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Un Nouveau Réseau De Gens D’affaires établit Un Record Canadien

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Un Nouveau Réseau De Gens D’affaires établit Un Record Canadien

Un nouveau réseau de gens d’affaires établit un record canadien

Publié le 30/01/2018

Lancé sous l’impulsion de l’homme d’affaires Ray Junior Courtemanche, le réseau d’affaires BNI (Business Network International), section Cité de Mirabel, a déjà recruté 43 membres, établissant ainsi un record canadien, soit celui de détenir le plus de membres BNI engagés, avant son lancement.

Lancé sous l’impulsion de l’homme d’affaires Ray Junior Courtemanche, le réseau d’affaires BNI (Business Network International), section Cité de Mirabel, a déjà recruté 43 membres, établissant ainsi un record canadien, soit celui de détenir le plus de membres BNI engagés, avant son lancement.

Jeudi, sur le coup de 6 h 30, il fallait être présent au Club de golf Les Quatre Domaines de Mirabel pour constater à quel point la création de ce nouveau regroupement de gens d’affaires suscite la curiosité, et l’engouement. Ils étaient en effet plus de 160 entrepreneurs de la région à assister à cette rencontre marquant le lancement officiel de BNI à Mirabel.

«J’ai assisté à une rencontre BNI à Laval, j’ai adoré l’expérience et me suis dit qu’il était possible de faire la même chose à La Cité de Mirabel. J’ai donc contacté les responsables de BNI qui m’ont mis en contact avec les bonnes personnes» , a mentionné M. Courtemanche pour expliquer qu’il se soit lancé dans ce projet. Et aujourd’hui, il ne le regrette pas.

«Les entrepreneurs qui se retrouvent autour de la table, nos membres, sont des entrepreneurs de qualité qui croient au développement de leurs entreprises respectives. Je suis vraiment choyé et fier de les avoir avec nous» , a ajouté M. Courtemanche, fervent admirateur du modèle mis de l’avant par BNI pour faciliter le réseautage.

Une rencontre par semaine

Contrairement à la plupart des regroupements de gens d’affaires, BNI a la particularité d’obliger ses membres à se présenter chaque semaine à une rencontre d’une durée d’une heure et demie. S’ils ne peuvent être présents, ils doivent y dépêcher un représentant, sans quoi, ils risquent l’expulsion.

«Contrairement à d’autres réseaux où les membres ne se voient que quelques fois par année, lors d’un tournoi de golf par exemple, les nôtres se voient chaque semaine, de dire Ray Junior Courtemanche. De cette façon, poursuit-il, ils ne risquent pas de s’oublier lorsque viendra le moment pour eux de faire des affaires ou de se référer.»

Quant à l’heure des rencontres, qui ont lieu à 7 heures le matin, ce qui pourrait en décourager plus d’un, M. Courtemanche estime que «pour avoir du succès en affaires et développer ton entreprise, tu n’as pas le choix de te lever tôt!» .

Triés sur le volet

Les entrepreneurs qui souhaitent être admis comme membres au sein du réseau BNI doivent avoir un dossier sans tache.

«Nous vérifions le crédit de nos membres potentiels. S’ils ont déjà fait faillite, ils ne peuvent faire partie du réseau BNI. On s’assure ainsi que nos membres n’aient pas de risques d’avoir mauvaise presse» , a indiqué Ray Junior Courtemanche, avant d’ajouter qu’ils doivent également être parrainés par l’un des membres actifs et opérer dans un secteur d’activité qui ne vient pas en conflit avec un autre membre.

Soulignons qu’en 2014, les 170 000 membres de BNI à travers le monde ont échangé entre eux plus de 6,6 millions de recommandations qui ont généré un chiffre d’affaires de plus de 8,6 milliards de dollars. Depuis 1985, année de la création de BNI en Californie, les recommandations échangées au sein de BNI ont été la source d’un chiffre d’affaires mondial de 42 milliards de dollars. BNI regroupe plus de 227 000 membres répartis dans plus de 8 211 groupes à travers le monde.