L’événement, organisé en collaboration avec Laflamme Concept ainsi que la boutique Les Délices à Nancy, deux entreprises anneplanoises, vise à amasser de l’argent en vue d’assurer la pérennité de l’organisme communautaire.



« Nous prévoyons faire salle comble avec plus de 400 personnes pour cette année. C&#8217;est la plus grosse campagne de financement jamais organisée par la Maison des jeunes de Sainte-Anne-des-Plaines », indique Samuel Delorme, directeur de la Maison des jeunes.



<h2>Humour et pizza, une recette gagnante</h2>



Pour cette soirée festive qui débute à 17 h, les convives pourront profiter d’un repas de pizzas cuites au four à bois, servies à volonté, accompagné d’une boisson alcoolisée ainsi que d’un dessert. Le billet, au tarif de 75 $, est vendu directement à la Maison des jeunes ou en ligne. Ce billet inclut non seulement le repas, mais aussi le spectacle de l’humoriste François Bellefeuille.



Pour ceux qui préféreraient simplement assister au spectacle, un billet d&#8217;entrée au tarif de 45 $ est aussi disponible. Par ailleurs, les groupes de plus de huit personnes pourront bénéficier d&#8217;une réduction de 5 $ par personne sur une entrée comprenant le souper et le spectacle.



Pour obtenir de plus amples informations, la Maison des jeunes vous invite à téléphoner au 450 478-1011 ou à visiter sa <a href="http://facebook.com/mdjsadpadulte" target="_blank" rel="noreferrer noopener">page Facebook</a>.



<h2>Au service des jeunes anneplainois</h2>



La Maison des jeunes de Sainte-Anne-des-Plaines représente bien plus qu&#8217;un simple lieu de rencontre pour les adolescents de la localité. Cet organisme leur offre l&#8217;opportunité de vivre des expériences enrichissantes tout en cultivant leur sens des responsabilités, leur respect envers autrui, envers eux-mêmes et leur esprit d&#8217;entraide.



De plus, des intervenants mettent à leur disposition un service confidentiel et anonyme qui englobe l&#8217;écoute, l&#8217;orientation, la prévention, l&#8217;accompagnement, l&#8217;intervention, la diffusion d&#8217;informations et une aide aux devoirs complète.



L&#8217;objectif premier de la MDJ est donc d&#8217;accompagner les jeunes dans le développement des compétences essentielles leur permettant de faire face aux diverses réalités de la vie.







Simon Martel

Centraide Laurentides a annoncé la nomination de Dominique Deschênes-Lambert au poste de directrice générale le 12 septembre dernier. Précédemment directrice du développement des collectivités de l’organisme, elle succède ainsi à Sylvie Gauvin qui était à la barre de l’organisme depuis cinq ans.



«&nbsp;J’ai la chance de travailler chez Centraide depuis plus de trois ans maintenant, alors je dirais que la transition s’est faite quand même en douceur&nbsp;», explique celle qui est officiellement entrée en fonction le 28 août, mais qui fut informée de la nouvelle en mai dernier.



Avec sa nomination, vient aussi celle de Patrice Clément qui la remplace en devenant directeur du développement des collectivités de l’organisme à but non lucratif (OBNL) laurentien.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="640" height="640" src="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement-640x640.jpg" alt="" class="wp-image-88455" srcset="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement-640x640.jpg 640w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement-218x218.jpg 218w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement-64x64.jpg 64w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement-768x768.jpg 768w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/patrice-clement.jpg 1024w" sizes="(max-width: 640px) 100vw, 640px" /><figcaption>Photo : Centraide Laurentides – Patrice Clément prendra donc la relève à la direction du développement des collectivités.</figcaption></figure>



La cheffe d’orchestre



De ses propres mots, «&nbsp;il n’y a pas une journée comme les autres&nbsp;» dans les nouvelles fonctions de la gestionnaire. Son emploi étant difficile à décrire, c’est à l’aide de références musicales qu’elle l’image le mieux.



«&nbsp;Mon rôle à moi, je le vois vraiment comme étant celui d’une cheffe d’orchestre. On a la chance d’avoir une équipe qui est multidisciplinaire et très autonome, dont chacun a ses fonctions et sait jouer sa partition. Moi, c’est de m’assurer que le tout soit harmonieux&nbsp;», représente-t-elle, ayant fait ses premiers pas avec l’organisme en 2020 au sein du service des communications.



« Dans le fond, c’est de voir comment Centraide peut agir encore plus pour notre communauté », résume celle qui connaît autant déjà son équipe que les enjeux de sa région, ayant passé les dernières années sur le terrain.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="928" height="640" src="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2-928x640.png" alt="" class="wp-image-88456" srcset="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2-928x640.png 928w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2-316x218.png 316w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2-93x64.png 93w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2-768x530.png 768w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/09/ddlambert2.png 941w" sizes="(max-width: 928px) 100vw, 928px" /><figcaption>Photo : Centraide Laurentides – La gestionnaire, au bout à droite, lors d’une campagne de l’année dernière, alors qu’elle était directrice du développement des collectivités.</figcaption></figure>



Un travail de fourmi&nbsp;&nbsp;



Pour «&nbsp;développer des campagnes, faire connaître Centraide ou encore consolider les partenariats&nbsp;», l’organisme des Laurentides compte sur sept employés dévoués, incluant la directrice générale.



«&nbsp;Les gens pensent qu’on est beaucoup plus, parce qu’on fait beaucoup de choses, mais on est une belle équipe de petites fourmis. Le côté multidisciplinaire que je mentionnais tantôt, ça nous permet justement d’optimiser les forces de chacun pour épuiser le moins de ressources et en redonner le plus à la communauté&nbsp;», témoigne l’enthousiaste dirigeante.



Le cœur dans la région



Depuis sa naissance, la diplômée du HEC Montréal en administration des affaires a pratiquement habité toute sa vie dans les Laurentides. Pendant plus d’une décennie, elle a œuvré pour un autre OBNL de la région en Laurentides International. Là-bas sa motivation première était d’avoir un impact concret sur le rayonnement de son milieu et avec Centraide, c’est l’aspect encore plus humain qui la fait aujourd’hui vibrer.



«&nbsp;Quand l’opportunité s’est présentée, c’était d’avoir un impact, toujours dans ma région que j’aime tant, mais principalement au niveau des gens, des individus, de mes voisins et voisines, qui vont bénéficier de près ou de loin des services de Centraide&nbsp;», exprime la résidante de Deux-Montagnes, créditant son père, «&nbsp;quelqu’un de très impliqué bénévolement&nbsp;», pour lui avoir inspiré cette philosophie.

Nouvelle directrice générale chez Centraide Laurentides

Une semaine après l’annonce officielle, les places pour Les BB par Ludovick Bourgeois se sont envolées comme des petits pains chauds. Au moment d’écrire ces lignes, la salle de Saint-Eustache est pratiquement complète et celles de Sainte-Thérèse et de Saint-Jérome ne tarderont pas à l’être aussi.



« C’est fou de voir que les gens ont encore un attachement aussi fort aujourd’hui que, je pense, ils avaient à l’époque », constate Ludovick Bourgeois.



Donnant suite aux demandes répétées au fil des années, le natif de Lorraine s’apprête à rendre hommage à son père avec une tournée spéciale. Ceux qui ont déjà réservé leurs billets peuvent s’attendre à un «&nbsp;feu roulant » caractéristique du groupe des années 1990. Les effets visuels rétros s’ajouteront à l’amalgame des styles du fils et du père. Ludovick Bourgeois, sans tomber dans l’imitation, ne tentera pas non plus de repenser l’œuvre.



« Il y a beaucoup de nuances dans nos personnalités, dans nos voix, dans notre approche à la musique, fait-il remarquer. Ça va être le fun de mélanger nos univers et de présenter un show qui va être unique. »



<h2>Saut dans le temps</h2>



Afin de saluer les BB comme il se doit, Ludovick Bourgeois a dû revisiter de bons vieux classiques – Donne-moi ma chance, Tu ne sauras jamais, T’es dans la lune – mais aussi déterrer des joyaux insoupçonnés, des « beside » qui reviendront en tête de certains. Sans en dire plus, il laisse entendre que la pièce Le gamin, avec la mise en scène de Joël Legendre, sera révélatrice du lien qui l’unit à sa figure paternelle. Au tout s’ajoutent les albums solos de Patrick Bourgeois, formant un « casse-tête » dont l’agencement ne cesse d’être remanié.



« En plongeant dans ces archives-là et dans ces chansons-là, je réalise à quel point c’est un catalogue qui est important pour les québécois. [Les BB] ont vraiment marqué une époque au fer rouge, ça a vraiment été un point tournant dans la musique pop francophone, je pense. »



<h2>À la maison</h2>



Sur la Rive-Nord, salles combles et proximité avec son chez-lui font un mixte idéal pour Ludovick Bourgeois, qui se réjouit de jouer tout près. Le projet est pour lui « un aparté », précise-t-il. Le travail sur un quatrième album reprendra dès la fin de la tournée.



Les premières représentations du spectacle débuteront en janvier, pour mener le chanteur au Théâtre Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse le 17 février. Les places s’amenuisent et Ludovick Bourgeois invite les intéressés à mettre la main dessus rapidement, en passant par la <a href="https://www.ludovick.ca/tournee-bb" target="_blank" rel="noreferrer noopener">billetterie en ligne</a>.

Spectacle de François Bellefeuille au profit des jeunes de Sainte-Anne-des-Plaines

Humour et pizza, une recette gagnante

Au service des jeunes anneplainois