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COVID-19: Le CISSS des Laurentides fait le point sur la situation

COVID-19: Le CISSS des Laurentides fait le point sur la situation

Publié le 16/12/2021

Le 6 décembre, le Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) des Laurentides faisait un compte rendu de la situation épidémiologique marquée par la 4ème vague.

« La pandémie n’est pas terminée, lance Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides. Il ne faut pas baisser la garde. La population doit continuer de surveiller la situation et de se plier aux consignes de la santé publique. »

Avec 674 cas actifs rapportés dans la semaine du 28 novembre au 4 décembre dans les Laurentides, le directeur de santé publique des Laurentides confirme que la 4ème vague est toujours bien active. « Malheureusement, la quatrième vague a repris de plus belle depuis la fin octobre dans notre région. C’est vraiment le nombre de cas le plus élevé depuis le début de la quatrième vague », déplore Dr Eric Goyer. Toutefois, M. Goyer constate qu’il n’y avait à ce jour aucun cas confirmé ou suspecté du variant Omicron dans les Laurentides.

Même si la majorité des cas confirmés chez les non-vaccinés sont des enfants de 0 à 11 ans, Alain Jutras, directeur responsable du dossier de la vaccination contre la COVID-19, mentionne que la situation chez les enfants va en s’améliorant. « Pour la vaccination chez les 5 à 11 ans, ça va très bien. En date du 6 décembre au matin nous étions à 29,8% de couverture chez ce groupe d’âge-là. Ça évolue rapidement et la campagne va très bien », indique-t-il.

Malgré les 76 éclosions actives dans la région dont la majorité touche le milieu scolaire primaire, elles ne semblent pas être alarmantes pour l’instant. En effet, ces éclosions sont principalement mineures et en date du 2 décembre, il n’y avait aucune éclosion active dans les centres hospitaliers des Laurentides. « C’est important de continuer à respecter les mesures sanitaires et de se faire vacciner si ce n’est pas déjà fait pour passer un temps des fêtes plus agréable que l’année dernière », rappelle Dr Goyer.