Dévoilement des gagnants 
Lors du vernissage tenu le 11 mars, le juge Denis Germain, photographe de renom, a dévoilé le nom des gagnants de la quatrième exposition en noir et blanc du Club photo Blainville. Ainsi, le prix Or a été remis à Claude-André Fortin (Sèche tes pleurs – Daniel Bélanger) tandis que les prix Argent et Bronze ont été octroyés à Nicole Lefrançois (La balade des cimetières – Georges Brassens) et à Chantal Moreau (Les poètes – Léo Ferré). De plus, deux mentions d’honneur ont été décernées aux photographes Michelle Hardy (Petite fleur – Henri Salvador) et Marie-France Falardeau (Le frigidaire – Tex Lecor).
Les membres de l’association prenant part à cette exposition collective sont: Aurélie Archambault (hors concours), Marc Archambault, Stéphane Barbeau, Yanik Bergeron, Claude Dumas, Iulian Duta, Marie-France Falardeau, Claude-André Fortin, Michelle Hardy, Louise Jolicoeur, Isabelle Lafleur, Martine Landry, Nicole Lefrançois, Chantal Moreau, Hector Gil Mozos, Diane Ouellet, Guy Plante, Normand Savage, Sithra Saint-Hilaire, Claude Théorêt, Gisèle Théorêt et Nathalie Thivierge.
Horaire de l’exposition : 
Du mercredi au dimanche, de 13 h à 17 h. Des visites scolaires et de groupes sont offertes sur rendez-vous. Renseignements: [clubphotoblainville.com].

Club photo Blainville : exposition en noir et blanc «Musique francophone»

Il faut dire que Séguin n’a pas lésiné sur la qualité des artistes qu’il avait invités à partager la scène avec lui : Luce Dufault, Patrice Michaud, Vincent Vallières, Amylie et Debbie Lynch-White. Il a eu raison: le rendez-vous musical s’est transformé en événement grandiose.
Frédéric Lapierre, de l’équipe d’Odyscène, indiquait que le nom de Richard Séguin avait été choisi à l’unanimité par tous ses collègues. L’équipe a eu du flair. Et le principal intéressé paraissait heureux que son nom soit sorti du chapeau, lui qui n’était pas monté sur scène depuis trois ans, le temps de concocter un nouvel opus qui sortira sous peu.
Dufault et les autres 
D’entrée de jeu, l’artiste a entamé la soirée avec deux chansons, invitant Luce Dufault à partager avec lui un beau moment intimiste sur les douces notes de Belle Ancolie. Tout de suite la magie opère. Ces deux artistes, qui sont aussi des amis, vivent sur scène une belle symbiose artistique qui se traduit par une interprétation harmonieuse.
L’ancienne choriste devenue artiste à part entière rappelle à chacune de ses interprétations que sa voix puissante ne pouvait demeurer dans l’ombre des autres. Cela s’entend avec Des milliards de choses, mais aussi sur toutes les chansons qu’elle a choisi d’offrir au public réuni dans la salle pour cette grande fête.
Chacun des artistes présents y est d’ailleurs allé de sa petite anecdote personnelle pour souligner cet anniversaire spécial. L’organisateur a eu la main heureuse en conviant Patrice Michaud à se joindre à la troupe d’un soir. Son humour subtil, qui se révèle suave et truculent, comme la simplicité du propos, ont fait mouche.
L’artiste de Cap-Chat a sorti de son jeune répertoire Je coure après Marie ainsi que Cahiers Canada avant de laisser la scène à Vincent Vallières, visiblement content d’être du nombre des invités de Séguin. Avec Vallières, parolier et compositeur plutôt doué, Le temps passe et si vite qu’on aurait aimé le retenir plus longuement sur scène.
«Elle a l’âme électrique», avait prévenu Richard Séguin, après avoir interprété Sous les cheminées, l’un de ses grands succès des 20 dernières années. Il parlait bien sûr d’Amylie, la chanteuse au style électro-folk. Guitare en bandoulière, la gente demoiselle s’est fait un plaisir d’interpréter entre autres sa chanson Les filles.
La dernière invitée a toutefois été le clou de la soirée. Qui aurait pu soupçonner la puissante et chaude voix de l’exécrable gardienne d’Unité 9 ? Samedi soir, Debbie Lynch-White ne jouait pas, elle vibrait de passion. Elle a offert une interprétation de Imparfait, de Daniel Bélanger, plus que parfaite. Extraordinaire.
La soirée s’est terminée par un blitz de chansons interprétées par tous les artistes réunis. Avec ses deux rappels, les organisateurs peuvent déjà qualifier l’événement de succès incontestable.

Odyscène: la Carte blanche magique de Richard Séguin

Dans le cadre intimiste de la Maison Lachaîne située au 37, rue Blainville Ouest à Sainte-Thérèse, Jean Deschênes, directeur artistique de la Société de musique viennoise du Québec, vous convie à un voyage musical printanier à Vienne le dimanche 10 avril, à 14 h 40. Au programme, la typique musique viennoise dite “Schrammel” jouée sur l’instrumentation originelle avec Brigitte Lefebvre et Solange Bellemare au violon, Anne Lauzon à la clarinette et à l’accordéon Schrammel ainsi que Jean Deschênes à la contreguitare viennoise.  Le concert sera suivi d’une conférence portant sur un des aspects touristiques de Vienne où vins et fromages autrichiens vous seront servis en compagnie de nos artistes.
Coût: 40 $. Réservation : 450 419-8829 ou [musillu@globetrotter.net]. Renseignements: [www.viennamontreal.ca].

Voyage musical printanier à Vienne