Âgé de 81 ans, l’artiste peintre Samir Kachami a droit, depuis quelques jours déjà (le vernissage a eu lieu le 7 décembre dernier), à une ultime exposition hommage, et cela jusqu’au 25 février prochain, au Centre d’art La petite église, à Saint-Eustache, où une quarantaine de ses œuvres sont accrochées sur les murs de l’ancienne église anglicane devenue salle de spectacle. 
Cette exposition, c’est l’idée du fils aîné de Samir Kachami, Joseph. Celui-ci souhaite que l’événement soit l’occasion de rendre hommage à son père, atteint depuis une vingtaine d’années de la maladie de Parkinson. 
Hommage mérité, car, il faut le dire, Samir Kachami est une figure bien connue du milieu artistique eustachois et de la région des Basses-Laurentides. Enseignant en arts plastiques à la polyvalente Deux-Montagnes (PDM) de 1968 à 1997, il a initié, et cela jusqu’en 2011, pas moins de 6 000 élèves à l’art pictural à son atelier qu’il a ouvert en 1981 au 34, rue Saint-Eustache, un lieu appelé aussi la Galerie d’art Souffle de création. Un atelier de création, nommé Le 34 Galerie/Ateliers, loge aujourd’hui à cette même adresse, où d’ailleurs le diplômé de l’École des Beaux-Arts de Montréal a eu l’occasion d’exposer en 2013. 
En plus d’enseigner le dessin et la peinture aux enfants et aux adultes du coin pendant plus de 30 ans, Samir Kachami a exposé des dizaines de fois dans la région, au Québec et en France. Au fil des ans, ses œuvres sont apparues régulièrement dans la revue Magazin’art et il a mérité plusieurs fois une place dans le Répertoire biennal des artistes canadiens en galeries de Magazin’art. Louis Bruens, un historien d’art qui a présidé l’Académie internationale des Beaux-Arts du Québec de 2005 à 2013, lui a aussi consacré une place dans trois de ses livres. 
<h3>Soutien à deux causes</h3>
Ce sont donc une quarantaine des œuvres de Samir Kachami, dont certaines abstraites plus récentes, peintes pour la plupart en fin de carrière, qu’il est possible de découvrir les jours où la salle du Centre d’art La petite église sera ouverte au public pour des spectacles ou autres activités. C’est aussi l’occasion de revisiter ou d’acquérir des œuvres issues de l’univers unique que Samir Kachami a peaufiné et illustré au fil des ans. 
Aussi, selon les désirs de Samir et de la famille, de préciser Joseph Kachami, une partie des profits de la vente des tableaux sera remise à l’organisme Parkinson Québec pour la recherche sur la maladie dont l’artiste peintre est atteint depuis une vingtaine d’années. Il en sera aussi ainsi à la Fondation de la polyvalente Deux-Montagnes, où il a enseigné tout au long de sa carrière. 
Une belle occasion donc de soutenir deux bonnes causes, mais aussi d’admirer une autre fois le travail du réputé artiste peintre Samir Kachami.

Une exposition hommage consacrée à l’artiste peintre Samir Kachami

Max est traiteur depuis trente ans. Des fêtes il en a organisé des centaines, il est même un peu au bout du parcours. Aujourd&#8217;hui c&#8217;est un sublime mariage dans un château du 17e siècle. Comme d&#8217;habitude, Max a tout coordonné, mais la loi des séries va venir bouleverser un planning sur le fil où chaque moment de bonheur et d&#8217;émotion risque de se transformer en désastre ou en chaos. «Une œuvre énergique destinée à la détente des spectateurs sans pour autant oublier la réalité, un cocktail de bienveillance, d’humour et d’ironie.» (Virginie Morisson, àVoir-àLire)
La saison se poursuivra le 31 janvier, avec Crise RH, de Nicolas Silhol, présenté à la salle Pierre Legault.
Billets et ciné-cartes en vente en tout temps à la billetterie du Cabaret BMO Sainte-Thérèse et à la Librairie Carcajou. Renseignements: 450 434-4006. Ciné-Groulx est rendu possible grâce au soutien financier de la SODEC.

Le sens de la fête présenté à Ciné-Groulx le 23 février

Le premier épisode de Danser pour gagner sera présenté au petit écran québécois dès le 24 janvier et notre région aura droit à sa propre délégation, puisqu’une troupe de danse de Mirabel a été sélectionnée parmi la douzaine d’équipes sortantes des auditions. Ces jeunes, âgés de 13 à 19 ans, ont accepté de rencontrer un journaliste de votre hebdomadaire pour discuter de cette opportunité et d’une expérience à la fois enrichissante et exigeante. 
La «Team Unified» sortait tout juste d’une séance d’entraînement au moment de l’entrevue. Assis en groupe, à leur studio de danse situé dans le secteur mirabellois, ils racontaient leur histoire. 
«Tout a commencé avec une grosse compétition internationale au Panama. On s’est inscrits, nous étions neuf danseurs et nous avons terminé à deuxième place. Nous avons eu quelques contrats par la suite. Nous avons dansé au Stade olympique et lors de la Nuit des sans-abri. Par la suite, nous avons eu l’invitation pour participer aux auditions de Danser pour gagner, de mentionner l’un d’eux. Pour la première audition, il fallait envoyer une démo. Nous avons envoyé notre vidéo du Panama et ils nous ont choisis. Par la suite, il fallait présenter la chorégraphie de la même vidéo en vrai devant les juges à Montréal. Nous avons passé la deuxième étape et la journée même, ils nous ont envoyé un courriel pour nous dire que nous avions 24 heures pour présenter une chorégraphie sur leur musique, afin de leur présenter un numéro le lendemain. On s’est entraînés fort et nous avons présenté le numéro comme promis, toujours à Montréal. Une semaine après, on nous annonçait qu’on était choisis pour participer à l’émission!» 
<h3>S’entraîner fort!</h3>
Des dires des participants, l’entraînement touche un bon nombre de détails importants. Il s’agit d’un travail d’équipe qui se doit d’être productif et efficace. On doit être prêts pour la grande première et les nombreux défis posés en cours de route par les animateurs. 
«Les pratiques que nous faisons présentement se concentrent sur ce qui nous sera utile pour l’émission. Il faudra s’adapter à la musique, aux techniques, aux thèmes et aux styles demandés par exemple. Nous pratiquons une diversité de mouvements et nous faisons beaucoup d’entraînement physique, car ce sera de longues journées!» mentionne l’un d’entre eux. 
À noter que l’équipe est l’une des plus jeunes à être conviée à l’émission, si on se fie à sa moyenne d’âge. Un membre est âgé de 13 ans, étant une fille, soit la plus jeune participante. Selon le père de l’un des danseurs, certaines personnes invitées aux auditions «ont plus d’années d’expérience en danse que les enfants ont d’années de vie» . Il s’agit déjà d’un exploit d’être choisi parmi ces douze formations qui seront en vedette à la télévision, et ce, devant des milliers de spectateurs de toute la province. 
Le public aura donc la chance de voir cette troupe à l’œuvre le 24 janvier 2018, dès 19 h 30, sur les ondes de V Télé. Il sera toujours possible de voter pour ces jeunes qui souhaitent se rendre le plus loin possible et vivre pleinement cette expérience unique. 
Pour les suivre: [<a href="https://m.facebook.com/teamunified.unifiedmovement/" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">https://m.facebook.com/teamunified.unifiedmovement/</a>].
Enfin, pour plus d’informations concernant le studio de danse mirabellois, Unified Movement, il suffit de visiter le [<a href="https://www.studiounifiedmovement.com" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">https://www.studiounifiedmovement.com</a>].