L’adolescente remontera sur scène pour chanter encore une fois devant une foule qui risque d’être partisane pour deux autres compétitrices, Julie Deschênes d’Alma et Lou-Anne Fortin de Chibougamau du Saguenay-Lac-Saint-Jean.



Marianne a obtenu son laissez-passer dans la catégorie interprètes 13 à 17 ans lors de la demi-finale ayant su impressionner les juges&nbsp;Marc-André Dionne, Jacques Lebel et Sophie Pelletier. Pour la finale, le jury sera composé de Marie-Noëlle Claveau, Renée Wilkin et Sophie Pelletier.



Fred Dionne en finale



Dans la catégorie auteurs-compositeurs-interprètes, Fred Dionne de Mirabel aura également la chance de se produire sur les planches de l’Amphithéâtre Marcel-Claveau.



Il aura comme adversaires, Allyson Pétrin de Trois-Rivières, Vaëlle de Québec et Patrick Bourdon de Montréal.&nbsp;



D’ailleurs, la majorité des artistes proviennent de l’extérieur de la région saguenéenne, la réputation du festival n’est plus à faire.&nbsp;



Ça promet pour la grande finale avec au total 16 participants. Notons que le coup d’envoi de la 31e édition du festival a été donné lundi soir avec une assistance record.&nbsp;



Au terme de la soirée, plus de 75&nbsp;000$ en prix, bourses et ateliers seront remis.



Malgré que vous ne pouvez être présents en personne en raison de la distance, envoyez des ondes positives à nos deux artistes de chez-nous, ils seront heureux de les recevoir pour un moment qui peut devenir le tremplin de leur jeune carrière.&nbsp;



Mots clés: Marianne Choquette-Brunet, Festival de la chanson de Saint-Ambroise, Blainville

En effet, les gens sont invités à être généreux en allant porter leurs vêtements afin de leur donner une deuxième vie et ainsi venir en aide à des jeunes moins bien nantis.&nbsp;



La friperie éphémère gratuite Switch &amp; Chill de la maison des jeunes est de retour pour une 8e&nbsp;année consécutive. L’événement, fort couru, se tiendra les 2 et 3 septembre. Les jeunes actuellement membres de la maison auront le privilège d’être les premiers à faire leurs sélections de vêtements qu’ils souhaitent « recycler ».&nbsp;&nbsp;Ils pourront piger dans la montagne de linge et accessoires le 2 septembre entre 17h et 21h, dans les locaux de la Maison des Jeunes, situés au sous-sol du 955 boulevard de la Grande-Allée à Boisbriand.&nbsp;



Le lendemain, entre 10h et 16h,&nbsp;l’ensemble de la communauté pourra&nbsp;faire des trouvailles dans une ambiance festive.



Voilà une occasion pour les&nbsp;jeunes et les familles de se procurer gratuitement des vêtements de qualité pour le début de l’année scolaire.



Besoin de dons



Pour maximiser le succès de l’événement, l’organisme sollicite les dons de vêtements de la population des



Basses-Laurentides jusqu’au 27 août, du mardi au samedi. L’organisme accepte les vêtements et les accessoires de toutes tailles, dans la mesure où ils sont propres et encore utilisables. Il s’agit d’une opportunité innovante de s’engager envers la communauté, de promouvoir l’économie circulaire et de ralentir la surconsommation.



« Cette année, il y a une nouveauté. Les vêtements seront gratuits encore pour les jeunes, mais pour les autres s’ils peuvent nous les invitons à offrir une contribution volontaire en argent comptant. Les fonds ramassés serviront à couvrir les frais encourus pour l’organisation de l’événement Switch &amp; Chill ainsi qu’à financer une activité de récompense pour les jeunes qui ont participé à son organisation », mentionne la directrice de la maison, Sophie Charbonneau.&nbsp;



À la fin de l’événement, les vêtements qui n’ont pas trouvé preneurs seront remis à des organismes qui offrent des vêtements à coût minime, tels que Les fripes du Relais (Boisbriand), Au Grenier populaire (Saint-Eustache) et Dépanne-Tout (Sainte-Thérèse).



La maison des jeunes Sodarrid de Boisbriand fêtera cette année son 40eanniversaire de naissance. C’est l’endroit « in » des adolescents de 12 à 17 ans. Il y a également des plages horaires pour les élèves de 5e&nbsp;et 6e&nbsp;année du primaire. Tous les sujets sont abordés de la sexualité à l’intimidation en passant par l’aide aux devoirs. Les jeunes disent que le personnel est « cool ».&nbsp;

Friperie de la maison des jeunes Sodarrid de Boisbriand: Donnez vos vêtements pour des jeunes dans le besoin

Les investissements permettront notamment le remplacement de l’école Saint-Pierre, située à Sainte-Thérèse, pour en faire une école de 26 classes. 



C’est le ministre des Finances et député de Groulx, Éric Girard, qui a prononcé la bonne nouvelle au nom de son collègue le ministre de l’Éduction, Jean-François Roberge.&nbsp;



«&nbsp;Investir en éducation, c’est investir dans le futur. Je suis donc très fier de ces investissements dans notre région. Alors au nom de toutes les familles de Groulx, de tous les élèves et de tous les membres du personnel de nos écoles, je salue bien haut tous ces projets pour nos écoles&nbsp;», mentionne le ministre Girard.



La directrice générale de&nbsp;la&nbsp;Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Iles, Nathalie Joannette, souligne que le problème ne date pas d’hier.&nbsp;



« La capacité d’accueil de la clientèle dans nos établissements est un enjeu récurrent depuis plusieurs années. Notre centre de services scolaire est donc constamment à la recherche de solutions pour accueillir adéquatement les élèves dans des milieux sains et propices aux apprentissages. La contribution financière du ministère de l’Éducation pour la construction notamment de l’école St-Pierre représente pour nous une nouvelle plus que réjouissante et permettra donc de déployer davantage de solutions pérennes ».



Du côté du ministère de l’Éducation, on précise que les écoles du Québec font peau neuve grâce à des investissements « historiques » faits au cours des quatre dernières années et à ceux engagés au Plan québécois des infrastructures 2022-2032, soit sur dix ans. Uniquement pour l’année scolaire 2022-2023, ce sont plus&nbsp;2,5&nbsp;milliards de dollars qui ont été octroyés.



Ces sommes de l’ordre de 11 milliards de dollars pour les quatre dernières années ont été investies&nbsp;dans les infrastructures du réseau public de l’éducation pour l’ajout d’espace, le&nbsp;remplacement de bâtiments et la rénovation de ceux-ci.



«&nbsp;L’éducation est un facteur important de changement, de succès et de socialisation et permet la réalisation du plein potentiel des élèves. Et l’école en est la base », lance, pour sa part, le ministre Roberge.&nbsp;



En quatre ans, le gouvernement a doublé le budget du&nbsp;Plan québécois des infrastructures&nbsp;pour l’éducation, celui-ci passant de 9&nbsp;milliards de dollars à plus de 21&nbsp;milliards de dollars.

Marianne Choquette-Brunet en finale au Festival de la chanson de Saint-Ambroise