« Nous sommes fiers d’offrir cette exposition aux citoyennes et aux citoyens de notre ville chaque année. La richesse culturelle présente à Lorraine façonne notre communauté et permet d’enrichir les échanges que nous avons entre nous », a souligné la conseillère municipale Martine Guilbault, qui s’est fait un devoir de présenter chacun des artistes participants durant cette soirée de vernissage.&nbsp;



Dans une ambiance festive, celle-ci a également fait connaître le nom des récipiendaires de mentions d’honneurs sélectionnés par le jury.&nbsp;



La mention d’honneur Souci du détail a ainsi été décernée à Geneviève Grondin, la mention Créativité a été remise à Louise St-Cyr tandis que Lennox Chaif est reparti avec la mention Distinction pour un artiste lorrain.&nbsp;



La mention Coup de cœur du public, quant à elle, sera connue le 16 juin prochain, au dernier jour de l’exposition. Les visiteurs sont invités à voter pour leur coup de cœur tout au long de l’exposition.&nbsp;&nbsp;



À l’occasion de leur déplacement au Domaine Garth, les visiteurs pourront découvrir le passé de ce lieu patrimonial de Lorraine à travers l’exposition présentée au sous-sol de l’endroit et nommée&nbsp;: Le domaine Garth; un patrimoine, une histoire depuis 1826.

L’Externat Sacré-Cœur de Rosemère et L’Académie Sainte-Thérèse font ainsi honneur à la région des Basses-Laurentides.&nbsp;



Dans le cadre du Concours de créativité lexicale de l’Office québécoise de la langue française, des élèves du 3e&nbsp;secondaire de l’Externat ont proposé un nouveau mot, un terme pour lequel il n’existait pas encore de dénomination française. Leur mot BALENTIN-BALENTINE a finalement été l’un des trois néologismes retenus par le jury en raison de sa qualité et de son originalité.&nbsp;



Le terme balentin (balentine) désigne une personne qui en accompagne une autre à un bal, notamment un bal de finissants.&nbsp;&nbsp;



Le dévoilement des néologismes gagnants a été fait le 5 juin dernier par l’ambassadeur du concours, Pierre-Yves Lord. Les trois néologismes gagnants – balentin – soiedenter- plaisard &#8211; ont été intégrés à la Vitrine linguistique et sont désormais accessibles à des millions de personnes à travers le monde.&nbsp;&nbsp;



Les deux autres établissements scolaires retenus lors de ce concours sont&nbsp;: L’école Jésus-Marie de Beauceville et la Polyvalente Benoît-Vachon de Sainte-Marie (Beauce).&nbsp;



L’Académie Sainte-Thérèse



En ce concerne L’Académie Sainte-Thérèse, les honneurs proviennent du ministère de l’Éducation.



L’Académie – Campus Rose-De Angelis a remporté le Prix National de reconnaissance en lecture du Ministère. Ce prestigieux prix récompense le programme de lecture entièrement renouvelé de l’Académie qui a été déployé au cours des trois dernières années par une équipe-école.



L’équipe de l’Académie Ste-Thérèse a mis en place des pratiques innovantes et authentiques comprenant des formations continues, des recherches probantes, l’acquisition de livres jeunesse de qualité et des dispositifs variés, favorisant un apprentissage significatif et engageant.



Dès le préscolaire, les élèves sont initiés aux contes classiques et modernes. Au primaire, des réseaux littéraires variés permettent de diversifier les approches éducatives avec des dispositifs tels que la lecture interactive, la lecture collective et les ateliers d’écriture encouragent la co-construction du sens et le développement des compétences de compréhension et de réflexion critique.



L’Académie Ste-Thérèse intègre la littérature jeunesse dans des projets interdisciplinaires, sensibilisant les élèves à des enjeux tels que le recyclage et la réutilisation des matières. Des animations littéraires variées permettent également aux élèves de se reconnaître dans les œuvres et de découvrir d’autres réalités, enrichissant ainsi leur compréhension du monde.

Honneurs pour L’Académie Ste-Thérèse et l’Externat Sacré-Coeur

Visiblement enchantés par cette pièce écrite par Jean-Philippe Lehoux, les comédiens Carl Béchard et Sébastien Gauthier, qui enseignent tous deux le théâtre – le premier au Conservatoire d’art dramatique de Montréal et le second au Collège Lionel-Groulx – n’avaient que de bons mots à l’endroit du texte théâtral qu’ils devront défendre sur scène, à partir du 20 juin en compagnie de leurs comparses Mélanie St-Laurent, Andréanne Daigle et Mathieu Richard.



En fait, la pièce sera jouée en avant-première le 19 juin dans le cadre d’une soirée-bénéfice au profit du Petit théâtre du Nord et co-présidée par le communicateur Louis-Pierre Desjardins et la comédienne Geneviève Schmidt. Une soirée avec service VIP et rencontre des comédiens.&nbsp;



Déjà occupés avec leur travail de préparation, Sébastien Gauthier et Carl Béchard ont tout de même pris une courte pause avec le Nord Info pour parler de cette Plante verte, verte, verte qui devrait, à les entendre, séduire un large public. 







<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="853" height="640" src="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2-853x640.jpg" alt="" class="wp-image-92623" srcset="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2-853x640.jpg 853w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2-291x218.jpg 291w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2-85x64.jpg 85w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2-768x576.jpg 768w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/06/rc-theatre-planteverte-2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 853px) 100vw, 853px" /></figure>



C’est que l’idée même du texte est audacieux. Imaginez un instant des plantes déclenchant une grève de la photosynthèse.



Quelques petites histoires s’y imbriqueront, permettant d’en mesurer les impacts s’en suivront. On y verra d’abord celle d’une sortie familiale qui tourne au cauchemar, celle d’un humain vivant une relation amoureuse avec une plante, de deux individus tentant d’entrer en contact avec la reine des plantes, puis à la visite d’un ministre de l’environnement en Norvège, qui souhaite y offrir des graines canadiennes.&nbsp;



Voilà une série de moments loufoques qui se rapprochent de la satire. On décrit même la pièce comme « un voyage de science-fiction drôle et philosophique ».



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Une première mondiale&nbsp;



« C’est un thriller botanique et en même temps une fable, s’empresse de dire Carl Béchard. Il y a quelque chose d’allégorique dans cette pièce. »



Évidemment, les situations sont surréalistes, conviennent les deux compagnons de scène. N’empêche qu’elles permettent une prise de conscience de notre rapport à la nature…par l’humour, il va sans dire.&nbsp;



Carl Béchard n’hésite d’ailleurs pas à dire que l’aspect satirique de la pièce n’a jamais été abordé dans ce type de création théâtrale. « C’est une première mondiale », clame ce dernier, mi-sérieux.



Sébastien Gauthier, qui travaille régulièrement avec le Petit théâtre du Nord, rappelle que sa troupe ne travaille qu’avec des textes créés sur commande et donc sortis tout droit de l’imaginaire de leur créateur.&nbsp;



D’ailleurs, souligne-t-il&nbsp;: « On parle du texte avec l’auteur. C’est un travail évolutif. »&nbsp;



Les textes présentés au Petit théâtre du Nord sont souvent repris par les finissants lors des auditions au Théâtre de 4 sous, indique Sébastien Gauthier, qui est aussi le directeur de l’Option théâtre du CLG.&nbsp;



Dans le cadre de ce théâtre d’été, la troupe s’est entourée de comédiens plus jeunes qu’eux. « Une diversité de générations amène une diversité d’idées et donc un équilibre », assure le comédien Gauthier.&nbsp;



Une plante verte, verte, verte sera présentée au Centre de création de Boisbriand du 20 juin au 24 août.&nbsp;

Plus que 4 jours pour découvrir l’Exposition du Domaine Garth