Toutefois, c’est en 1973 que l’entreprise prendra un nouveau vocable et deviendra J.P Lauzon et fils puisque le fils de Jean-Pierre, Ronald, s’associera avec lui. Puis, quelques décennies plus tard, l’entreprise familiale verra un nouveau joueur joindre ses rangs en la personne de Stéphane Lauzon, fils de Ronald. En poste depuis 2007, il se plait à raconter l’évolution de l’entreprise.
«À l’époque de mon grand-père, chaque contre-porte et contre-fenêtre étaient en aluminium et les portes et fenêtres en bois. Elles étaient vissées dans le cadre extérieur et arboraient le style guillotine. Les revêtements, eux, étaient en acier importé de l’Angleterre», relate-t-il.
L’entreprise qui a pignon sur rue au 1221, boulevard Curé-Labelle à Blainville, célèbre ses 60 ans d’existence. Autant d’années qui auront vu passer bien des tendances.
«Lorsque Ronald, mon père, a commencé à travailler, la saveur du jour était aux revêtements d’aluminium, et ce, avant l’arrivée des fenêtres en aluminium et en PVC. Puis, dans les années 1990, la mode était aux revêtements en vinyle. Aujourd’hui, le revêtement extérieur pour les maisons urbaines contemporaines s’appelle CanExel. Ce sont des produits qui ont fait leur preuve.»
Si les tendances ont cette particularité de ne pas durer dans le temps, d’autres, par contre, n’ont pas été altérées avec les années.
«Depuis les tous débuts, le respect de notre clientèle et le service après-vente sont restés identiques ; nous sommes restés inchangés avec les années. La réputation que l’on a, dans notre façon de faire, perdure.»
Un partenaire impliqué 
L’implication de l’entreprise J.P.Lauzon et fils ne s’arrête pas uniquement à une offre de services auprès de la population. Celle-ci est un partenaire important auprès de plusieurs organismes de la région puisqu’elle contribue financièrement à la viabilité de ces derniers. D’ailleurs, cette année, elle auras remis deux chèques de 5 000 $ au Club d’athlétisme Corsaire-Chaparal et à l’organisme Le Petit Peuple.
«Jean-Guy Lauzon, le frère de mon père, s’est engagé pendant 30 ans au Club d’athlétisme Corsaire-Chaparal, et c’est une façon, pour nous, de souligner cette implication, de préciser Stéphane Lauzon. Oui, nous donnons régulièrement et cette année, ce sont deux dons majeurs qui seront remis afin de souligner les 60 ans de l’entreprise J.P.Lauzon», de conclure ce dernier.

Le paiement pour acquérir l’immeuble repose sur deux actions : le produit du placement privé complété récemment par le FPI et le financement hypothécaire de 4 745 000 $ consenti par Desjardins.
À noter que la transaction a été effectuée par l&#8217;équipe montréalaise de Jones Lang Lasalle, courtiers immobiliers.
«À pareil date l&#8217;an dernier, FPI Nobel était propriétaire de deux immeubles de placement, acquis pour la somme de 14 650 000 $ lors de son Opération Admissible; nous sommes maintenant aux portes des 100 000 000 $ d&#8217;actifs immobiliers, avec quinze immeubles acquis pour un total de 92 900 000 $, excluant les coûts d&#8217;acquisition. Nous sommes très fiers d&#8217;avoir pu réaliser une telle progression au cours de la dernière année», a souligné, par voie de communiqué, Jean Teasdale, président et chef de la direction de FPI Nobel.
Fonds de placement immobilier Nobel
Selon le site Internet de la firme, le FPI Nobel est une fiducie de placement immobilier en plein essor axée sur l&#8217;acquisition, la possession et la gestion d&#8217;un portefeuille d&#8217;immeubles commerciaux générateurs de revenus stables dans la province de Québec.
Le FPI Nobel est une fiducie de placement immobilier à capital variable, constituée en vertu des lois du Québec et régie par elles, conformément à sa déclaration de fiducie.
Le FPI Nobel est administré par des professionnels du domaine de l&#8217;immobilier qui ont fait leurs preuves en matière de création de valeur.

FPI Nobel: le 955, boulevard Michèle-Bohec est acheté

«Ce fut vraiment un franc succès, a raconté sa maman, Évelyn Léger. Il a écoulé toute sa production. À 15 h, nous avions tout vendu. Il a adoré son expérience.»
Benjamin a beaucoup appris de cette aventure entrepreneuriale d’un jour, lui qui, peu de temps avant, avait notamment pris l’initiative de cogner à toutes les portes des maisons de son quartier pour distribuer sa carte d’affaires dans l’espoir d’attirer le plus de gens possibles.
«Une expérience des plus enrichissantes, a ajouté Mme Léger. Il a acquis de nombreuses connaissances en peu de temps et à un si jeune âge. Il nous a tous bien impressionnés.»
Dans le cadre de cet événement, Benjamin aura donc appris à réaliser un plan d&#8217;affaires, à s’exprimer devant les gens, acheter ses produits, les confectionner et les vendre, des tâches d’envergure pour un petit bonhomme âgé d’à peine cinq ans.
«En tant que parents, a renchéri Mme Léger, nous trouvons important de lui faire prendre conscience qu&#8217;avec de la créativité, de la confiance en lui et beaucoup de travail, il peut faire de grandes choses. Avec les derniers jours que nous avons passés, nous pouvons dire que c’est mission accomplie.»
Deux milliers de petits entrepreneurs
On estime à près de 2 000, le nombre d’enfants de 5 à 12 ans de partout dans la province qui, comme Benjamin, ont pris d’assaut la cour avant de leur résidence pour vivre une première expérience d’entrepreneuriat.
«Développer l’envie d’entreprendre, chez les enfants, c’est une opportunité de développer leur créativité, leur sens des responsabilité, leur autonomie et leur confiance en eux», a indiqué l’un des coprésidents d’honneur de cette 2e édition, le Dragon Alexandre Taillefer, associé principal chez XPND Capital.
Fondateurs de la Grande journée des petits entrepreneurs qui a vu le jour l’été dernier dans la région de Québec avant de s’étendre à l’ensemble de la province pour la 2e édition, Mathieu Ouellet, Isabelle Genest et Me Catherine Morissette se sont réjouis du succès remporté en remerciant tout particulièrement les milliers de jeunes qui y ont participé.
«Le comité organisateur, les partenaires et les bénévoles souhaitent vous féliciter pour votre créativité, votre audace et votre leadership. On vous surnomme les &#8220;petits entrepreneurs&#8221;, mais sachez que vous faites maintenant partie de la grande famille des entrepreneurs», pouvait-on lire sur la page Facebook de l’événement, au lendemain de celui-ci.

J.P Lauzon et fils: une entreprise familiale qui a 60 ans