
<p><em>L’amour est dans le blé</em>, ce sont quatre agriculteurs et agricultrices célibataires en quête de l’âme sœur amenés à faire la connaissance de personnes candidates, tout aussi attachantes que maladroites, dans les paysages bucoliques et enchanteurs de la campagne wallonne.</p>



<p>Cette pièce est une adaptation libre d’Alix Dufresne et Jean-Philippe Lehoux découle des verbatims de L’amour est dans le pré scénarisée en collaboration des interprètes.&nbsp;</p>



<p>L’amour est dans le blé sera interprété par&nbsp;: Annalisa Abbate, Yoanie Bélanger, Lara Corbeil-Pan, Marie-Maxim Landry, Marie-Anne Laplante, David Larrivée, Béatrice Lemay-Denis, Mélodie Lorquet, Florence Rivet, Lily Taillefer, Nori Vaillancourt, Axel Yams-Laliberté.</p>



<p>Alix Dufresne propose une mise en scène singulière, s’apparentant à une excursion déjantée à dos de mouton ou de tracteur en pleine téléréalité champêtre.&nbsp;</p>



<p>Et pour cause, les célibataires devront s’exposer devant caméra à la vulnérabilité de leurs nouvelles rencontres qui n’ont d’égale que la fébrilité des premiers rendez-vous. Mais qui sait, peut-être y découvriront-ils le Grand Amour!</p>



<p>Les jeunes comédiens proposent un rendez-vous au public le 4 octobre, à 19h30 ainsi que les 5 et 6 octobre, à 14h00 ou à 19h30.</p>



<p>Les billets sont en vente en ligne ou à la porte le jour même payable en argent comptant seulement.</p>



<p>Adaptée pour le théâtre Jessy Brouillard et mise en scène par Joël Legendre dans la pure tradition des comédies musicales, cette production réunit une distribution de 13 comédiens et chanteurs, pour raconter l&#8217;histoire d’Élise et Florent, un couple montréalais des années 70. Parmi eux, Audrey-Louise Beauséjour avec qui votre Hebdo le Nord Info a eu la chance de s’entretenir.</p>



<h2><strong>Q: Comment se passe les répétitions jusqu’à maintenant?</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour:</strong>&nbsp;«&nbsp;C’est vraiment plaisant comme expérience! C’est beaucoup de travail, mais tout se fait dans le plaisir avec Joël, c’est tellement agréable et c’est facile. On est entourés de belles personnes compétentes, c’est un privilège de faire partie de cette production-là&nbsp;».</p>



<h2><strong>Q: Quelle était votre expérience avec l’œuvre d’Yves Beauchemin?</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour:</strong>&nbsp;«&nbsp;C’était nouveau pour moi, quand le livre est sorti, je n’étais pas encore née, alors je n’ai pas grandi avec comme plusieurs, par contre, je l’ai découvert il y a six ans à peu près quand Jessy Brouillard a écrit la version de comédie musicale ainsi que les chansons sur notre production. Il m’avait approché pour faire les maquettes&nbsp;».</p>



<h2><strong>Q: Avez-vous un lien avec le personnage d’Élise?</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour:</strong>&nbsp;«&nbsp;Élise, c’est un personnage qui est quand même relativement proche de moi. C’est une fille de Montréal et ça se passe chez nous. C’est sûr qu’elle est identifiée à la binerie. C’est plus facile, on a le même âge, j’ai l’âge de mon personnage. Avec ma fille que j’ai eue et qui a maintenant deux ans et demi, ça me rapproche un peu du personnage. Je peux plus ressentir le côté maternel d&#8217;Élise et en même temps, Élise c’est une femme qui a un petit feu à l’intérieur, je crois que je partage ça avec elle&nbsp;».&nbsp;</p>



<h2><strong>Q: Comment vivez-vous avec la pression de jouer un tel classique?&nbsp;</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour:&nbsp;</strong>«&nbsp;Il ne faut pas se mettre trop de pression et il faut faire confiance à notre metteur en scène. C’est sûr qu’on veut rendre justice à l’œuvre, mais on est bien entourée, bien encadrée. Alors en faisant confiance et en se lançant à pied joint dans l’expérience et dans la création, ça amène un très beau résultat&nbsp;».&nbsp;</p>



<h2><strong>Q: Qu’est-ce qui rend cette version unique selon toi?</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour</strong>: «&nbsp;On retrouve de tout dans cette version, il y en a pour tous les goûts. Les chansons sont super accrocheuses! Moi, je les avais entendues la première fois et je les chantais déjà en me couchant le soir, et c’est le fun parce qu’il y a autant de comédie, des personnages plus grands que nature que de trucs qui semblent provenir plus de la vie réelle. Les gens vont rire et pleurer, ça va toucher tout le monde. Le fait que ça se passe à Montréal et que c’est une œuvre d’ici, c’est un immense avantage&nbsp;».&nbsp;</p>



<h2><strong>Q&nbsp;: Il s’agit d’un spectacle ambulant, qu’est-ce que ça représente de visiter la province?&nbsp;</strong></h2>



<p><strong>Audrey-Louise Beauséjour&nbsp;:&nbsp;</strong>«&nbsp;C’est demandant au niveau de gérer les déplacements, surtout avec ma petite fille. Mais ça demande aussi une grande capacité d’adaptation de salle en salle. Des fois on a une référence pour le son et ce qu’on entend, ce qu’on est habituée d’entendre, de l’énergie de la salle&nbsp;».&nbsp;</p>



<p>Le Matou débutait sa tournée le 2 août à Sherbrooke, mais s’arrêtera au Théâtre Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse le 1 mars 2025. Si vous voulez avoir la chance de voir les excellents Matthieu Lévesque, Audrey-Louise Beauséjour, Marilou Morin, Martin Larocque et Alain Dumas porter ce grand classique québécois, rendez-vous à la <a href="https://odyscene.com/programmation/le-matou/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">billetterie Odyscène</a> ou directement sur le <a href="https://lematou.ca/dates-de-spectacle/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">site de la pièce</a>.&nbsp;</p>


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L’amour est dans le blé avec les jeunes comédiens du CLG￼

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