Cette route est un accès important pour les usagers entre Laval et la Rive-Nord de Montréal et cette mesure préventive, qui est en vigueur depuis novembre 2020, vise à maintenir la fonctionnalité de ce pont.



L’interdiction de circulation&nbsp;sur ce pont s’applique à tous types de véhicules de 5 tonnes et plus,&nbsp;incluant la circulation locale, dont&nbsp;:&nbsp;les semi-remorques, les camions de livraison et de déménagement;&nbsp;es autobus, incluant le transport scolaire;&nbsp;les camionnettes transportant une charge;&nbsp;les véhicules avec une remorque ou transportant un véhicule récréatif;&nbsp;les roulottes, etc.



Les conducteurs visés ont l’obligation d’emprunter un autre itinéraire; un chemin de détour balisé dirige les usagers via l’autoroute&nbsp;15 (des Laurentides) et le pont Gédéon-Ouimet. De plus, la surveillance sera accrue aux approches du pont et les contrevenants s’exposent à des contraventions variant de 600&nbsp;$ à 10&nbsp;000&nbsp;$.



Pour la sécurité des usagers de la route, le respect de la signalisation en place est essentiel afin d’éviter d’endommager le pont, ce qui entraînerait des restrictions supplémentaires. Le Ministère met d’ailleurs tous les efforts pour faire avancer le projet de reconstruction du pont de l’île Bélair et le chantier débutera en 2024.



Le Ministère est conscient des répercussions pour les usagers et tient à rassurer la population que ce pont demeure sécuritaire et qu’il est inspecté régulièrement. Il remercie les usagers de la route pour leur collaboration.



Avant de prendre la route, il est recommandé de consulter Québec 511, un outil pratique pour planifier adéquatement ses déplacements.



Pour toute question ou tout commentaire, il est possible de communiquer avec le Ministère en composant le&nbsp;511 ou en allant sur la page Web transports.gouv.qc.ca/nous-joindre.&nbsp;&nbsp;

En préparant ce dépouillement d’Arbre de Noël, comme elle le fait depuis qu’elle est à la tête de l’organisme, Sandrine Gaudelet a fait face à plusieurs imprévus.&nbsp;



D’abord, par l’augmentation de familles qui se sont inscrites à la belle réception de Noël qu’elle préparait depuis un bon moment. Alors qu’on attendait une centaine de personnes, la liste d’inscription s’est vue gonfler jusqu’à 180 noms.&nbsp;



Ce nombre n’a tout de même pas étonné Mme Gaudelet, qui constate depuis 2020 une hausse d’individus faisant appel aux services de soutien de son organisme. Avec la pandémie, l’inflation, et maintenant la crise du logement, bien des personnes qui étaient parfaitement autonomes n’arrivent plus à joindre les deux bouts. Après avoir payé leur loyer, certains individus doivent sacrifier le budget consacré antérieurement à l’épicerie et se tourner vers la banque alimentaire pour continuer de se nourrir.&nbsp;



Puis il y a les parents, ensemble ou soloparentaux, qui n’auront pas l’argent nécessaire cette année pour acheter des cadeaux à leur marmaille. 



Visage de la pauvreté



En apparence, tout va bien. Personne ne voit que le garde-manger se vide sans se remplir comme auparavant. C’est le nouveau visage de la pauvreté&nbsp;: cachée et invisible à première vue.



Or, la générosité laurentienne a aussi un visage. Cette année, elle porte le nom de Caisse Desjardins Thérèse-de-Blainville, Dépanne-Tout, Les Allumés, des cuisiniers bénévoles de la Résidence Boréa et de l’entrepreneur Éric Langlois. Ce dernier a prêté gracieusement la grande salle de réception de son tout nouveau complexe culturel, encore en voie de construction, en plus d’acheter un cadeau pour chacun des enfants. Et de s’investir personnellement dans l’organisation de la soirée.&nbsp;



Tandis que les aînés de Boréa avaient cuisiné le repas principal, l’équipe des Allumés offrait breuvages, biscuits et viennoiseries.&nbsp;



Une fois le repas terminé, un dj et un magicien ont divertit les familles en attendant l’arrivée du Père Noël avec sa poche de cadeaux, bien entendu.&nbsp;



Et la joie des enfants en l&#8217;apercevant. Elle est là, la magie de Noël!

Noël, c’est pour tout le monde!

Pour être admissibles, les candidats doivent être âgés de 18 à 30 ans, être résidents de Sainte-Thérèse ou étudier à temps plein dans une institution scolaire du territoire thérésien. Les participants seront hébergés par la Ville d’Annecy et recevront une bourse de 1 200 $ de la Ville de Sainte-Thérèse, afin de les aider à payer les coûts du transport.



Stages disponibles



Six différents stages sont disponibles&nbsp;:&nbsp;Agent(e) d’accueil et de surveillance au Musée-Château, Agent(e) d’accueil et d’animations culturelles à la Médiathèque La Turbine et Bonlieu, Agent(e) d’accueil et d’entretien au Camping Le Belvédère, Agent(e) d’accueil et événementiel pour le collectif Art by Friends, Assistant(e) aux communications à l’Alliance Française d’Annecy ou encore Réparateur(trice) de vélos et animation chez Roule &amp; Co.



« J’invite les Thérésiens admissibles à postuler en grand nombre, car il s’agit d’une expérience unique! Les participants auront l’opportunité de découvrir la culture d’Annecy, notre ville jumelle, par une immersion complète. En plus de l’expérience de travail, ils feront le plein de souvenirs et de rencontres inspirantes », mentionne le maire de Sainte-Thérèse, monsieur Christian Charron.



Consultez les descriptions détaillées des stages et les conditions d’admissibilité au www.sainte-therese.ca > Ville > Découvrir Sainte-Thérèse > Pactes d’amitié. Pour soumettre votre candidature, envoyez votre curriculum vitae avec photo et une lettre de motivation avant le 26 janvier 2024 à sejourdecouverte@sainte-therese.ca.



Pour en apprendre davantage sur la ville d’Annecy, aussi surnommée la Venise des Alpes, visitez leur page&nbsp;Facebookou rendez-vous au&nbsp;www.tourisme-annecy.net.

Rappel important : restriction de charge à 5 tonnes sur le pont de l’île Bélair