
<p>Ce concert, placé sous la direction musicale du chef d’orchestre Michel Brousseau, mettra en vedette plus de 150&nbsp;membres issus des trois chœurs du Chœur philharmonique du Nouveau Monde (Basses-Laurentides, Mont-Royal et Ottawa) et des musiciens de l’Orchestre philharmonique du Nouveau Monde, faisant tous partie intégrante de la Société philharmonique du Nouveau Monde (SPNM).</p>



<p>Plusieurs des choristes qui participeront à ce grand concert, 75&nbsp;pour être précis, sont issus, précisons-le, du Chœur philharmonique du Nouveau Monde – Basses-Laurentides et proviennent de plusieurs villes et municipalités de la région des Laurentides, comme Saint-Eustache, Sainte-Thérèse, Mirabel, Saint-Jérôme et Ferme-Neuve.</p>



<h2><strong>Haydn, Schubert et Rutter au programme</strong></h2>



<p>En première partie de ce concert, Sabrina Kettana, gagnante du concours «&nbsp;Jeune concertiste 2024&nbsp;» organisé par la SPNM, interprétera le «&nbsp;Concerto pour violoncelle no&nbsp;1 en do&nbsp;majeur&nbsp;» du compositeur autrichien Joseph Haydn. La jeune violoncelliste de 20&nbsp;ans, originaire de Sainte-Thérèse, est étudiante au programme préuniversitaire «&nbsp;Musique – profil Classique&nbsp;» offert par le Collège Lionel-Groulx. Elle a représenté l’établissement thérésien lors de la finale provinciale du concours de musique classique intercollégial «&nbsp;Cégeps en concert&nbsp;» qui a eu lieu au mois d’avril dernier au Cégep de Sainte-Foy.</p>



<p>Puis, en deuxième partie, les spectateurs auront droit à la «&nbsp;Messe en sol&nbsp;majeur&nbsp;» que l’Autrichien Franz Schubert a composée en 1815, en moins d&#8217;une semaine. Il s’agit de la plus connue de ses trois «&nbsp;courtes&nbsp;» messes. Pour cette partie du concert, on retrouvera également sur scène, comme solistes, la soprano Ania Hejnar, le ténor Jean-Michel Richer et le baryton Dominique Côté.</p>



<p>Les choristes et musiciens puiseront, pour terminer, dans les «&nbsp;Christmas Carol&nbsp;» du compositeur contemporain britannique John Rutter, avec une sélection d’une dizaine de chants riches de belles harmonies célébrant l&#8217;histoire de Noël.</p>



<h2><strong>Billets et renseignements</strong></h2>



<p>Des billets pour assister à ce concert de Noël sont en vente dès maintenant au coût de 60&nbsp;$ et 40&nbsp;$ (gratuit pour les enfants de 12&nbsp;ans et moins) et sont disponibles sur le <a href="http://spnm.ca/concerts/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">site de la SPNM</a>, et à la Bijouterie Filion&nbsp;RM (19, rue Saint-Eustache, Saint-Eustache). Notez que ce même concert sera aussi présenté à Ottawa (le vendredi 13&nbsp;décembre, à 20&nbsp;h) et à Montréal (le dimanche 15&nbsp;décembre, à 16&nbsp;h).</p>



<p>Pour d’autres renseignements, il suffit de visiter la <a href="mailto:info@leschanteurs.org" target="_blank" rel="noreferrer noopener">page Facebook</a> ou d’écrire à l’adresse courriel <a href="mailto:info@leschanteurs.org">info@leschanteurs.org</a>.</p>



<p>Ayant captivé les spectateurs lors de projections à guichets fermés, l’expérience d’All Eyes On Me, représente parfaitement l’approche organique et minimaliste de Pascal.</p>



<p>Globe-trotter du septième art, Payant s’impose par son originalité et sa capacité à repousser les limites des productions à petit budget. « Je fais tout de A à Z : caméra, costumes, montage, musique. Au moins, je ne dépends de personne », explique-t-il. Cette liberté, qu’il revendique fièrement, vient toutefois avec un risque : « Si le film est plate, c’est de ma faute », confie-t-il candidement.</p>



<h2><strong>Un tournage en Islande sous le signe de l’adaptation</strong></h2>



<p>Tourné en seulement 10 jours avec un budget modeste de 6 000 $, <em>All Eyes On Me</em> n’a pas été sans défis. À quelques jours du début des prises de vue, Pascal a dû remplacer son actrice principale et adapter le scénario pour refléter cette nouvelle dynamique. « Mon actrice initiale était allemande, mais la nouvelle, polonaise, a complètement changé la dynamique. J’ai dû m’adapter rapidement, et finalement, ça a enrichi le film », raconte-t-il.</p>



<p>Malgré ces obstacles, la réception du film a été exceptionnelle. L’accueil au RIFF a même permis à Pascal de rencontrer la présidente de l’Islande, Halla Tómasdóttir, qui s’est intéressée à son travail et aux différences culturelles dans la narration cinématographique. « Je pensais que c’était un spam quand j’ai reçu l’invitation », plaisante-t-il.</p>



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/11/db-alleyesonme-2-edited.jpg" alt="" class="wp-image-94946" width="598" height="448" srcset="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/11/db-alleyesonme-2-edited.jpg 768w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/11/db-alleyesonme-2-edited-291x218.jpg 291w, https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2024/11/db-alleyesonme-2-edited-85x64.jpg 85w" sizes="(max-width: 598px) 100vw, 598px" /><figcaption>Photo courtoisie <br>Pascal en compagnie de l’acteur Gudmundur Thorvaldsson qui tient le rôle principal de Gunnar, dans l’excellent All Eyes On Me. </figcaption></figure>



<h2><strong>Des récits universels et une approche instinctive</strong></h2>



<p>Pascal est un cinéaste qui privilégie l’instinct. « Tout ce que je trouve comme lieux, c’est sur Google Photos. Je choisis un spot, et quand on arrive, on improvise. S’il y a un problème, je m’adapte rapidement », explique-t-il. Cette méthode lui permet de tourner dans des conditions précaires tout en créant des œuvres visuellement saisissantes, s’appuyant presque exclusivement sur ce qu’il peut tirer de l’environnement : à commencer par l’éclairage naturel, cohérent avec l’absence d’équipe d’éclairage.</p>



<p>Ses films explorent souvent des relations humaines complexes et toxiques, des thèmes universels qu’il décline avec une sensibilité particulière. « Toutes mes histoires tournent autour de ça, que ce soit entre un frère et une sœur ou des partenaires amoureux. Ça fait du bon cinéma », souligne-t-il.</p>



<h2><strong>Nul n’est prophète en son pays</strong></h2>



<p>Ayant passé quelques années à Sainte-Thérèse, Pascal Payant nourrit le désir de voir son travail mieux reconnu dans sa propre province. « Ici, personne ne me connaît. Mais je crois qu’il y a une place pour des projets comme les miens, hors des sentiers battus », confie-t-il. Malgré son succès international, il espère que son art pourra un jour résonner davantage auprès du public québécois.</p>



<p>En attendant, Pascal continue de tracer sa route avec audace. Avec son approche audacieuse, son hyperactivité créative et sa capacité à transformer les contraintes en atouts, Pascal Payant a un message clair pour les créateurs en devenir&nbsp;: « Je crois que le meilleur apprentissage, c’est de prendre ta caméra et d’aller tourner. Attendre le financement ou l’approbation de grands studios, c’est comme jouer à la loterie […]&nbsp; N&#8217;attendez pas pour que l’argent ou les gens arrivent. T&#8217;as pas besoin d’avoir 48 personnes derrière toi avec un gros team. Lancez-vous. »</p>


Pascal Payant : de Sainte-Thérèse au tapis rouge de Reykjavik


<p>Ce rendez-vous musical incontournable, mis en scène par Joël Legendre, revient pour une septième édition, rassemblant sur scène une distribution exceptionnelle composée de Barnev, Joe Bocan, Marie Michèle Desrosiers, Gabrielle Destroismaisons, Luce Dufault, Joël Legendre et Lunou Zucchini.</p>



<p>Fidèle à son nom, cette production célèbre les classiques de Noël tels que <em>C’est la nuit de Noël</em> et <em>Hallelujah</em>, tout en offrant un décor évocateur des fêtes d’antan. Avec près de 100 000&nbsp;spectateurs conquis au fil des ans, ce spectacle est une véritable tradition pour de nombreuses familles québécoises.</p>



<h2><strong>Une soirée à ne pas manquer&nbsp;:</strong></h2>



<p>–&nbsp;Date&nbsp;: 24&nbsp;novembre 2024</p>



<p>–&nbsp;Lieu&nbsp;: Théâtre Lionel-Groulx, Sainte-Thérèse</p>



<p>Pour réserver vos places et découvrir l’ensemble des dates de la tournée, visitez le site&nbsp;: <a href="http://productionsmartinleclerc.com">http://productionsmartinleclerc.com</a></p>


Noël avec le Chœur philharmonique du Nouveau Monde

Haydn, Schubert et Rutter au programme

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