Vérifiez l’admissibilité de votre enfant
Si vous avez un enfant de 4 ans, voici comment vérifier s’il est admissible. Vous pouvez aller sur le site de la CSSMI [www.cssmi.qc.ca] dans l’onglet «admission inscription» afin de valider si votre code postal est reconnu par le ministère pour obtenir ce service. 
Vous pouvez aussi téléphoner à l’école Saint-Pierre, au 450 433-5545, pour vérifier l’admissibilité de votre enfant. Cette école primaire est située au 201, rue Saint-Pierre, à Sainte-Thérèse.
Inscription dès maintenant
Les parents qui ont un enfant de 4 ans, qui sont intéressés par ce service et qui y sont éligibles, doivent téléphoner dès maintenant à l’école Saint-Pierre afin d’y inscrire leur enfant pour la prochaine rentrée scolaire. Il s’agit d’une excellente occasion de bien préparer votre enfant pour l’école.
Rappelons que depuis 2014-2015, la CSSMI offre le service de maternelle 4 ans à temps plein à l’école des Perséides, à Pointe-Calumet. De plus, le service de maternelle 4 ans à temps partiel est offert aux écoles Le Rucher (Pavillon Félix-Leclerc) à Bois-des-Filions et des Perséides (pavillon des Primevères), à Pointe-Calumet.

Nouvelle classe de maternelle 4 ans à l’école Saint-Pierre

Parmi eux, Jean Léger, porte-parole de la Coalition vigilance oléoducs et cofondateur du mouvement Action-Environnement Basses-Laurentides, déplore que le fait que, selon ses dires, «cette industrie soit laissée à elle-même dans sa quête d’auto-régularisation en toute complicité avec le gouvernement Trudeau».
«Nous sommes en mesure, nous, les groupes citoyens, écrit M. Léger dans une lettre ouverte qu’il a acheminée aux membres des médias, de se demander sérieusement jusqu’où cette complicité fallacieuse entre l’Office nationale de l’énergie (ONÉ), l’instrument du gouvernement fédéral canadien, [et l’industrie des hydrocarbures] sera tolérée par le moins en moins nouveau gouvernement Trudeau qui a pourtant indiqué lors de l’élection du 19 octobre 2015 qu’il procéderait à une refonte majeure de l’ONÉ afin de redonner confiance au public […].»
Celui qui est devenu célèbre pour s’être enchaîné à cet oléoduc en décembre 2015 ajoute, dans sa missive, que c’est lors d’une balade à vélo, le 25 juin, qu’il a remarqué, le long de la ligne 9B, «une montagne de terre assez impressionnante pour être visible depuis la rue Victor».
«La question que nous devons tous nous poser, écrit Jean Léger, est à savoir comment se fait-il qu’un oléoduc qui avait pourtant obtenu la note de passage et le droit d’être inversé soit excavé pour remédier à une anomalie qui aurait dû être perceptible lors des tests hydrostatiques du mois d’août 2015 ?»
Travaux d’entretien en continue
Cette question, posée par Jean Léger, a été transférée directement à Enbridge qui y a répondu par courriel, par la voix de son Chef principal, Engagement avec les parties prenantes et les autochtones pour la région de l’Est, Éric Prud’Homme.
«Notre programme proactif de surveillance et d’inspection de l’oléoduc assure la qualité de nos installations, a indiqué M. Prud’Homme ajoutant que Enbridge investit d’ailleurs «massivement» dans le domaine de la sécurité et de la prévention. 
«Enbridge utilise des outils de haute technologie afin de collecter les données nécessaires à l’évaluation de l’état de l’oléoduc, a -t-il poursuivi. Les données ainsi recueillies servent à identifier les endroits qui nécessitent une inspection visuelle et préventive devant être menée par des excavations.»
M. Prud’Homme a renchéri en affirmant qu&#8217;au cours des années 2014 et 2015, Enbridge a effectué plusieurs inspections de la canalisation 9B et que c’est en utilisant les données recueillies que les experts ont pu identifier des endroits à la surface de la canalisation qui exigaient une inspection visuelle.
«Par conséquent, a-t-il conclu en nous référant au site Internet de l&#8217;entreprise, Enbridge va procéder à des travaux sécuritaires d’excavation aux endroits requis et procéder à un examen approfondi de la conduite afin de compléter l&#8217;entretien ou les réparations requises, le cas échéant. Ceci fait partie des travaux d’entretien en continue de nos installations, tel un pont, une autoroute ou une tour à bureaux. Ils témoignent concrètement de notre engagement envers la sécurité.»

Des travaux sur le pipeline à Mirabel suscitent des questions

C’est vers 5 h 30 que les pompiers de Sainte-Thérèse ont reçu un appel les avisant que la bâtisse située au 2, boulevard Curé-Labelle, à l’entrée sud de la municipalité, et abritant jadis une brasserie, était la proie des flammes.
«Ce sont des témoins, voyant de la fumée qui s’échappait du bâtiment, qui ont communiqué avec le 9-1-1», a précisé le sergent Martin Charron, de la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville (RIPTB), avant d’ajouter qu’une cinquantaine de pompiers des services de sécurité incendie de Sainte-Thérèse, Blainville, Boisbriand et Mirabel, se sont présentés sur les lieux pour combattre le brasier qui, à première vue, aurait potentiellement été allumé de façon volontaire.
«Il n’y avait pas d’électricité dans la bâtiment, a ajouté le sergent Charron. Il pourrait donc s’agir d’un incendie d’origine suspecte. C’est pourquoi les pompiers nous ont transféré le dossier.»
Au moment d’écrire ces lignes, un poste de commandement avait donc été érigé dans le stationnement de ce qui fut, à une certaine époque, un débit de boisson très populaire auprès de la population.
Des enquêteurs, de même qu’un technicien en identité judiciaire, passeront donc la scène au peigne fin dans les prochaines heures afin d’y dénicher, s’il y a lieu, les indices qui leur permettront d’identifier l’auteur de cet incendie.
La route 117 est demeurée fermée à la circulation dans les deux directions afin de laisser aux pompiers le temps de faire leur travail.
Violence et bruit excessif
C’est au début du mois de mai 2013, après s’être fait retirer son permis de boisson par la Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ), que la Brasserie Ste-Thérèse, ouverte depuis 30 ans, avait été contrainte de fermer ses portes.
Le porte-parole de la Régie intermunicipale de police Thérèse-De Blainville avait alors expliqué que les nombreux épisodes de violence recensés à cet endroit depuis le début des années 2000 et le bruit qui dérangeait le voisinage avaient, entre autres, motivé cette décision.
Toute information pouvant aider les policiers dans leur enquête peut être transmise de façon confidentielle au Bureau des enquêtes criminelles en composant le 450 435-2421.