Lorraine
C’est ce samedi 21 juin que la piscine municipale de Lorraine ouvrira officiellement, et ce, jusqu’au dimanche 24 août. Les heures de baignade sont les suivantes: de 13 h à 20 h 45 en semaine et de 10 h à 20 h 45, les fins de semaine. La piscine est située au parc Albert-Clément, sur le boulevard de Chambord, derrière les terrains de tennis. L&#8217;accès est gratuit pour les résidants de Lorraine détenteurs d&#8217;une Carte citoyen valide.
Rosemère
Située au 339, chemin de la Grande-Côte, la piscine municipale de Rosemère recevra ses premiers nageurs ce samedi 21 juin, entre 13 h à 20 h. Il est à noter que les heures d’ouverture sont les mêmes en semaine.
L’accès à la piscine est gratuit pour les résidants de Rosemère. Pour les non‑résidants, les tarifs ont été établis comme suit: 6 ans et moins, gratuit; 7 à 15 ans, 4 $; 16 ans et plus 5 $; 65 ans et plus, 4 $.
Bois-des-Filion
L’ouverture de la piscine municipale se fera du 23 juin au 24 août de midi à 20 h. Située au 30, montée Gagnon, à Bois-des-Filion, l’accès est gratuit pour les résidants et pour les 5 ans et moins (non‑résidants). Sinon, il vous en coûtera 1,25 $ par visite.
Boisbriand
Ayant pignon sur rue au 275, rue Pellerin, la piscine municipale de Boisbriand ouvrira du samedi 21 juin au dimanche 17 août inclusivement.
Les heures d’ouverture sont de 12 h à 20 h et possiblement jusqu’à 21 h en période caniculaire. Si la température le permet, elle restera accessible du lundi 18 août au dimanche 24 août, de 13 h à 18 h, ainsi que du samedi 30 août au lundi 1er septembre.
Tarif saisonnier sans carte‑loisirs: 0‑5 ans, 35 $; 6‑17 ans, 50 $; 18 ans et plus, 70 $; familial, 120 $.

La résolution, proposée par le maire de Bois-des-Filion et président de la Coalition pour le parachèvement de l’autoroute 19, Paul Larocque, et appuyée par le maire de Laval, Marc Demers, a été unanimement adoptée lors de la séance du conseil de la CMM, tenue le 12 juin.
Elle fait suite au retrait du projet du PQI 2014‑2024, constaté lors de son dépôt par le gouvernement, une semaine plus tôt. Dans les jours qui ont suivi, le ministre des Transports, Robert Poëti, a évoqué plusieurs raisons pour justifier ce retrait et, par conséquent, le report du chantier en 2018: entre autres, la tenue des élections provinciales, les consultations du Bureau d&#8217;audiences publiques sur l&#8217;environnement (BAPE), qui devraient vraisemblablement débuter à l’automne, et la nécessité de tenir une nouvelle étude d&#8217;opportunité.
Soulignons qu’une lettre cosignée par six maires de la couronne nord (Blainville, Bois-des-Filion, Lorraine, Rosemère, Sainte-Anne-des-Plaines et Terrebonne) et le maire de Laval a également été envoyée au ministre Poëti afin de solliciter une rencontre avec lui pour faire le point sur ce dossier.
Dans un communiqué émis dans les heures qui ont suivi l’adoption de la résolution, le président de la CMM et maire de Montréal, Denis Coderre, a pour sa part insisté sur l&#8217;importance de mettre en œuvre rapidement ce projet, rappelant qu’il est déjà prévu dans le Plan métropolitain d&#8217;aménagement et de développement (PMAD), lui-même approuvé par le gouvernement.
Rappelons que M. Coderre a publiquement appuyé le projet de parachèvement de cette autoroute, en mai dernier, alors qu’il prononçait un discours devant les membres de la Chambre de commerce et d’industrie Thérèse-De Blainville et de nombreux élus de la couronne nord. «Vous avez l’appui de Montréal. On ne parle pas ici d’étalement urbain, mais de moyens de communication supplémentaires.»
Pour l’heure, il reste à connaître la date de la tenue des audiences publiques du BAPE, le cas échéant. L’annonce est attendue prochainement.

Autoroute 19: les élus de la CMM se mobilisent

Cette annulation découle directement de l’intensification des moyens de pression des employés municipaux qui, rappelons-le, sont sans contrat de travail depuis le 31 décembre 2011. Ces derniers refusent désormais de travailler en temps supplémentaire.
Depuis l’échéance de la convention collective, le syndicat et la Ville se sont rencontrés à 11 reprises, la dernière rencontre remonte au 24 février. Les demandes qui achoppent touchent majoritairement le régime de retraite.
Dans un communiqué publié sur son site Web, la Ville fait valoir la demande du syndicat, soit d’indexer de 1 % en rente-carrière les prestations du régime de retraite, ce qui coûterait à la Ville 720 000 $ et juge «indécent de demander à la population de bonifier le régime de retraite alors qu’elle a défrayé les déficits accumulés depuis quelques années.»
La Ville offre plutôt de créer un fonds de stabilisation ayant une réserve de 3 % et précise que si le syndicat est prêt à augmenter la cotisation de ses membres de 5 % à 10 %, il refuse toutefois de «s’engager à partager 50-50 les déficits futurs».
Du côté syndical, on dit attendre une nouvelle offre patronale. Pour l’heure, aucune rencontre entre les deux parties ne figure au calendrier.
Rappelons que le projet de loi no 3: Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal, qui prévoit une refonte majeure des régimes de retraite, a été déposée par l’Assemblée nationale, le 12 juin dernier.
La Coalition syndicale pour la libre négociation, dont fait partie le syndicat des employés-es de la Ville de Sainte-Thérèse, s’oppose à ce projet de loi dans sa forme actuelle. Le 17 juin, c’est par milliers que ses membres ont participé à de bruyantes pauses de 15 minutes, et ce, partout à travers les municipalités du Québec.

Piscines municipales: à l’eau!