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<p>En raison de l’agrile du frêne, le Groupe Maurice, propriétaire de la résidence pour aînés Les Résidences du Marché, située à Sainte-Thérèse, a demandé un permis pour procéder à l’abattage de 16 arbres sur son terrain. Les arbres atteints par la maladie se trouvent sur les rues du Marché et Coursol.</p>
<p>Chaque frêne abattu devra être remplacé par un nouvel arbre. La Ville exige que la plantation soit réalisée au plus tard un an après l’émission du permis d’abattage, le propriétaire devra ainsi procéder au remplacement avant le 27 juin 2022.</p>
<p>« Nous sommes attristés de savoir que ces arbres sont gravement atteints de l’agrile du frêne. Toutefois, il est nécessaire de les abattre, car ces arbres morts représentent un enjeu de sécurité. Afin d’éviter que cette maladie soit transmise à d’autres arbres sains, le propriétaire pourra procéder sous peu », mentionne la mairesse de la Ville de Sainte-Thérèse, madame Sylvie Surprenant.</p>
<p>Un programme de remplacement pour les citoyens</p>
<p>Rappelons que la Ville a récemment mis en place un nouveau programme destiné aux citoyens leur permettant de remplacer gratuitement un frêne abattu sur leur terrain en raison de l’agrile du frêne, par un arbre d’une autre essence. Tous les renseignements sont disponibles au www.sainte-therese.ca &gt; Environnement &gt; Arboriculture.</p>
<p>À propos de l’agrile du frêne</p>
<p>L’agrile du frêne est un insecte ravageur originaire de l’Asie du Sud. Il a été observé pour la première fois en Amérique du Nord en 2002. La plupart des frênes nord-américains sont très vulnérables à ce buprestidé qui a détruit des millions d’arbres dans des zones forestières et urbaines au Canada.</p>
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Sainte-Thérèse. agrile du frêne, rue Jacques-Lavigne, Havre du Ruisseau

<p>Le maire suppléant de Mirabel Patrick Charbonneau a annoncé par voie de communiqué, dimanche dernier, qu’il se présentera à la mairie de Mirabel sous la bannière du parti Action Mirabel.</p>
<p>Natif du secteur de Saint-Augustin, où il agit à titre de conseiller municipal depuis 2013, M. Charbonneau a pris l’intérim de Jean Bouchard à la mairie de la ville, en janvier 2020. Ce dernier a dû quitter ses fonctions lorsque les médecins lui ont découvert une tumeur cérébrale.</p>
<p>Charbonneau compte bien continuer de marcher dans les pas de son mentor et de compléter le travail amorcé au cours des 18 derniers mois. M. Bouchard a par ailleurs souligné qu’il avait pleine confiance en M. Charbonneau pour assurer la relève : « <em>Je passe le flambeau à Patrick Charbonneau et je n’ai aucun doute sur [son] leadership pour piloter les dossiers importants de la Ville de Mirabel.</em>»</p>
<p>S’il est élu le 7 novembre prochain, M. Charbonneau souhaite que la ville de Mirabel en demeure une « accueillante et invitante » pour les familles qui décident de s’y établir.</p>
<p>« <em>C’est un honneur pour moi d’avoir fait mes classes auprès de M. Bouchard et d’avoir sa pleine confiance. Il a réalisé de grandes choses pour la ville. Je remercie aussi mes collègues du conseil de ville qui m’ont choisi pour lui succéder</em> », a-t-il indiqué.</p>
<p>M. Charbonneau détient un baccalauréat en géomatique appliqué à l’environnement de l’Université de Sherbrooke et est sur le point de terminer une formation en gestion des services municipaux à l’Université du Québec à Montréal.</p>
<p>Avant d’entrer en politique active, le candidat à la mairie a été notamment consultant en développement et en aménagement.</p>


Patrick Charbonneau briguera le poste de maire de Mirabel

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<p>La députée de Thérèse-De Blainville, Louise Chabot, fait un bilan positif de la dernière session parlementaire au cours de laquelle le Bloc Québécois s’est illustré dans sa défense des intérêts du Québec. Les dossiers de la langue, des aînés et des travailleurs entre autres, ont été portés à bout de bras par la députée et ses collègues bloquistes.</p>
<p>Le français à l’ordre du jour</p>
<p>Jamais la question du français n’aura-t-elle autant pris de place à la Chambre des communes. Pour la députée, il est clair que la présence d’une députation bloquiste forte et nombreuse a fait toute la différence. « Nous avons fait reconnaître par la Chambre le droit pour le Québec d’appliquer la loi 101 aux entreprises sous juridiction fédérale. À l’exception des libéraux, tous les partis ont reconnu que le Québec a le droit d’avoir ses propres exigences linguistiques pour les entreprises sur son territoire. Nous avons aussi déposé un projet de loi pour exiger une connaissance suffisante du français afin d’obtenir la citoyenneté au Québec, mais les autres partis ont voté contre. Le Québec doit avoir les coudées franches pour légiférer en matière de français, la langue commune de notre nation », de déclarer Louise Chabot.</p>
<p>Augmenter la pension de la sécurité de vieillesse</p>
<p>Le Bloc Québécois a également mené la charge dans le dossier des aînés et de l’augmentation de la pension de la sécurité de la vieillesse (PSV). Depuis l’élection de 2019, ce sujet revient régulièrement dans les actions et les interventions des députés bloquistes. « Notre demande est claire : une augmentation de la PSV de 110 $ par mois, pour tous les aînés. Nous sommes absolument contre la création de deux classes d’aînés annoncée par le gouvernement libéral, qui ne tient pas compte des moins de 75 ans. Les aînés de Thérèse-De Blainville peuvent compter sur moi pour continuer de me battre pour que tous aient droit à une augmentation. C’est une question de justice et d’équité! », d’affirmer la députée.</p>
<p>Défendre les travailleuses et les travailleurs</p>
<p>Porte-parole du Bloc Québécois en matière d’emploi, développement de la main-d’œuvre et travail, Mme Chabot est particulièrement fière du travail accompli au comité HUMA. À son initiative, une étude de la réforme de l’assurance-emploi a été entreprise par le comité et un rapport a été adopté en fin de session. « Seulement 40 % des travailleurs qui cotisent à l’assurance-emploi se qualifient pour des prestations. Le programme ne remplit plus son rôle de filet social. Il faut une réforme en profondeur, on ne doit pas attendre la prochaine crise pour réagir », soutien Louise Chabot.</p>
<p>La députée est également au front pour la prolongation des prestations de maladie de l’assurance-emploi. Le Bloc Québécois a déposé le projet de loi Émilie Sansfaçon, pour faire passer le nombre maximal de semaines de prestations de 15 à 50. « Ce que le gouvernement libéral propose, avec 26 semaines, c’est loin d’être suffisant. Guérir d’un cancer, ça demande du temps. C’est ce que l’on veut offrir aux gens : du temps pour se soigner, pour se remettre sur pied, mais aussi la dignité de se concentrer sur sa guérison plutôt que sur les factures qui s’empilent et le manque de ressource financière. On ne devrait pas avoir à choisir entre se soigner ou payer son loyer », rappelle Louise Chabot.</p>
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<p>Pour la députée, la dernière session a fait ressortir l’importance du rôle du Bloc Québécois à Ottawa. « Nous avons porté les demandes du Québec, que ce soit en matière de langue, de transferts en santé, de culture. Nous avons défendu nos intérêts collectifs en tant que nation. Les gens peuvent compter sur nous pour porter la voix du Québec à Ottawa. Au Bloc Québécois, nous sommes fiers et fiables! », de conclure la députée de Thérèse-De Blainville.</p>
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Sainte-Thérèse octroie un permis pour abattre des frênes malades