«Le Bloc Québécois a livré aux Québécois ce que nous avions promis: un engagement sans équivoque pour les intérêts du Québec. Revenus en force à la Chambre des communes pour représenter la nation québécoise, nous avons mis de l’avant sa différence, ses valeurs, sa langue et son économie. C’est ce que nous avons fait avec rigueur et cohérence et c’est ce que nous continuons de faire avec notre plan de relance et notre réponse aux défis posés par la pandémie», a déclaré M. Blanchet.
Du soutien durant la pandémie
Le Bloc Québécois estime s’être montré proactif et constructif dès le début de la crise afin d’assurer la sécurité de la population et améliorer le soutien financier offert aux travailleurs, aux organismes et aux entreprises. Il est notamment derrière le principe de la subvention salariale, de l’accès élargi au compte d’urgence pour les entreprises, de la création du programme d’aide au loyer commercial et de la nette amélioration de la PCU.
«En temps de crise, nous avons travaillé pour obtenir des gains pour la population. Nous attendons toutefois avec impatience les détails de la réponse à notre demande de soutien aux entreprises pour leurs frais fixes. Les travailleurs et les PME doivent être adéquatement soutenus, puisque c’est à travers eux que l’économie reprendra», a affirmé Mme Chabot.
La santé, ultime priorité en crise sanitaire
En pleine crise de santé publique, le Bloc Québécois a fait de la hausse des transferts en santé son cheval de bataille, portant ainsi un rare consensus du Québec et des provinces. «Si l’Alberta et le Québec sont d’accord sur un tel enjeu, ça doit être d’une évidence désarmante. En effet, alors que les coupes dans les transferts ont aggravé la crise et que les besoins sont de plus en plus criants, Ottawa s’entête à refuser toute forme de hausse. La santé et souvent la vie des gens dépendent de la capacité des provinces à leur offrir des services de qualité», d’expliquer la députée de Thérèse-De Blainville.
Pour les aînés et les personnes vulnérables
Depuis le début du présent mandat, le Bloc Québécois exige une augmentation de 110 $ par mois de la pension de vieillesse pour tous les aînés dès 65 ans. Il s’oppose à la proposition libérale de créer deux classes d’aînés en bonifiant le soutien des 75 ans et plus seulement. Mme Chabot poursuivra également la lutte pour que les personnes atteintes de maladies graves, comme le cancer, aient droit à 50 semaines de prestation spéciale d’assurance-maladie.
«Le Bloc n’abandonnera pas les aînés à qui nous devons tant ou les personnes qui se battent contre une maladie grave. C’est au coeur de notre engagement politique», a-t-elle soutenu.
Environnement et transition énergétique.
Pour le Bloc Québécois, l’environnement n’est pas un enjeu superflu en temps de pandémie: il est la voie rapide pour en sortir. La relance par les technologies et énergies propres est une occasion en or pour l’économie des régions du Québec. «C’est à travers l’innovation et la transformation de nos richesses que nos entreprises pourront prospérer dans l’avenir», a fait valoir Louise Chabot.
Le parti a d’ailleurs déposé deux projets de loi afin que le Canada atteigne ses cibles de l’Accord de Paris et pour qu’il respecte la souveraineté environnementale du Québec.
Porter la voix du Québec à Ottawa
«Il reste tant à faire pour notre culture, nos arts, notre langue, notre industrie touristique et notre économie. Néanmoins, les 32 élus du Bloc Québécois ont répondu présents pour le Québec. Nous avons fait des gains pour la population québécoise et nous respectons les engagements que nous avons pris il y a un an. C’est ce que nous ferons tant que le gouvernement Trudeau se maintiendra au pouvoir. L’enjeu ne sera pas de savoir qui parlera pour le Canada, mais bien qui parlera pour le Québec. Nous avons fait nos preuves au terme de cette première année à Ottawa», a affirmé Mme Chabot.
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Louise Chabot
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