Ce programme vise à soutenir des projets pouvant contribuer, de diverses manières, à prévenir et à contrer les actes d&#8217;intimidation ainsi qu&#8217;à accroître l&#8217;aide offerte aux personnes victimes, aux témoins, aux proches et aux auteurs d&#8217;actes d&#8217;intimidation. Les présentations seront offertes en collaboration avec les deux organismes de justice alternative de la région des Laurentides.
Chacun a sa place s&#8217;adresse à tous les groupes d&#8217;aînés (club d&#8217;aînés, organismes représentant les retraités…) ainsi qu&#8217;aux aînés vivant dans divers milieux de vie tels que les offices municipaux d&#8217;habitation, les résidences privées, les résidences intermédiaires ou encore les OBNL d&#8217;habitation. Le programme s&#8217;adresse également à tout représentant d&#8217;organisme, responsable de résidence ou responsable des soins des lieux d&#8217;hébergement afin de les sensibiliser à la problématique de l&#8217;intimidation.
Un outil interactif
Le programme Chacun a sa place est un outil interactif visant à sensibiliser les aînés à la réalité de l’intimidation entre eux. Il favorise l’accompagnement, la recherche de solutions et propose des façons de faire pour ne plus vivre l’intimidation. Il se présente sous la forme de trois capsules vidéo traitant de l’intimidation sous des angles différents. Il répond efficacement à plusieurs questions, que vous soyez victime, témoin ou intimidateur. Un guide du participant contenant les ressources du territoire est remis à chaque personne présente.
Le volet 2 du programme intitulé &#8220;Chacun prend sa place&#8221; vise à conscientiser les aînés et leur entourage afin de faire cesser/diminuer les comportements conflictuels entre aînés et de les accompagner dans leurs démarches de résolution de conflits par le développement d&#8217;habiletés de communication. Par le biais d&#8217;ateliers interactifs, il s&#8217;agit de former et d&#8217;outiller les participants à mieux communiquer ensemble.
Si vous souhaitez recevoir une présentation gratuitement au sein de votre organisme ou dans votre résidence, contactez la TCRAL au 819 326-5657, poste 27 ou (<a href="mailto:tralaurentides@gmail.com">tralaurentides@gmail.com</a>).

Ouvert depuis juillet 2018, l’écocentre, situé au 302, rue Omer-DeSerres, offre notamment plus d’espace aux usagers, ce qui facilite le dépôt des articles admissibles. Tout au long de l’année, les citoyens peuvent y disposer gratuitement (jusqu’à une quantité annuelle de 5m3) leurs produits, matières et matériaux. Grâce à l’écocentre, plusieurs matières récupérables, réutilisables ou valorisables sont acheminées vers des recycleurs spécialisés afin de leur donner une nouvelle vie.
Coup d’oeil sur l’écocentre 
L’écocentre entrepose quatorze conteneurs en plus des quatre endroits dédiés aux matières en vrac tels que la terre, les branches et le béton. Chacun des conteneurs peut recevoir en moyenne cinq tonnes de matériaux secs triés. Les matières les plus populaires sont le bois, les matériaux de construction mixtes, la terre, le béton et les résidus verts. L’écocentre possède également un secteur pour y recevoir et y entreposer les résidus domestiques dangereux tels que les peintures, les piles, les huiles usagées, les solvants, les batteries de véhicule et les bouteilles de propane.
De plus, un emplacement intérieur est dédié à l’entreposage des appareils électroniques et un autre pour les appareils contenant des gaz frigorifiant comme les réfrigérateurs et les appareils d’air conditionné. À noter, que ces gaz seront récupérés par la suite par une entreprise spécialisée.
Aujourd’hui, plus de 90 % des matières qui ressortent de l’écocentre sont recyclées et valorisées. Dans un sondage réalisé à l’automne 2018 auprès de 228 usagers de l’écocentre, plus de 80 % d’entre eux apprécient les nouvelles fonctionnalités du nouveau site.
«Nous invitons les Blainvilloises et les Blainvillois à nous aider à assurer une gestion responsable des matières résiduelles et à profiter de l’ensemble des collectes et solutions qui s’offrent à eux pour disposer de leurs matières de façon écologique et sécuritaire», a conclu la présidente de la commission du développement durable et de l’environnement, Nicole Ruel.

Synvain Rénove fait la promotion de l’écocentre de Blainville

On parle d’augmenter de moitié la superficie de ce boisé urbain, qui couvrira donc 3,74 hectares et que l’on dit exceptionnel puisqu’il abrite une érablière à Caryer cordiforme, c’est-à-dire un type de forêt qui se fait de plus en plus rare, notamment parce qu’elle ne représente que 1 % du couvert forestier québécois.
Incidemment, on y retrouve 47 arbres indigènes (érable à sucre, tilleul d’Amérique, hêtre à grandes feuilles, ostryer de Virginie et caryer cordiforme, notamment) et une flore de 1 600 arbustes, plantes herbacées et fougères.
<h3>Un geste pour la planète</h3>
«C’est l’un des écosystèmes les plus complexes en espèces végétales et animales de toute la province» , exprimait d’ailleurs le biologiste Michel Leboeuf, impliqué dans le projet, en compagnie de son collègue Réjean Dumas, tous deux résidants de Rosemère. Ceux-ci répondaient alors à une requête formulée par la conseillère municipale Marie-Hélène Fortin, qui leur demandait quelle pourrait être la contribution des villes dans le contexte mondial des changements climatiques.
En l’absence de cette dernière, sa collègue Stéphanie Nantel profitait d’un point de presse tenu à l’Externat Sacré-Cœur pour signaler la participation d’une trentaine de citoyens, guidés par les membres de la Société d’horticulture et d’écologie de Rosemère (SHER), qui procèderont à une première plantation, le samedi 8 juin. À la rentrée scolaire, ils seront imités par un groupe d’élèves de l’institution roseméroise.
«Il s’agit d’une occasion inouïe, pour ces jeunes, de vivre une expérience enrichissante sur le terrain, en lien avec la protection des milieux naturels» , s’est réjoui le maire de Rosemère, Eric Westram, ajoutant qu’il s’agissait là d’une forme d’engagement puisque ces jeunes seront invités à veiller de près à l’évolution de ce boisé.
<h3>Un cadre de vie agréable</h3>
La conseillère Nantel énumérait par ailleurs les multiples bienfaits des boisés urbains de ce genre, qui jouent un rôle de coupe-son et de dépolluant en augmentant la séquestration de carbone. «Les arbres colorent notre paysage, filtrent notre air, empêchent l’érosion du sol, diminuent les îlots de chaleur et nous procurent un cadre de vie agréable» , a-t-elle ajouté.
Pour la plantation du 8 juin, on était à compléter l’équipe des 30 citoyens et citoyennes qui pourront y prendre part. Si le cœur vous en dit, communiquez rapidement avec le Service des loisirs, au 450 621-3500, poste 7380.

Soutien financier pour contrer l’intimidation auprès des aînés