«Il s’agit d’une zone d’environ seize kilomètres carrés, près de Sainte-Sophie», de situer le maire Guy Charbonneau avant d’expliquer les motifs qui ont mené à ce projet qui touche, au bas mot, quelque 200 propriétaires. «On veut ainsi protéger la biodiversité de l’endroit, la nappe phréatique et par-dessus tout, l’aquifère. À ma connaissance, c’est la première fois qu’une ville crée une forêt permanente, à tout le moins dans la région des Basses-Laurentides. On va peut-être se faire tester», a reconnu le maire.
Déposé en deuxième lecture lors de la séance du mois de février, le projet devrait être approuvé dans sa forme finale en mars prochain.