TC Transcontinental (TSX : TCL.A TCL.B), propriétaire du Publisac, annonce les résultats d’un sondage CROP mené en octobre. Ce sondage révèle que 86 % des Québécois et des Montréalais favorisent le mode de distribution actuel du Publisac (option de retrait ou opt-out), distribué de porte en porte sauf à celles qui affichent un pictogramme indiquant ne pas vouloir le recevoir, versus la fin du Publisac que causerait le modèle d’adhésion ou opt-in proposé par le mouvement Antipublisac. De plus, 90 % de la population québécoise (86 % à Montréal) a une bonne opinion du Publisac.
«Ce résultat est logique et cohérent avec le résultat montrant que 89 % de ceux qui reçoivent le Publisac le consultent. Année après année, nos sondages démontrent que la recherche d’aubaines est le principal attrait du Publisac pour les Québécois», a indiqué Stéphane Gendron, vice-président chez CROP.
«La volonté des Québécois et des Montréalais est claire. Le système actuel du opt-out leur convient, sachant que tout citoyen peut exercer le choix de ne pas recevoir le Publisac. Environ 200 000 foyers québécois ont fait ce choix, ce qui est la preuve que le système actuel fonctionne. Le système du opt-out nous permet de réduire à la source en ajustant la quantité de circulaires à imprimer et de sacs à produire. Ni les annonceurs, ni les hebdos, ni TC Transcontinental n’ont intérêt à distribuer un produit dont les gens ne veulent pas, tant d’un point de vue économique qu’environnemental», a déclaré François Olivier, président et chef de la direction de TC Transcontinental.
Le mouvement Antipublisac prétend faussement qu’un passage au opt-in n’aurait aucun impact pour le Publisac. Dans un tel modèle, toute la logistique en soutien du opt-out devrait être mise au service de 3 millions de foyers, soit 15 fois plus qu’actuellement. Un tel système ajouterait tellement de coûts et de complexité à son modèle d’affaires que ce serait la fin du Publisac. Cela entraînerait la mise en péril des hebdos locaux &#8211; selon le sondage, 92 % de ceux qui reçoivent un hebdo le lisent, la perte d’économies pour les ménages, la disparition du principal outil promotionnel des commerçants locaux et la perte de milliers d’emplois.
Quant au recyclage, selon le sondage, 95 % des foyers recyclent le Publisac et 73 % d’entre eux séparent le sac et les circulaires avant de les placer dans le bac. «Bien que le sac fait de plastique recyclé et son contenu soient 100 % recyclables, nous travaillons de deux façons afin d’en faciliter le tri: d’une part la communication, avec la mention sur le sac et dans nos campagnes de publicité de séparer le sac et son contenu avant de les déposer dans le bac, et d’autre part avec les tests en cours, en partenariat avec la Ville de Montréal, d’un sac qui s’ouvre sous la pression du compactage dans le camion de collecte, séparant ainsi le sac de son contenu pour en faciliter le recyclage», a ajouté M. Olivier. »
TC Transcontinental présentera son point de vue le 25 octobre lors de la consultation publique de la Ville de Montréal sur le contrôle des circulaires émanant du droit d’initiative citoyenne. Elle y défendra le Publisac et ses clients, annonceurs et hebdos locaux, et y fera valoir que le Publisac est un service utile, responsable et légitime qui doit être maintenu conformément à la volonté des Montréalais.

Crédit photo: Michel Chartrand &#8211;
L’événement  Festipâtes présenté par la BMO et les grandes marques de la région, le 18 octobre dernier, a rapporté la somme de 15 130 $ pour la Fondation du Collège Lionel-Groulx. 
Pour la présentation du chèque, nous reconnaissons Paul Paré, président de l&#8217;agence Side-Car et président de la Fondation, Serge Tosi, vice-président régional Laurentides Outaouais BMO Banque de Montréal, Charles Bergeron Vachon, vice-président  Opérations La Petite Bretonne et vice-président  de la Fondation, Alain Poudrier, vice-président  Ventes  St-Hubert Détail et président d&#8217;honneur de l’événement, Claudette Jeannotte, directrice de Développement de Marché Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville et membre du C.A. de la Fondation, Samuel Archambault, directeur de la succursale de la BMO (de la Seigneurie) à Blainville et membre du C.A. de la Fondation, Charles Le Borgne, vice-président Connexion-E et membre du C.A. de la Fondation ainsi que Jocelyne Roch, directrice générale de la Fondation.

La 9e édition du Festipâtes rapporte 15 130 $

En conférence de presse, la mairesse Sylvie Surprenant a confirmé le lancement d’un projet pilote prévoyant l’émission et la vente, au coût de 40 $ chacune, de vignettes de stationnement autorisant le stationnement nocturne, du 1er décembre au 15 mars, c’est-à-dire la période au cours de laquelle cette pratique est normalement interdite.
Cette vignette sera émise sous certaines conditions et ne pourra être achetée que par les seuls citoyens de Sainte-Thérèse, qui devront évidemment fournir une preuve de résidence au moment de se la procurer. Ils pourront alors en acheter autant qu’ils le voudront, pour tous les membres de leur famille, ou s’en procurer une seule qui sera transférable d’un véhicule à l’autre.
<h3>D’abord s’inscrire au système d’urgence automatisé</h3>
On prévoit la vente de ces vignettes (Interac ou argent comptant) les 12, 13 et 14 novembre, de 17 h à 20 h, de même que le 16 novembre, de 9 h à 16 h, à la Maison du citoyen, sise au 37, rue Turgeon. Après cette date, la vente se poursuivra au même endroit, aux heures normales d’ouverture.
Dans un cas comme dans l’autre, il faudra auparavant s’inscrire en ligne, dès le 1 novembre, au système d’urgence automatisé de la Ville de Sainte-Thérèse. Si c’est déjà fait, il suffira de s’abonner aux Avis d’opération de déneigement (par texto et/ou courriel).
Vous aurez deviné que la vignette autorisant le stationnement nocturne en hiver vous donne des droits qui seront suspendus chaque fois que sera lancée une opération de déneigement. L’inscription au système d’urgence automatisé, tout obligatoire qu’elle soit, vous évitera alors les désagréments d’une contravention ou d’un remorquage. Aussi, chaque fois qu’une opération de déneigement sera prévue, vous recevrez un texto ou un courriel vous en avisant. En cas de doute, vous pourrez aussi téléphoner au numéro indiqué pour entendre le message automatisé portant sur l’état de la situation. En aucun temps on ne pourra plaider l’ignorance.
Ces mesures visent à assurer le bon fonctionnement de chaque opération de déneigement qui, comme le faisait remarquer le directeur général adjoint de la municipalité, Robert Asselin, sont évidemment perturbées et se prolongent indûment chaque fois qu’on bute sur une voiture.
<h3>Toutes les informations en ligne</h3>
À noter que ce projet pilote s’accompagne d’un outil d’information que vous trouverez facilement en arrivant sur le site Web de la Ville, au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.sainte-therese.ca" target="_blank" rel="noopener">http://www.sainte-therese.ca</a>]. En cliquant sur l’icône de la vignette qu’on a placée bien en évidence, vous arriverez dans une section où l’on vous donnera toutes les informations utiles. Si vous êtes de ceux et celles qui préférez voir et entendre, on a prévu des capsules vidéos qui résument toute la démarche.
«Malgré notre volonté commune de mettre le transport en commun de l’avant, il faut tenir compte du nombre grandissant de voitures dans les foyers. La Ville est heureuse d’offrir une alternative en matière de stationnement de nuit en période hivernale. Avec ce projet pilote, nous offrons une amélioration importante à cette réglementation que certains citoyens trouvaient contraignante» , a déclaré la mairesse de Sainte-Thérèse, Mme Sylvie Surprenant.

Publisac: 86 % des Québécois appuient le mode de distribution actuel