(C. D.) — «J’ai commencé à écrire à 64 ans et je compte continuer en ce sens. C’est un plaisir de tous les instants» , exprime Martine Coffre-Miron qui vient de lancer un premier roman intitulé Katia et Jacques, à l’aube du crépuscule.
Dans cet ouvrage de 208 pages, cette résidente d’Oka propose un récit psychologique campé dans les Laurentides, en 1985. Elle y décrit les rapports entre Katia et Jacques, leur fille unique, Aimy, et le frère aîné de Jacques, Edmond, atteint du trouble de l’autisme et qui vit en France avec ses parents.
L’auteure dit alors s’être inspirée de certains événements de sa propre vie, elle qui a quitté sa Normandie natale en 1954, en compagnie de sa mère et de sa jeune sœur. Après avoir travaillé de nombreuses années au service de comptabilité d’un magasin de chaussures haut de gamme, elle a pris sa retraite pour se cultiver une passion de longue date: l’écriture, un art qu’elle pratiquait auparavant pour elle-même et qu’elle a désormais envie de partager.
Les auteurs dans la Vallée
Vous pourrez d’ailleurs la rencontrer le 14 juillet à Saint-Sauveur, dans le cadre de l’événement Les auteurs dans la Vallée, orchestré par l’Association des auteurs des Laurentides.
Son livre est également en vente via la Librairie en ligne BouquinBec, une entreprise qui offre un service d’accompagnement aux auteurs qui souhaitent publier leurs livres de façon autonome. À noter que Martine Coffre-Miron entend verser 20 % de tous les profits générés par la vente de son livre à l’Association Polio Québec.
MOTS-CLÉS
Oka
Martine Coffre-Miron
premier roman