peintre
Hélène Lachapelle et la «loussitude»
Publié le 24/09/2020
Ce sont de grands tableaux atmosphériques, aux couleurs éminemment contrastées (tons chauds, tons froids), lieux d’une conversation entre l’artiste et sa toile, lorsqu’elle cherche, dira-t-elle, à «taire sa tête pour laisser passer l’essence». Une sorte de lâcher prise auquel elle donne le nom charmant de «loussitude».
Une image et ses mille mots
Publié le 08/02/2020
L’une ne va pas sans l’autre, mais la peinture de Claude Bolduc a tout de même une petite longueur d’avance sur la poésie de Paul Laurendeau, au sens où, telle une pensée bien conçue, elle précède l’énoncé dans ce livre d’art qu’ils viennent tout juste de publier. Deux artistes. Deux formes d’expression. Une rencontre. Onirique.