«Personne ne restera sur son appétit avec une programmation affichant une superbe sélection d’artistes internationaux qui partageront la scène avec quelques groupes québécois légendaires, sortis tout spécialement pour l’occasion, mentionnent les organisateurs du rassemblement, via communiqué de presse. Au cours des huit dernières années, le festival n’a cessé de croître et offre aujourd’hui une programmation digne des plus grands festivals au pays!»
Les convives auront la chance de danser au son du groupe américain Me First and the Gimme Gimmes, formé de membres des Foo Fighters et de Lagwagon. Ils reprendront ainsi plusieurs classiques musicaux des années 1970 à 1990.
Le groupe punk engagé Anti Flag enflammera les planches, alors que l’on pourra aussi compter sur le retour du populaire groupe de la Californie, Good Riddance, dont le nouvel opus sera lancé le 19 juillet 2020.
Le groupe québécois Subb fera également un retour sur scène inédit, afin de présenter ses classiques aux Thérésiens et nombreux festivaliers issus, pour plusieurs, de l’extérieur du territoire des Basses-Laurentides.
D’ici là, plusieurs surprises seront ajoutées à la programmation annoncée. Il suffit de visiter le site officiel du festival, pour en apprendre davantage : <a href="http://www.music4cancer.com/">http://www.music4cancer.com/</a>.
Une soirée fort animée!
Cela dit, en prévision de la soirée du vendredi 13 septembre, les billets seront vendus pour aussi peu que 25 $. Les gens pourront alors profiter de prestations de groupes québécois et émergents. Cette soirée se terminera en beauté, avec la présence de formations populaires d’ici, en Mononc’ Serge et Les Marmottes Aplaties.
«Pour permettre à plus de gens de découvrir le festival, nous ouvrons nos portes aux citoyens de Sainte-Thérèse, gratuitement cette année, pour la soirée du vendredi», d’annoncer un bénévole pour l’organisation Music 4 Cancer, Hugues Beauchamp.
«Une soirée remplie de surprises, avec bouffe de rue, des activités avec les anciens Canadiens de Montréal, en plus du désormais célèbre Ras-o-Thon. La totalité de ses profits est remise à la recherche sur le cancer. Tout ça, sous le son de groupes locaux et hommages, puisque notre mission est également d’encourager la relève musicale.»
En effet, une fois de plus cette année, Music 4 Cancer est fier de s’associer à la Société canadienne du cancer régions Laval/Laurentides, pour une édition toute spéciale du Rase-O-Thon M4C, au profit de la recherche sur cette terrible maladie. Plusieurs activations seront disponibles sur le site, où des dons pourront être effectués sur une base volontaire.
«Malgré le fait que nous ne jouissons d’aucune subvention gouvernementale, provinciale ou fédérale, nous nous tenons debout en présentant une grande fête de la musique alternative et punk, et ce, au profit de la Société canadienne du cancer, à qui nous avons remis plus de 30 000$ depuis la création du festival!», signale, en conclusion, M. Beauchamp.
Pour plus de renseignements, il est aussi possible de visiter la page Facebook officielle de Music 4 Cancer : <a href="https://www.facebook.com/music4cancer/">https://www.facebook.com/music4cancer/</a>.

Le samedi 21 septembre, elle reprendra ce manège sur la scène du Centre d’art La petite église, où le personnage réfléchira à voix haute tout au long d’un spectacle qui n’a toujours pas de nom. «C’est encore en rodage. On est dans la finition. C’est un peu comme avoir un bébé, image-t-elle. Je vais lui donner un nom quand il sera né.» 
<h3>Des moments étranges</h3>
Fait à noter, le premier spectacle solo de Maude Landry, Subtile, a été présenté en 2018, c’est-à-dire il y a tout juste un an, de telle sorte qu’on peut se demander si l’artiste est un sac à blagues sans fond ou si elle avait emmagasiné huit heures de matériel. La remarque la fait rire, mais elle indique tout de même que ce nouvel opus contient une vingtaine de minutes de numéros qui existaient déjà. Le reste demeure inédit. Elle y fait, comme toujours, des blagues basées sur l’observation du monde qui l’entoure et qu’elle tourne à l’absurde. Elle y aborde alors des sujets couvrant un spectre aussi large que les animaux et la mort.
«Il y a des moments étranges et je m’amuse avec ça» , ajoute l’humoriste qui se présente devant vous sans artifice (un tabouret, un micro… et une guitare, parce que oui, elle va chanter), avec cette dégaine dont on vous parlait plus haut, ce personnage un brin naïf, quoique très conscientisé et surtout très conscient.
<h3>De l’écriture à la scène</h3>
«On me dit souvent que j’ai un personnage, mais au fond, ça me ressemble beaucoup. Quand même, je ne suis pas toujours comme ça, parce que je serais vraiment «rushante» . Je fais des mots-croisés, du yoga et je promène mon chien. Je suis aussi très plate» , précise Maude Landry, qui a fait l’École nationale de l’humour en cours du soir, suivant une formation en création humoristique et en écriture de sitcom, ce qui ne veut pas nécessairement dire qu’elle ne se destinait pas à la scène. «J’avais d’abord un désir d’écriture, dit-elle. Mais quand j’ai fait de l’impro, j’ai réalisé que je voulais aussi faire de la scène.» 
Mais elle écrit toujours, Maude Landry. De l’humour, bien sûr, mais aussi des chroniques d’humeur et mêmes des nouvelles de science-fiction, l’un nourrissant toujours l’autre. «L’humour, c’est un autre moteur intellectuel. C’est une autre façon d’écrire. Mais j’aime beaucoup Stephen King, j’aime l’horreur. En écrire, ça fait sortir le méchant en moi. Après, je suis mieux disposée pour l’humour» , de dire celle qui écrit parfois sur le motif, au moment où elle observe une situation qui la fait rire, mais qui a toujours besoin d’une échéance fixe pour se mettre sérieusement au travail, ce qui veut dire fignoler, peaufiner, rythmer. «C’est un peu comme écrire une chanson, dit-elle. L’intonation, l’ordre des mots, des phrases, ça peut faire toute la différence. J’essaie donc d’être très précise à ce niveau-là, mais toujours, il faut que ça ait l’air naturel.» 
<h3>Le pur et l’inexplicable</h3>
Du spectacle de l’an dernier, elle a aussi retenu la nécessité de focaliser sur le moment présent. «Tu as beau te penser prête, exprime Maude Landry, tu ne sais jamais comment le public va réagir, d’un soir ou d’une salle à l’autre. J’ai une feuille de route, mais je ne la suis pas toujours. Je m’adapte au public et à l’ambiance. Toujours, il faut être présent. Sinon, on ne fait que réciter un texte.» 
Déjà, toute petite, Maude Landry était curieuse et avait une grande soif d’apprendre, mais l’humour, dira-t-elle, venait toujours chercher en elle quelque chose de pur et d’inexplicable. «Ça s’apprend, mais chaque humoriste est unique. Évidemment, j’ai consommé du Marc Labrèche, du Bruno Blanchet, les Simpsons et tout ce que la télé offrait en humour» , dit-elle en pointant tout ce qui l’inspire et en observant qu’un terme relie tout ça: l’absurde. «Le non-sens, ça me fait capoter» , dit-elle.
Pour assister au spectacle de Maude Landry, passez d’abord au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.lapetiteeglise.com" target="_blank" rel="noopener">http://www.lapetiteeglise.com</a>].

Maude Landry et la quête du non-sens

L&#8217;automne est à nos portes, voici les titres à venir qui raviront les spectateurs au grand écran.
Basée sur le récit de Stephen King, la suite de Ça (Jessica Chastain, James McAvoy, Bill Skarsgård, Bill Hader, James Ransone, Isaiah Mustafa, Jay Ryan et Xavier Dolan) est d’abord arrivée en salle le 6 septembre dernier.
Jennifer Lopez revient dans le drame Arnaque en talons la semaine suivante, alors qu&#8217;avec ses collègues d&#8217;un club pour adultes, elles escroquent des clients travaillant à Wall Street.
Le 20 septembre, choisirez-vous le long métrage inspiré de la série télévisée Downton Abbey, Sylvester Stallone revisitant son personnage emblématique avec Rambo: La dernière mission ou Brad Pitt s’envolant Vers les étoiles à la recherche de son père (Tommy Lee Jones)?
Et les mois suivants…
Puis, à compter du 4 octobre, découvrez les origines du «Joker», l&#8217;ennemi juré de Batman, sous les traits de Joaquin Phoenix.
Dès le 11 octobre, La famille Addams vivra des aventures macabres tout en animation. Si vous aimez Will Smith, vous préférerez peut-être L&#8217;homme Gémeau, puisqu&#8217;il confrontera son clone plus jeune.
La distribution originale (Emma Stone, Woody Harrelson, Abigail Breslin et Jesse Eisenberg) est de retour dans la comédie d&#8217;épouvante Zombieland: Le doublé, dès le 18 octobre, en affrontant des morts vivants évolués. À ce moment, Angelina Jolie incarnera encore une fois Maléfique, au côté de Elle Fanning (Princess Aurore) pour un second volet.
Dès le 1er novembre, Arnold Schwarzenegger, accompagné de Linda Hamilton, qui était également des deux premiers opus, seront les vedettes de Terminator: Sombre destin.
Le 15 du même mois, vous aurez la chance de revoir l&#8217;équipe de Charlie&#8217;s Angels (Kristen Stewart, Naomi Scott et Ella Balinska) lors de la refonte de l&#8217;émission des années 1970.
À peine sept jours auront passé qu&#8217;on retrouvera Elsa, Anna, Kristoff, Olaf et Sven au cœur des nouvelles péripéties de La reine des neiges 2.
Le 13 décembre, Jumanji: Le prochain niveau sera l&#8217;occasion pour Dwayne Johnson, Karen Gillan, Jack Black et Kevin Hart de reprendre leurs rôles respectifs.
Finalement, la saison se terminera dans une galaxie très lointaine concluant l&#8217;histoire de Rey (Daisy Ridley), Finn (John Boyega) et Kylo Ren (Adam Driver) au sein de Star Wars: L&#8217;ascension de Skywalker.
La semaine prochaine, il sera question du film Arnaque en talons.
D’ici là, découvrez le site [<a href="http://cine-techno.com">http://cine-techno.com</a>] afin de consulter les critiques cinéma, jeux vidéo et technologiques.

9e édition du festival Music 4 Cancer: Une programmation digne des ligues majeures!