L’homme recherché est de race blanche, âgé entre 20 et 40 ans, de stature mince. Il portait une casquette et des vêtements de style urbain.



 Les enquêteurs précisent toutefois que les couleurs visibles sur les images de surveillance pourraient être trompeuses en raison de la vision nocturne.



Toute personne détenant de l’information pouvant aider à identifier cet individu est invitée à communiquer avec le Service de police au 450 471-4121, en mentionnant le numéro de dossier TRB-250507-001.

Cette politique remplace ou, plutôt, converge les efforts déployés par plusieurs services municipaux et associations afin de répondre aux besoins et aux aspirations de la communauté blainvilloise.



«&nbsp;Cette politique est le fruit d’un long travail collectif mené avec rigueur et passion qui témoigne de notre volonté de toujours améliorer la qualité de vie des Blainvilloises et des Blainvillois&nbsp;», déclarait d’emblée Véronique Veilleux, cheffe de section vie associative et communautaire. «&nbsp;Le développement social, ce n’est pas une idée abstraite, c’est une action quotidienne, une somme de petit et de grand geste qui rendent notre ville plus inclusive, plus solidaire et plus vivante.&nbsp;»



<h2>Un délai expliqué</h2>



Si la politique a été adoptée par le conseil municipal dès février 2025, la mairesse Liza Poulin a expliqué cette annonce tardive par l’importance qu’a prise un dossier majeur ces derniers mois. Elle a aussi réitéré l’objectif de cette nouvelle politique&nbsp;: continuer d’améliorer la qualité de vie des Blainvilloises et Blainvillois.&nbsp;



«&nbsp;Grâce à cette politique, on a pu concilier nos politiques existantes pour les familles, les aînés et les enfants. Elle a également permis d’élargir la clientèle en y ajoutant les personnes en situation de vulnérabilité, les personnes en situation de handicap, les personnes issues de l’immigration, les femmes et la communauté LGBTQ+. Nous nous sommes assurées que cette politique soit arrimée avec notre planification stratégique, notre plan de transition écologique et notre vision de développement du boulevard du Curé-Labelle&nbsp;», a déclaré Mme Poulin.



<h2>Retour sur le processus</h2>



Le comité de pilotage était coprésidé par les conseillères Marie-Claude Perron et Marie-Claude Collin. La planification et la réflexion ont précédé les consultations menant à un rapport d’étape l’an dernier. L’élaboration de la politique et du plan d’action a suivi jusqu’à leur adoption en février 2025. Le plan d’action contient 87 actions concrètes distribuées en 9 thématiques&nbsp;:



&#8211; L’habitation et le milieu de vie



&#8211; Le transport et la mobilité



&#8211; Les loisirs et la culture



&#8211; La participation sociale



&#8211; Le respect et l’inclusion



&#8211; La santé globale



&#8211; La sécurité



&#8211; La communication et l’information



&#8211; L’aménagement et les infrastructures de proximités



Maintenant que la politique est adoptée, un comité de suivi soutiendra la réalisation du plan d’action. «&nbsp;C’est de mettre ensemble ce qu’on fait déjà, une centralisation des efforts dans les différents aspects de la société. Et on gardera les dossiers ouverts pour s’assurer qu’on puisse les évaluer et les ajuster avec les nouveaux enjeux de la société&nbsp;», ajoutait Marie-Claude Perron.



<h2>Un plan pour l’avenir</h2>



«&nbsp;Comme il y a les services administratifs de la ville, la politique existe et sera suivie malgré ce qui peut se passer aux élections. Les organismes ne changent pas, les employés de la ville ne changent pas. Le politique, c’est les yeux et les oreilles, mais le plan d’action qu’on met en œuvre maintenant, il est là pour durer&nbsp;», assurait Mme Veilleux.



C’est avec le sourire aux lèvres que la mairesse remerciait son conseil, les employés de la ville et les membres de la communauté pour l’adoption et la mise en œuvre de cette nouvelle politique de développement social&nbsp;: «&nbsp;La politique présentée aujourd’hui nous permet de déterminer notre port de destination et le plan d’action sera notre feuille de route collective afin de continuer d’améliorer la qualité de vie à Blainville. À nous tous de le mettre en œuvre!&nbsp;»



Vous pouvez consulter la politique et le plan d’action sur le <a href="https://blainville.ca/actualites/presentation-de-la-premiere-politique-municipale-de-developpement-social" target="_blank" rel="noreferrer noopener">site web de la ville de Blainville</a>.

Blainville présente son premier plan de développement social

Une centaine de personnes ont assisté à l’inauguration le 19 août, à quelques jours d’une rentrée sur fond de restrictions budgétaires dans les cégeps de la province.



Le colossal bâtiment de quatre étages et de 29 classes pourra accueillir environ 1000 étudiants et 120 membres du personnel de plus au Collège Lionel-Groulx afin de répondre à la demande croissante.



« Ça nous permet de bonifier les programmes qui étaient déjà offerts au collège et qui répondent à des besoins de main-d&#8217;œuvre importants dans la région », comme la technique en informatique et la technique de l&#8217;administration et de la gestion, a expliqué Philippe Nasr, directeur général du Collège Lionel-Groulx.



Il permettra aussi le déploiement de nouveaux programmes, comme le programme de soins préhospitaliers d’urgence, qui connaîtra sa première rentrée dans les prochains jours.



<h2>La modernité au rendez-vous</h2>



Grandes fenêtres, couloirs larges, nouveaux ordinateurs, banquettes et nombreuses toilettes caractérisent le nouveau pavillon. L’aile compte même un café exploité par Projet Sol, le même organisme s’occupant du service de cafétéria du collège. « Plus de 90 % des matériaux de construction ont été réutilisés ou recyclés », a laissé savoir le Collège dans un communiqué de presse.



« Des espaces de qualité, ça valorise l&#8217;effort des étudiants, ça les encourage, ça les appuie, ça valorise la qualité du travail de notre personnel aussi, de nos profs et de tout le personnel qui accompagne nos étudiants durant leur parcours collégial », a dit M. Nasr.



Le pavillon a été nommé en l’honneur de Louise Harel, ancienne politicienne originaire de Sainte-Thérèse qui a occupé les fonctions de députée, de présidente et de ministre à l’Assemblée nationale avec le Parti québécois. Il s’agit du premier bâtiment du Collège à porter le nom d’une femme.



« J’ai étudié à cette époque charnière des années 60, alors que les étudiantes étaient encore très rares dans les classes du Séminaire. Voir aujourd’hui mon nom associé à un lieu de formation de la jeunesse et de transmission du savoir me touche profondément », a déclaré Mme Harel.



La ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, le ministre des Finances et député de Groulx, Éric Girard, la ministre responsable des Aînés et ministre déléguée de la région des Laurentides, Sonia Bélanger, étaient présents pour l’inauguration. Le ministère de l’Enseignement supérieur a subventionné l’entièreté du projet.



<h2>Des besoins croissants au Collège</h2>



À peine le pavillon Louise-Harel est-il complété que d’autres projets semblables doivent être étudiés. La demande au Collège est en pleine croissance. Près de 7000 étudiants ont franchi les portes du cégep lundi et d’ici trois ans, ils devraient être plus de 7500 à y être inscrits.



« En termes de déficit d&#8217;espace à Lionel-Groulx, avec le nombre d&#8217;étudiants qu&#8217;on accueille actuellement et qu’on accueillera dans les deux-trois prochaines années, ce sont deux autres pavillons comme ça qu&#8217;on doit construire pour pouvoir répondre à l&#8217;ensemble des besoins », souligne M. Nasr, citant des données du ministère de l’Enseignement supérieur.



« Il y a une recrudescence importante du nombre d&#8217;étudiants québécois en enseignement supérieur », a expliqué la ministre Déry à l’inauguration. « On est très heureux de pouvoir avoir cette croissance-là. Ça pose des défis, mais c&#8217;est une excellente nouvelle en termes d&#8217;accessibilité à l&#8217;enseignement supérieur », considère-t-elle.



M. Nasr a rappelé que l’aile Louise-Harel faisait partie du Plan visionnaire immobilier adopté en 2019 par le Collège Lionel-Groulx pour répondre aux défis de l’avenir, dont l’augmentation de sa population étudiante.



Les besoins sont grands dans un contexte budgétaire difficile, a mentionné le directeur général du Collège. La cafétéria a « besoin d’amour », l’espace manque pour les regroupements étudiants et l’administration, les résidences étudiantes doivent être rénovées, les gymnases pour les équipes sportives manquent.



La prochaine priorité sur cette longue liste est la bibliothèque du Collège, « parce que notre bibliothèque, c&#8217;est le cœur intellectuel et culturel de notre collège », considère M. Nasr.



Léa Lemieux Journaliste Stagiaire

Suspect recherché à Sainte-Anne-des-Plaines