Le nouveau bâtiment, qui sera érigé à quelques pas de marche de Complexe Médical, actuellement en construction sur la rue De Blois, dans la portion nord de la Cité de Mirabel, aura la particularité d’être le plus élevé des Laurentides puisque, à terme, il fera dans les 150 pieds de hauteur.
<h3>Début des travaux au mois d’août</h3>
Si les préventes se déroulent comme anticipé, les travaux devraient débuter au mois d’août prochain avec une première phase de 177 unités qui seront livrées pour le mois de juillet 2019. Deux autres phases de 177 unités suivront les deux années suivantes, pour un total donc de 531 unités disponibles, en plus de 30 configurations.
Mais, pour pouvoir procéder aux premiers coups de pelles, un minimum de 70 unités doivent trouver preneurs au cours des prochains mois. Déjà, M. Courtemanche dit avoir reçu des offres d’achat, ou encore, suscité de l’intérêt auprès de potentiels acheteurs.
C’est le cas de Pascal Hogue, un homme d’affaires de Mirabel, fortement intéressé par un penthouse au 15e étage du futur édifice. «Ce sera le bâtiment le plus haut de la région des Laurentides. Pour moi, c’est certes un investissement des plus intéressants, surtout si on compare les coûts par rapport à Laval ou Montréal» , a confié celui-ci, quelques minutes avant le lancement officiel du projet Skyblü Condos Urbains, le mercredi 21 février dernier.
Également présent à ce lancement, le maire de Mirabel, Jean Bouchard, s’est évidemment réjoui, de son côté, de cette annonce, entrevoyant des revenus de taxation additionnels au cours des prochaines années pour sa ville qui connaît une forte croissance démographique et une importante effervescence économique.
<h3>Les autres projets de Ray Junior Courtemanche</h3>
Précisons que ce nouveau projet s’ajoute à d’autres que mène actuellement l’homme d’affaires Ray Junior Courtemanche. Parmi ceux-ci, il y a le projet de la Cité des Affaires du Boisé de l’Équerre, à Laval, et de la Tour Saint-Jérôme, de même que les projets LuxxCité, des Villas de la Cité de Mirabel et du Complexe Médical.
Aussi, il y a toujours ce projet d’hôtel de 10 étages, toujours sur le site de la Cité de Mirabel, annoncé au mois d’octobre 2015, et dont l’ouverture était prévue pour décembre 2016. Le projet est pour le moment en attente de financement, M. Courtemanche n’ayant pu convaincre les banques canadiennes de s’y associer. Celui-ci dit actuellement être en pourparlers avec des investisseurs asiatiques, mais rien n’a encore été conclu à ce jour.
Renseignements additionnels
Mais, pour l’heure, Ray Junior Courtemanche a bien en tête le projet Skyblü Condos Urbains, destiné autant aux premiers acheteurs qu’aux jeunes professionnels ou aux semi-retraités actifs.
Pour en savoir davantage sur ce nouveau projet ou connaître les coûts d’acquisition, il suffit de consulter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://www.skyblucondos.com" target="_blank" rel="noopener">http://www.skyblucondos.com</a>].

Martin Thibault, président et cofondateur d’Absolunet, une entreprise spécialisée dans le commerce électronique dont le siège social est situé à Boisbriand, était le conférencier invité lors du plus récent Midi d’affaires de la Chambre de commerce et d’Industrie Thérèse-De Blainville (CCITB).
Présenté le 21 février au Centre communautaire et culturel Thérèse-De Blainville, l’événement a rallié une centaine d’entrepreneurs, membres de la CCITB, venus pour prendre part à cette activité de réseautage qui a culminé par la conférence de M. Thibault, intitulée À la conquête de l’Amérique du Nord.
Pendant une vingtaine de minutes, aidé d’une présentation PowerPoint, M. Thibault a dressé un portrait exhaustif de l’entreprise qu’il dirige depuis 1999 et qui emploie aujourd’hui près de 200 personnes, réparties dans les bureaux de Boisbriand, Montréal et Kansas City, au Missouri.
«À l’époque, en 1999, et lors de la décennie qui a suivi, notre offre de services était extrêmement large. On pouvait donc s’amuser dans ce vaste terrain de jeu, mais aussi se perdre» , a raconté M. Thibault, précisant que les années suivantes ont permis à l’entreprise de raffiner son positionnement sur le marché. Ce virage ne s’est toutefois pas fait sans heurt.
«Dans le livre de tout ce qu’il ne faut pas faire pour réussir, nous sommes extraordinaires là-dedans, a lancé Martin Thibault. Nous avons fait une panoplie d’erreurs: mauvaise étude de marché, mauvais recrutement, mauvais accompagnement, mauvais suivi. Mais ce fut une bonne leçon! Ça nous a permis de ne pas répéter les mêmes erreurs quand nous avons ouvert notre bureau à Kansas City.» 
<h3>Au centre des États-Unis</h3>
De 1999 à 2009, Absolunet a connu une croissance «lente et organique» , aux dires son président. Au cours de cette période, celui-ci a vu le nombre de ses employés passer de 3 à 40. En 2009 toutefois, pour la première fois de la jeune histoire d’Absolunet, cette dernière n’a pas connu de croissance. Il fallait agir.
«À ce moment-là, a dit M. Thibault, nous nous sommes dit que quelque chose n’allait pas. Nous avions besoin d’un plan d’affaires stratégique. Nous devions revoir qui nous étions, mieux s’identifier, raffiner notre positionnement, notre pensée, faire les choses différemment» . 
À la fin de 2009, début de 2010, la décision est prise de vendre la division réseau. Absolunet se concentrera dorénavant sur ce qu’elle fait de mieux: le développement Web. C’est aussi à cette période que les dirigeants d’Absolunet imaginent la place qu’ils souhaitent voir occuper par l’entreprise dans dix ans, dans 20 ans. Ils procèdent également à l’identification de leurs objectifs ultimes: développer le commerce électronique et conquérir le marché américain.
«D’imaginer son entreprise dans dix ans, ça permet de rêver, mais surtout, ça permet d’identifier les étapes à franchir pour atteindre ses objectifs» , a renchéri le président d’Absolunet.
Depuis 2010, l’entreprise a crû de façon exponentielle. On a procédé à l’embauche de nombreux employés. On les a formés. Le bureau de Kansas City a été ouvert. Absolunet se concentre aujourd’hui à 100 % sur le commerce électronique.
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Martin Thibault explique la croissance d’Absolunet

«La décision de fermer ce magasin s’inscrit dans le cadre d’un plan de repositionnement stratégique du portefeuille du groupe Loblaw à l’échelle nationale qui prévoit la fermeture de 22 magasins non rentables, toutes bannières confondues» , a fait savoir par courriel, Camille Tassé-Tétreault, spécialiste en affaires corporatives et en communications pour Provigo, membre du groupe Loblaw.
<h3>Vive concurrence et faible rentabilité</h3>
Celle-ci a indiqué que plusieurs facteurs d’ordre économique expliquent cette décision, dont «la vive concurrence et la faible rentabilité du magasin» , bien que celui-ci, ouvert en février 2015, faisait partie intégrante d’un concept dit novateur instauré par la bannière comptant 17 magasins Provigo Le Marché, à travers le Québec.
Par ailleurs, Mme Tassé-Tétreault a indiqué que des mesures ont été mises en place pour accompagner les 135 employés touchés par cette fermeture durant la période de transition. «De plus, nous verrons à replacer le maximum de collègues dans notre réseau» , d’ajouter celle-ci.
Enfin, la porte-parole de l’entreprise a indiqué qu’aucune autre fermeture de magasins Provigo n’était prévue dans un avenir rapproché dans la région immédiate où on trouve encore des marchés à Lorraine et Sainte-Anne-des-Plaines.
Notons que Provigo comptera maintenant, à la suite de cette fermeture à Blainville, 85 magasins à travers le Québec.

Trois tours de 15 étages verront le jour sur le site de la Cité de Mirabel

Début des travaux au mois d’août

Les autres projets de Ray Junior Courtemanche