La bâtisse sera érigée sur une structure d’acier et des dalles de béton, et la finition extérieure se fera en revêtement métallique. Tout sera conçu en fonction des besoins de Moisson Laurentides, dans le but d’améliorer ses services et d’accroître son efficacité. L’aire du bâtiment situé sur la rue Legault à Blainville, sera de 21 002 pieds carrés et la superficie totale de plancher sera de 24 610 pieds carrés. La fin des travaux est prévue pour le 1er mars 2020.
La mission première de l’édifice sera de servir à l’entreposage alimentaire. En plus de doubler sa superficie, Moisson Laurentides disposera d’un espace de réfrigération et de congélation quadruplé, d’un espace d’entreposage sec doublé et de multiples aires de travail pour accueillir un grand nombre de bénévoles de façon simultanée.
Pour Syscomax, le défi relié à la réalisation de ce bâtiment, est de minimiser les coûts tout en respectant ses standards de construction. L’entrepreneur général a cependant ce projet grandement à cœur et s’assure de bien accomplir sa tâche.
Une implication fortement appréciée
«L’implication de Syscomax dans notre projet a été l’élément déclencheur qui nous a permis de voir plus grand pour ainsi nourrir une plus grande quantité de gens. Les besoins alimentaires sont criants dans la région et il nous était devenu impossible d’y répondre dans nos anciennes installations. En plus, nous sommes confiants en ce qui concerne le respect des paramètres entendus pour le projet et la qualité de l’infrastructure que Syscomax mettra sur pied. Ainsi, cela nous permet de nous concentrer sur notre mission première: combattre la faim, nourrir l’espoir», de dire Annie Bélanger, directrice générale de Moisson Laurentides.
Moisson Laurentides rappelle que, pour chaque dollar reçu, il redonne l’équivalent de 17 $ en denrées. 3,9 millions de kilogrammes de denrées sont ainsi distribués chaque année, soit l’équivalent de plus de 26 millions $ en valeur marchande. En soutenant Moisson Laurentides, vous permettez à 101 organismes de nourrir mensuellement 20 763 personnes, dont le tiers sont des enfants. Pour donner à Moisson Laurentides, consultez son site Web à [moissonlaurentides.org/campagne].

Après la sortie d’une stratégie gouvernementale visant à contrer les violences sexuelles et suite aux mobilisations sociales #moiaussi, #metoo, des organisations clés ont fondé un comité provisoire pour la création d’une instance de concertation et de partenariat qui traiterait des problématiques liées aux agressions sexuelles.
À l’origine, des représentantes du CAVAC des Laurentides, du Centre désigné de Saint-Jérôme (CISSS des Laurentides), du CALACS L’Ancrage et de L’Élan-CALACS, se sont réunies dans le but d’initier des rencontres intersectorielles permettant un meilleur arrimage des services pour les personnes victimes d’agressions sexuelles. Le comité d’organisation, auquel s’est ajouté des déléguées du CISSS des Laurentides, est fier d’avoir rassemblé autant de gens et d’organismes pour un travail collectif.
«Nous avions constaté certains défis sur le terrain, des obstacles pour les victimes et il nous semblait important de trouver des solutions en impliquant toutes les instances concernées», explique Danielle Giroux, du CAVAC des Laurentides.
Chantal Dubois, du CALACS L’Ancrage, renchérit: «Cette journée représente bien le désir de collaboration porté par le comité provisoire. On pense qu’en connaissant mieux les acteurs impliqués, nous allons réussir à améliorer le soutien apporté aux victimes dans les Laurentides, tout en permettant de travailler également à la prévention des agressions sexuelles. Plusieurs organisations se sont déjà engagées à contribuer à des comités de travail, c’est très encourageant.»
Lors de ce premier rendez-vous, des présentations et des ateliers ont permis de discuter ouvertement des différents enjeux de cette problématique ainsi que d’aborder des pistes d’action prioritaires. Trois autres rencontres sont prévues d’ici juin 2020.

Un travail collectif pour faire la lutte contre les agressions sexuelles

Ainsi, au terme de la période des mises en candidature pour l’élection fédérale de 2019 qui a pris fin le lundi 30 septembre dernier, à 14 h (heure locale), 7 femmes et 14 hommes sont donc sur les rangs dans ces trois circonscriptions avec l’espoir de l’emporter le soir de l’élection. Parmi eux, un seul candidat indépendant a déposé sa candidature.
Les six principaux partis politiques, à savoir le Bloc québécois (BQ), le Nouveau Parti démocratique (NPD), le Parti conservateur du Canada (PCC), le Parti libéral du Canada (PLC), le Parti populaire du Canada (PPC) et le Parti vert du Canada (PVC), sont tous représentés dans ces trois circonscriptions des Basses-Laurentides. Par ailleurs, le Parti Rhinocéros (PR) et le Parti de l’indépendance du Québec (PIQ) auront aussi un candidat dans l’une d’elles.
<h3>Les candidats d’ici</h3>
Dans la circonscription de Mirabel, sept candidats sont sur les rangs: Pietro Biacchi (PIQ), François Desrochers (PCC), le député sortant Simon Marcil (BQ), Christian Montpetit (PPQ), Anne-Marie Saint-Germain (NPD), Julie Tremblay-C. (PVC) et Karl Trudel (PLC).
Tout à côté, dans la circonscription de Rivière-des-Mille-Îles, ce sont six candidats qui aspirent à être élus. Il s’agit de Ceylan Borgers (PVC), Luc Desilets (BQ), Joseph Hakizimana (NPD), la députée sortante Linda Lapointe (PLC), Maikel Mikhael (PCC) et Hans Roker Jr (PPC).
Du côté est, pas moins de huit candidats lorgnent le siège de la circonscription de Thérèse-De Blainville, nommément: le député sortant Ramez Ayoub (PLC), Normand Beaudet (PVC), Louise Chabot (BQ), Marie-Claude Fournier (PCC), Alain Lamontagne (PR), Désiré Mounanga (PPC), Andy Piano (indépendant) et Hannah Wolker (NPD).
<h3>Vote par anticipation</h3>
Même s’il reste encore 12 jours de campagne électorale, en date de ce mercredi 9 octobre, les électeurs pourront se prévaloir cette semaine du vote par anticipation, et cela pendant quatre jours, les 11, 12, 13 et 14 octobre, de 9 h à 21 h.
Déjà, les gens inscrits sur la liste électorale devraient avoir reçu par la poste leur «carte d’information d’électeur» sur laquelle sont précisés l’endroit où aller voter, que ce soit par anticipation ou le jour même du scrutin, les heures pour exercer ce droit de vote et le numéro de leur bureau de vote. Il sera aussi possible de s’inscrire sur place lorsque viendra le temps de voter.
Aussi, un «Guide pour l’élection fédérale» a été distribué par la poste en début de semaine et fournit, cette fois, l’ensemble des informations à connaître avant d’aller voter.
Enfin, pour trouver la liste des candidats qui se présentent dans une circonscription, les électeurs peuvent visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.elections.ca" target="_blank" rel="noopener">http://www.elections.ca</a>] où s’y trouvent aussi des mises à jour et bon nombre d’informations utiles, en y entrant leur code postal.

Syscomax construit le nouveau bâtiment de Moisson Laurentides