Il s’agissait d’un événement-bénéfice très important pour les personnes en besoin et leurs familles de la région des Laurentides. Le quatrième événement «Vins et fromages» , au profit de la Fondation Florès, se tenait le jeudi 24 octobre dernier, en présence d’une bonne brochette de personnes. Le tout, un rendez-vous gastronomique, chaleureux et convivial, se déroulait au Club de golf Les Quatre Domaines, à Mirabel. 
La Fondation Florès était en effet très heureuse d’inviter ses convives dans le cadre d’une soirée qui se déroulait sous le thème «Coup de cœur» . Le tout a débuté avec un traditionnel coquetel, avec ambiance musicale et bouchées. Les gens, tout au long de cette soirée, pouvaient participer à un encan silencieux dont les profits servaient à la noble cause. 
Grâce à ses soirées Vins et fromages, l’organisation communautaire a pu amasser un généreux total de 111 500 $, excluant ce quatrième rendez-vous annuel. 
<h3>Développer et soutenir </h3>
En effet, une participation à cet événement, vu par les organisateurs comme «un véritable encouragement» , permet à la Fondation et à son équipe de poursuivre une mission. Les sous amassés servent à soutenir une clientèle, à offrir un répit à des personnes et familles qui en ont grandement besoin. 
Rappelons que la Fondation Florès a pour mission de soutenir et d’appuyer des projets visant à favoriser l’intégration des personnes ayant une déficience intellectuelle, un trouble du spectre de l’autisme ou une déficience physique et à soutenir leurs proches. En ce sens, ces actions s’inscrivent à titre de complément avec les services de la direction des programmes en déficience intellectuelle, troubles du spectre de l’autisme et déficience physique du Centre intégré en santé et services sociaux (CISSS) des Laurentides. 
«Les travaux de rénovation que nous avons entrepris il y a deux ans, à notre Maison de Bretagne, sont pratiquement terminés» , souligne-t-on, parlant d’un bâtiment qui se retrouve à Blainville et qui nécessitait un investissement considérable. 
«Les espaces rénovés permettent aux participants d’évoluer dans un endroit sécuritaire et accueillant. Cette maison offre, en collaboration avec les partenaires la Société de l’autisme des Laurentides et Acco Loisirs, des activités d’apprentissage et un temps de répit aux personnes vivant avec un trouble du spectre de l’autisme ou une déficience intellectuelle. Soulignons que plus de cent usagers sont accueillis annuellement à la Maison de Bretagne.» 
D’autres projets sont donc sur la table, comme mentionnés plus haut, et ces fonds permettront également à l’équipe de les matérialiser. Celle-ci est d’ailleurs composée de cinq personnes et, à sa tête, se retrouve son président Pierre McCann. Ils organisent également un tournoi de golf annuel qui jouit d’un succès certain et qui permet aussi d’amasser des fonds pour la cause. 
Enfin, pour plus d’informations, les intéressés sont conviés sur le Facebook officiel de la Fondation Florès, portant le même nom.

Un quatrième «Coup de cœur» pour les gens en besoin

C’était journée portes ouvertes, le 13 novembre au collège Lionel-Groulx. Pour l’occasion, plus de 4 000 étudiants, la plupart de 5 secondaire, se sont présentés à Sainte-Thérèse pour en apprendre davantage sur les nombreux programmes généraux et professionnels offerts. 
Des milliers de jeunes ont donc eu l’opportunité de rencontrer le corps enseignant et plusieurs membres de la communauté collégiale. Dans l’allée réservée au programme général de sciences humaines, Isabelle, une enseignante en mathématique, expliquait à Alicia-Ève, élève de 5e secondaire, à l’Académie Lafontaine, les quatre profils offerts en marge de ce parcours. 
«Ces profils ont été pensés afin que chaque élève s’y retrouve» , a indiqué l’enseignante à la jeune fille. Cette dernière souhaite vivre un parcours collégial sans mathématique. 
«Même dans le profil sans mathématique, a rétorqué un autre enseignant. Il y a des maths! Les statistiques! Tu ne t’en sors pas!» 
Des rencontres éclairs enseignants-futurs élèves comme celle-ci, on en a dénombré des dizaines lors de notre visite. Bien sûr, les sciences humaines et de la nature semblaient avoir la cote, de par le nombre de visiteurs qui s’y sont présentés pour obtenir des informations, mais on faisait également la file afin de faire connaissance avec les nombreux clubs étudiants socioculturels, les équipes sportives des Nordiques et assister à des prestations des deux troupes de danse urbaine du collège. 
Une visite guidée générale de l’ensemble du collège était également au programme permettant de découvrir la bibliothèque dans une ambiance feutrée et musicale. 
<h3>Les technologues ont la cote</h3>
Près de 600 élèves intéressés par les programmes technologiques (Technologie du génie industriel, Technologie de systèmes ordinés, Technologie de l’électronique: Télécommunication et Techniques de l’informatique) ont par ailleurs poursuivi leur visite au Pavillon d’ordinique du collège où le Centre d’innovation en microélectronique du Québec (CIMEQ) tenait un kiosque à côté de l’entreprise boisbriannaise Kinova. On y parlait robotique, électronique et intelligence artificielle, des secteurs d’activité que l’on juge prometteurs. 
«Nous sommes heureux qu’autant de futures étudiantes et étudiants s’intéressent à notre institution en croissance, d’autant plus que nous sommes toujours à développer notre offre de programmes d’études. Cette soirée est une vitrine exceptionnelle sur notre milieu de vie, nos programmes d’études et tous les services que nous offrons pour assurer la réussite de nos étudiants» , de mentionner Michel Louis Beauchamp, directeur général du collège. 
Soulignons que les élèves qui n’auraient pas eu la chance de se présenter à la journée portes ouvertes du 13 novembre pourront se reprendre le 12 février, de 18 h à 20 h, alors qu’une soirée d’information aura lieu au collège. Ce sera là l’occasion d’arrêter son choix puisque la date limite pour la demande d’admission est le 1er mars.

Plus de 4 000 finissants visitent leur future école

Depuis le 21 octobre dernier, la nouvelle députée du Bloc québécois pour la circonscription de Thérèse-De Blainville, Louise Chabot, n’a pas tardée à être sur le terrain afin d’aller à la rencontre des citoyennes et citoyens, des organismes communautaires ainsi que des élus locaux.
Pour ce faire, les gares de train de Blainville et de Sainte-Thérèse furent parmi les endroits de prédilections. «La population est vraiment ravie de pouvoir rencontrer leur députée aussi tôt après une élection générale. L’accueil est très chaleureux de la part des citoyennes et citoyens et je les en remercie», exprime Louise Chabot.
La nouvelle députée assure qu’elle sera à l’écoute des élus locaux afin de travailler avec eux pour le bien commun de la population. «Je me suis entretenue, dit-elle, avec les élus de la circonscription afin de leur souligner que je suis enthousiaste de mettre la main à la pâte afin de collaborer dans leurs projets qui feront rayonner la région des Basses-Laurentides.»
Moins de 24 heures après son élection du 21 octobre dernier, madame Chabot était déjà installée dans la circonscription afin de pouvoir vivre au rythme de Thérèse-De Blainville. «J’ai déjà un appartement dans Thérèse-De Blainville et je vais en faire un devoir d’être présente ici pour vous. J’ai déjà adopté la région et j’ai bien hâte de vous croiser aux quatre coins de la circonscription», indique Louise Chabot.
Une rencontre a été organisée avec le député sortant Ramez Ayoub afin de faire la transmission des dossiers en cours. «Je tiens à remercier le député sortant Ramez Ayoub et son équipe pour leur professionnalisme dans la transmission des dossiers», souligne Louise Chabot.
En conclusion, madame Chabot tient à réitérer les priorités sur lesquelles elle entend mettre tout son énergie soit la mobilité, les services aux citoyens et la solidarité sociale.