responsable. C’est cette approche, qui fait de Blainville la troisième ville du bonheur au Québec, que je souhaite poursuivre », conclut-elle.