Initiée par les commerçants impliqués au sein de l’Aile Sainte-Thérèse et développée en étroite collaboration avec Bras Gauche agence créative et Hypnose communications pour la conception graphique, la campagne «&nbsp;<a href="http://www.onla.ca" target="_blank" rel="noreferrer noopener">On l’a à Ste-Thé</a>&nbsp;» générera des occasions de faire connaître les entreprises du territoire auprès de la population de Sainte-Thérèse pour stimuler et encourager la consommation locale.



« Nous voulons démontrer l’incroyable diversité quant à l’offre disponible en matière de produits et services proposée par les commerces et entreprises de Sainte-Thérèse tout en prouvant aux consommateurs qu’ils ont tout ici même à Sainte-Thérèse pour combler leurs besoins. De plus, cette offensive publicitaire, dynamique et différente des précédentes, mise sur l’usage de l’expression familière « Ste-Thé », adoptée par des personnes de tous les âges. L’objectif est de faire valoir le fort sentiment d’appartenance qu’ont les gens d’ici envers leur ville de résidence et les commerces de proximité », mentionne Natacha Brisson, présidente de l’Aile Sainte-Thérèse.

Visuel de la campagne "On l'a à Ste-Thé"

Le Regroupement des chambres de commerce des Laurentides (RCCL) souhaite comprendre les enjeux des gestionnaires des PME et avoir une meilleure compréhension de l’état de santé mentale de ceux-ci, des causes et de leurs manifestations.



C’est dans cet objectif que le RCCL met sur pied le projet Cap sur la santé mentale des gestionnaires grâce à l’appui financier du Conseil emploi métropole. Avec les résultats obtenus, les chambres de commerce pourront mieux accompagner les gestionnaires en matière de prévention et de recherche de solutions.



Le projet se découpera en plusieurs étapes : le questionnaire, la diffusion des résultats, la sensibilisation, et la création d’un réseau d’ambassadeurs.



<h2>Jusqu&#8217;au 15 octobre pour participer</h2>



La collecte de données est présentement en cours jusqu’au 15 octobre. Un minimum de 200 répondants est souhaité afin d’obtenir des données probantes afin de rédiger un rapport crédible pouvant soutenir la mise en place d’outils et de services pour répondre aux enjeux ciblés par l’étude. Le questionnaire s’adresse aux gestionnaires des PME des Laurentides, de tous secteurs d’activité. <a href="https://api.legerweb.com/capsantementalequestionnaire" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Pour participer à l’étude, cliquez ici &gt;</a>



<h2>Six gestionnaires témoignent</h2>



Pour sensibiliser davantage sur les enjeux liés à la santé mentale, le RCCL a fait appel à six gestionnaires qui ont été confrontés à cette réalité. Jean-François Bertrand Gauthier, Geneviève Éthier, Valérie Terrault, Chantale Germain, Marina Dubois et Marie-Chantale Desjardins ont ainsi accepté de <a href="https://capsantementale.com/#ambassadeurs" target="_blank" rel="noreferrer noopener">partager leur histoire</a>.



Les gestionnaires sont invités à partager cette étude à leurs collègues afin de contribuer à la sensibilisation du plus grand nombre d’individus au sein de la communauté d’affaires laurentienne.

Santé mentale : les gestionnaires de PME sondés

Un mois après l’ouverture d’une succursale en Montérégie, c’est maintenant à Boisbriand que la multinationale L.L Bean fait son entrée. Dès vendredi, il sera possible d’aller s’y procurer des vêtements et de l’équipement de plein air.



Fondée dans le Maine en 1912, l’entreprise compte maintenant près d’une centaine de magasins, dont une dizaine au Canada. Mais, jusqu’en août dernier, elle n’était toujours pas présente au Québec, hormis sur son site web. Charlie Bruder, vice-président international et commerce de détail, se dit optimiste du succès de L.L. Bean dans la province et excité qu’elle joigne la communauté.



<h2>« Sols fertiles »</h2>



« On voit ces sites avec beaucoup de compétiteurs comme des sols fertiles, illustre Charlie Bruder à propos des emplacements choisis. On voit beaucoup d’amateurs de plein-air dans ces régions, aussi. On pense que, avec la marque qu’offre L.L. Bean, notre héritage et la qualité de nos produits, on pourra très bien réussir à ces endroits. »



Boisbriand n’est pas tombé au hasard, selon le vice-président, puisque c’est dans une ville laurentienne comme celle-ci que l’entreprise pourra trouver le plus de passionnés d’activités extérieures, en plein dans la saison forte de son marché.



« Un des avantages de venir du Maine, c’est que nous partageons un climat, un amour du dehors et une appréciation de la nature. Je pense que ces choses traversent les frontières. »



Charlie Bruder se dit ouvert à explorer l’ouverture d’autres magasins au Québec dans les années à venir.

Nouvelle campagne de visibilité pour les entreprises de Sainte-Thérèse