Une vingtaine d’essences d’arbres est utilisée afin de favoriser la biodiversité et ainsi éviter la propagation de certaines maladies, dont l’agrile du frêne.
Depuis quelques années, l’agrile du frêne est un fléau qui touche de nombreux arbres sur le territoire thérésien, c’est pourquoi plusieurs d’entre eux ont dû être abattus. Pour pallier cet enjeu et pour contribuer au verdissement de la ville, 149 arbres ont été plantés à Sainte-Thérèse depuis le printemps. Parmi ceux-ci, 70 sont de nouvelles plantations tandis que les autres constituent des remplacements de frênes abattus et d’arbres sévèrement endommagés.
«La Ville reconnaît l’importance de la présence des arbres dans la municipalité pour des raisons environnementales, de santé et d’esthétique. Ainsi, avec ces plantations, nous tentons de contrer les effets des îlots de chaleur et d’améliorer notre couvert forestier. Nous portons notamment une attention particulière à la diversité et à l’emplacement des essences pour favoriser une foresterie urbaine durable», souligne la mairesse de Sainte-Thérèse, Sylvie Surprenant.
La situation exceptionnelle reliée à la pandémie a engendré un retard dans le processus d’acquisition et de plantation des végétaux, mais la Ville prévoit toujours planter 78 autres arbres d’ici la fin de l’automne, pour un total de 227. Ces projections restent toutefois tributaires de l’évolution de la situation et de la disponibilité des essences d’arbres.
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